L'islam et l'avortement

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Bonjour :timide:

On sait que l'islam a toujours été contre l'infanticide (des fillettes notamment), mais qu'enseigne cette religion au sujet de l'avortement? Y a-t-il des raisons acceptables d'avorter? Pour les catholiques et les chrétiens évangéliques, l'avortement est un péché abominable qui ne peut être justifié par rien (certains font quand même une exception pour les cas de viol). Il y a aussi le problème des avortements sélectifs de fœtus filles, surtout en Inde et en Chine.

Vos avis svp merci.
 
pour les viol on a réglé le problème il suffit d'épouser son violeur.

Non, a l'image des autres religions du livre l'islam condamne l'avortement et ne l'autorise en aucun cas, sauf cas d'urgence ou la vie de la mère est en jeu et que le fœtus doit être retirer.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
pour les viol on a réglé le problème il suffit d'épouser son violeur.

Non, a l'image des autres religions du livre l'islam condamne l'avortement et ne l'autorise en aucun cas, sauf cas d'urgence ou la vie de la mère est en jeu et que le fœtus doit être retirer.

Mais j'ai entendu dire que l'embryon n'est pas animé dès la conception selon l'islam?
 
en fait on dit que l'âme lui est insufflée au 4eme mois très exactement ainsi que son "mektoub".

Je pense que c'est interdit d'avorter en islam même avant 4 mois de gestation car fondamentalement la grossesse à été permise par Dieu et que l'être humain ne peut faire le choix de vie ou de mort d'un individu vivant ou en devenir.

Après pour des textes et explications plus précise je ne peux malheureusement pas t'en donner:(
 

Prizma

musulman
VIB
Généralement l'avortement est considéré interdit de façon générale. Les trois principales raisons invoquées dans le Coran contre l'avortement sont : 1. le sacrifice aux idoles, 2. avoir honte du sexe du bébé, et 3. avoir peur de ne pas pouvoir s'en charger. Si le bébé est avorté avant 4 mois de gestation, il ne porte pas encore d'âme et cela n'est pas aussi grâve que l'interruption après les 4 mois de grossesse. Les juristes divergent quant aux exceptions possibles pour envisager une interruption de grossesse dans des conditions exceptionelles : 1. maman en péril, 2. enfant condamné (pex. pas de coeur, pas de poumon, pas de cerveau etc.), 3. viol ...
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
@Ebion c'est bizarre que tu réouvres ce sujet car on en a parlé maintes fois sur le forum, option rechercher et tu trouvais tout!

on va se répéter alors...
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Que dit l'Islam sur l'avortement ?

Réponse : Tout d'abord, il est nécessaire de rappeler que la vie du foetus, à l'instar de la vie humaine en général, est sacrée en Islam. A ce titre, elle se doit d'être gardée et protégée dans la mesure du possible. On peut se faire une idée de l'importance reconnue au foetus lorsqu'on considère le fait que la jurisprudence musulmane autorise à la femme qui est enceinte et qui craint pour la santé du futur bébé de ne pas jeûner durant le mois de Ramadhân (et de remplacer les jours ainsi manqués plus tard) ... alors que la pratique du jeûne du Ramadhân compte parmi les cinq piliers les plus connus de l'Islam...

Plus révélateur encore : A l'époque du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam), une femme ("Al Ghâmidiya") était tombée enceinte après avoir commis l'adultère... Comme elle était venue se dénoncer devant le Prophète (sallallâhou alayhi wa sallam), celui-ci prit la décision d'appliquer la peine prévue, mais pas avant que la femme en question n'eut accouché et complété la période d'allaitement...

C'est pourquoi, comme le souligne Cheikh Qaradâwi r.a., la règle de base en Islam par rapport à l'avortement, c'est l'interdiction. Néanmoins, cette interdiction peut être plus ou moins sévère, en fonction des circonstances et surtout en fonction du moment où a lieu l'interruption de la grossesse... (Réf: "Fatâwa Mou'âsirah" - Volume 2 / Page 547)

L'avortement après l'insufflation de l'âme ("Nafkh our roûh"):

Dans un certain nombre de Hadiths authentiques où sont détaillés les différentes étapes du développement embryonnaire, le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) affirme que l'âme est insufflée ("nafkh our roûh") dans le fœtus au terme du quatrième mois de grossesse (120 jours). 1

C'est justement en raison de ce genre de Hadiths que les savants musulmans considèrent unanimement que, passé la limite de quatre mois (120 jours), l'avortement est strictement interdit. Avorter dans un tel cas de figure est considéré comme étant un acte d'infanticide et est assimilé à un crime en Islam. Allâmah Ibné Taymiyyah r.a. écrit dans une de ses Fatâwa que cet acte relève du "wa'd" (enterrement d'un enfant vivant), à propos duquel Allah dit sur un ton d'avertissement dans le Qour'aane:

"Et lorsqu'on demandera à la fillette enterrée vivante , pour quel péché elle a été tuée".

(Sourate 81 - Versets 8/9)

(Réf: Madjmou'oul Fatâwa - Volume 4 / Page 217)

Cependant, si le fait de conserver ce fœtus met la vie de la mère en danger, et qu'il ne soit pas possible de la sauver sans le retirer, dans ce cas, certains oulémas affirment que l'avortement est toléré, même si la vie a déjà été insufflée, en vertu de la règle en Islam, qui veut que, lorsqu'on est obligé de choisir entre deux maux, on doit opter pour le moindre des deux. Dans ce cas précis, il est évident que la mort de la mère est une perte beaucoup plus grande que celle du fœtus. Qui de plus est, la vie de la mère est une réalité, alors que la naissance du futur enfant n'est encore, à ce stade, qu'espérée... (Réf: "Fatâwa Mou'âsirah" - Volume 2 / Page 547; il est à noter que certains savants ont interdit l'avortement même dans ce cas... C'est ce qui est mentionné dans les références hanafites suivantes: "Al Bahr oul Râïq" - Volume 8 / Page 233 et "Fatâwa Qâdhi Khân" - Volume 4 / Page 385.)

L'avortement avant l'insufflation de l'âme ("Nafkh our roûh"):

Ecole hanafite: Si l'âme n'a pas encore été insufflée et le futur enfant se trouve encore à l'état embryonnaire, selon l'école hanafite, la femme peut avorter dans un cas de grande nécessité (réelle et reconnue) et pour une raison valable. Si une femme avorte sans raison valable alors que les membres et les organes de foetus avaient déjà commencé à se former, elle aura le péché d'avoir commis un crime, comme le mentionne explicitement Ibné Âbidine Châmi r.a. dans son ouvrage de référence de l'école hanafite, "Raddoul Mouhtâr" (Volume 5 - Page 519). Et même si les membres et organes du fœtus n'ont pas encore commencé à se former, il n'est pas permis de procéder à un avortement sans raison valable. Cependant, si une femme le fait quand même, elle n'aura pas autant de péchés que si elle avorte après que les membres aient commencé à se former. 2

Les raisons valables pour un avortement peuvent être de deux types:

Les facteurs qui sont en rapport avec le fœtus.

Exemples: une malformation décelée du fœtus; la présence chez lui d'une déficience importante; le fort risque qu'il soit atteint par une maladie génétique grave héritée des parents. Néanmoins, dans ce genre de cas, la décision éventuelle d'une interruption de grossesse devra être basée sur un diagnostic médical fiable et digne de confiance, et non pas sur de simples suppositions... 3

Les facteurs qui sont en rapport avec la mère. Exemples: la présence du fœtus met en danger la vie ou la santé mentale de la future mère; la femme étant handicapée physiquement ou mentalement, elle ne pourra pas élever correctement un éventuel enfant, et il n'y a personne non plus de sa famille pour le faire à sa place; la femme est tombée enceinte à la suite d'un viol et elle ne désire pas garder cet enfant. (Réf: "Al Halâl wal Harâm" de Cheikh Khâlid Sayfoullâh - Pages 309 / 310)

Ecole hambalite: Selon le rapport de Cheikh Wahbah Az Zouheïli, l'avis de l'école hambalite sur cette question est similaire à celle de l'école hanafite. (Réf: "Al Fiqh oul Islâmiy" - Page 2648)

Ecole châféïte: Il y a principalement trois avis qui sont rapportés de l'école châféite concernant l'interruption de la grossesse avant l'insufflation de l'âme:

- Une opinion est assez proche de celle des hanafites. (C'est là l'avis qui a la préférence du juriste châféite, Al Ramali r.a.).

- L'autre avis est qu'il est permis mais déconseillé ("Makrouh") d'avorter avant 40 jours de grossesse. (Si cela devait se faire, l'accord des deux époux serait nécessaire.) Après 40 jours, l'avortement est strictement interdit. (Réf: "Al Fiqh oul Islâmiy" - Page 2648)

- L'avortement est interdit depuis le moment où a lieu la fécondation. Cette troisième opinion est celle qui a été retenue par l'Imâm Abou Hâmid Al Ghazâli r.a." (Voir "Ihyâou ouloûmi dîne", Volume 2 - Page 47).

Ecole mâlékite: L'avis le plus fiable au sein de l'école mâlékite est que l'avortement est interdit depuis le début même de la grossesse. (Réf: "Al-Qawaaneen al-Fiqhiyyah" de Ibn Djizzi - Page 141 - "Al Fiqh oul Islâmiy")

Il est à noter que, sur cette question, bon nombre de savants contemporains ont adopté une position qui, finalement, va dans le sens de celle qui a été définie par les experts de l'école hanafite...

Cheikh Wahbah Az Zouheïli écrit ainsi:

"Et je donne préférence (à l'avis stipulant) l'interdiction de l'avortement depuis le début de la grossesse, sauf en en cas de nécessité ou dans le cadre d'une raison valable (...)" (Réf: "Al Fiqh oul Islâmiy" - Page 2647)

Cheikh Qaradâwi affirme pour sa part:

"La règle de base en ce qui concerne l'avortement est l'interdiction. Cette interdiction prend de l'ampleur en fonction de l'état d'avancement et de développement du foetus. Ainsi, durant les quarante premiers jours de grossesse, l'interdiction est la plus légère. C'est pourquoi, l'avortement sera autorisé dans ce cas pour des raisons valables. Après la période de quarante jours, l'interdiction devient plus forte; l'avortement ne sera alors toléré que pour des motifs plus graves (par rapport à l'étape précédente), motifs qui seront déterminés par des personnes versées dans le "Fiqh". Et l'interdiction continuera ainsi à prendre de l'ampleur (...)" (Fatâwa Mou'âsirah - Volume 2 / Page 547)

Wa Allâhou A'lam !

Et Dieu est Plus Savant !

http://www.muslimfr.com/modules.php?file=article&name=News&sid=158
 

Prizma

musulman
VIB
P.S. : En cas de viol, le plus sage est quand les conditions le nécessitent et surtout le permettent (état de guerre) d'absolument être sous traitement contraceptiif ou si cela n'était pas le cas de prendre une pillule du lendemain immédiatement après l'agression. En HS je voudrais aussi souligner que je suis pour classer le viol dans le cadre d'agression physique et psychologique plutôt que dans le cadre de raports sexuels illégaux. Encore une erreur fondatrice dans la jurisprudence islamique, qui s'est fourvoyée en classant le viol parmis les adultère et fornication. On ne peut pas forcer une femme à porter son enfant sans son consentement.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Plus révélateur encore : A l'époque du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam), une femme ("Al Ghâmidiya") était tombée enceinte après avoir commis l'adultère... Comme elle était venue se dénoncer devant le Prophète (sallallâhou alayhi wa sallam), celui-ci prit la décision d'appliquer la peine prévue, mais pas avant que la femme en question n'eut accouché et complété la période d'allaitement...

C'est vraiment gentil de la part du Prophète d'attendre que le bébé soit sevré avant de faire lapider la femme. :eek:
 
Bonjour :timide:

On sait que l'islam a toujours été contre l'infanticide (des fillettes notamment), mais qu'enseigne cette religion au sujet de l'avortement? Y a-t-il des raisons acceptables d'avorter? Pour les catholiques et les chrétiens évangéliques, l'avortement est un péché abominable qui ne peut être justifié par rien (certains font quand même une exception pour les cas de viol). Il y a aussi le problème des avortements sélectifs de fœtus filles, surtout en Inde et en Chine.

Vos avis svp merci.
salut

je voulais savoir une chose
peut etre pourra tu meclairer

la femme a droit sur son corp si elle ne desire pas lenfant
cest le droit de la femme

pourtant on entent pas parler de droit de lhomme
je mexplique
si la femme est en droit de faire taire ou pas se qui lui appartient il parait claire que lhomme a le droit aussi a son mot
puisque le foetus et la formation dun gamete male aussi

donc il me parait injuste qune femme puissent garder une gamete male dans son corp si lhomme ne veut pas ?
et donc il parait injuste que si la femme peut avoir son mot a dire sur se qui lui appartient lhomme ne peut pas donner son avis
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
salut

je voulais savoir une chose
peut etre pourra tu meclairer

la femme a droit sur son corp si elle ne desire pas lenfant
cest le droit de la femme

pourtant on entent pas parler de droit de lhomme
je mexplique
si la femme est en droit de faire taire ou pas se qui lui appartient il parait claire que lhomme a le droit aussi a son mot
puisque le foetus et la formation dun gamete male aussi

donc il me parait injuste qune femme puissent garder une gamete male dans son corp si lhomme ne veut pas ?
et donc il parait injuste que si la femme peut avoir son mot a dire sur se qui lui appartient lhomme ne peut pas donner son avis

Bonjour partido! :joueur:

C'est un problème délicat... En cas de conflit entre le père et la mère, qui doit gagner, puisque le fœtus est génétiquement autant le produit de l'homme que celui de la femme? La situation serait insoluble si on n'avait d'égard que pour la génétique. Mais compte tenu du fait que le corps de la femme est celui qui abrite le fœtus, et que c'est la femme qui doit accoucher, ce qui n'est pas une mince affaire, il me semble que la balance penche en faveur du droit de la femme.
 
Bonjour partido! :joueur:

C'est un problème délicat... En cas de conflit entre le père et la mère, qui doit gagner, puisque le fœtus est génétiquement autant le produit de l'homme que celui de la femme? La situation serait insoluble si on n'avait d'égard que pour la génétique. Mais compte tenu du fait que le corps de la femme est celui qui abrite le fœtus, et que c'est la femme qui doit accoucher, ce qui n'est pas une mince affaire, il me semble que la balance penche en faveur du droit de la femme.
bonjour

se que tu dit est tres limiter et je m'explique

si une femme a le droit davoir ou pas un enfant
un hommes a le droit par exemple de vouloir faire avorter le foetus meme si la femme desire le garder ca na donc rien a voir avec laccouchement
donc ceux que tu dit est leger surtout que dans le droit si une personne possede une chose qui n'est pas a lui chez soi ou dans soit cela ne le donne pas le droit de le posseder si le posseseur le veut


le droit existe pour faire exister tout les droit
donc le droit est pour tous et pour tous on ecrase pas le droit dune personne au profit dune autre se nest pas la conception du droit
le droit de l'homme ne doit pas etre ecraser par celui de la femme
par se que le droit en democratie repescte le principe de liberter

donc si le droit de l'homme sur son foetus n'est pas assurer le droit de la femme ne doit pas etre mis en avant
et donc creer une inegalite

l'egalite et pour tous ou pour personne cette egalite definit le droit de tous et don l'egalite a tous pour ne laisez personne

je pense qu'il ya un grand vide creer par l'inegaliter et les hommes devrait s'organiser
puisque on es au 21 siecle
siecle ou ont prend en compte la liberter et les droit de tous sans distinction de sexe
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
bonjour

se que tu dit est tres limiter et je m'explique

si une femme a le droit davoir ou pas un enfant
un hommes a le droit par exemple de vouloir faire avorter le foetus meme si la femme desire le garder ca na donc rien a voir avec laccouchement
donc ceux que tu dit est leger surtout que dans le droit si une personne possede une chose qui n'est pas a lui chez soi ou dans soit cela ne le donne pas le droit de le posseder si le posseseur le veut


le droit existe pour faire exister tout les droit
donc le droit est pour tous et pour tous on ecrase pas le droit dune personne au profit dune autre se nest pas la conception du droit
le droit de l'homme ne doit pas etre ecraser par celui de la femme
par se que le droit en democratie repescte le principe de liberter

donc si le droit de l'homme sur son foetus n'est pas assurer le droit de la femme ne doit pas etre mis en avant
et donc creer une inegalite

l'egalite et pour tous ou pour personne cette egalite definit le droit de tous et don l'egalite a tous pour ne laisez personne

je pense qu'il ya un grand vide creer par l'inegaliter et les hommes devrait s'organiser
puisque on es au 21 siecle
siecle ou ont prend en compte la liberter et les droit de tous sans distinction de sexe

Bonjour partido! :joueur:

Ce que je dis n'est pas léger. Ok un enfant a deux parents, mais en cas de désaccord sur le destin du fœtus, il faut bien établir un ordre de priorité, et on ne peut pas simplement régler ça au cas par cas et aller en cour à chaque fois, ce serait bien trop compliqué... :eek:

Donc la solution, certes imparfaite, est que c'est la femme qui a le dernier mot, puisque c'est elle qui a à porter l'enfant. Comme elle a plus de responsabilités que le mec vis-à-vis le fœtus, elle a aussi plus de droits.


Le principe d'égalité n'est pas contredit, puisqu'il n'y a rien de mal à traiter de façon inégale des cas qui sont inégaux en soi.
 
Bonjour partido! :joueur:

Ce que je dis n'est pas léger. Ok un enfant a deux parents, mais en cas de désaccord sur le destin du fœtus, il faut bien établir un ordre de priorité, et on ne peut pas simplement régler ça au cas par cas et aller en cour à chaque fois, ce serait bien trop compliqué... :eek:.
salut

dans le droit il y'a pas d'ordre de prioriter
l'homme est la femme sont egaux en droit et le droit de l'homme ne doit pas s'effacer devant le droit de la femme
il nya pas a discriminer a cause des difference de sexe
le cas par cas et lessence du droit cest a dire le droit pour tous
Donc la solution, certes imparfaite, est que c'est la femme qui a le dernier mot, puisque c'est elle qui a à porter l'enfant. Comme elle a plus de responsabilités que le mec vis-à-vis le fœtus, elle a aussi plus de droits. .
tu dit nimporte quoi la repsnsabilite nefface pas .
le droit et l'eaglite pour tous et tu le sait

si on agit alor selon ta mentalite alor dans le passez un hommes aurait plus de droit qu'une femme car dans la majorite des cas l'homme subvient a la protection et au financement de la femme
mais tu sera daccord avec moi les avancer legitime du droit de la femme nont pas tenu compte par le passez de se genre de responsabilite vieillote puisque en realite cest le droit et legalite pour tous qui prevot sur les responsabilite

si elle n'est pas imparfaite et quelle ne respcte pas le principe degalite et de droit pour tous alor se n'est pas la solution
legalite des sexe est important la loi doit pas envisager la difference de sexe on est au 21
siecle cest par s eque la femme est differente quelle droit ecrasez le droit de l''homme 'l'homme est femme sont egaux devant la loi cest la regle et tu le sait tui na pas le droit de favoriser lun a lautre on est tous pareil et tule sait

ensuite on ne calcul plus au
siecle les difference hommes femme
hommes femmes sont egaux devant la loi et se qui appartient a l'homme la femme na pas le droit de prendre ou pas

si une femme desire garder l'enfant et que l'homme ne veut pas si la femme a la possibilite de parler l'homme aussi
ou alor aucun et la c'est le principe de l'egalite et du droit pour tous et pas du droit pour certain et de l'inegalite et tu le sait
Le principe d'égalité n'est pas contredit, puisqu'il n'y a rien de mal à traiter de façon inégale des cas qui sont inégaux en soi.
lol
tu tenten parler
sil ya inegalite alor le principe degalite et romput et le droit pour tous aussi

comme je te les dit on est au
siecle on ne regarde plus le droit selon le sexe des personne on est tous egaux
donc il y'a pas une loi qui doit s'imposer au detriment du droit legitime de l'autre et du principe d'egalite au droit a tous de se faire respecter

cette loi na pas ete reflechit de maniere scientifique et de maniere rationel
 
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