Je te donne l'info.. mais peut-être que tu ne l'aimera pas... peu importe la biographie de Mohammed que tu prends, ça va revenir au même car elle a été écrite pour expliquer le coran. Les hadiths de la sira ont été écrit en même tant que la fixation du sens du coran. Et si tu veux un exégèse, il te faut remonté plus loin que ce qui est communément établi pour en trouver le sens...
Je suppose que tu veux apprendre le coran peut-être, étant donné que pour le comprendre... il faut avoir lu la sira... qui dépend du coran...La biographie de Mohammed dépend de la tradition oral qui s’est transmise de père en fils...qui le tenant d'un compagnon du prophète...(Ça c'est la version officielle....)
On t'enseigne que le coran a été écrit en arabe or les recherche démontre autre chose... et le fait de le savoir permet de remonter à la source réelle du coran. Pour lire le coran, et le comprendre, il faut oublier la légende du prophète qui est là juste pour diriger le sens que l’on a voulu donner au coran.
Par exemple les 3 premières lettres de la sourate de la vache A.L.M. pour lesquels tu n'auras pas d'explication. C'est une abréviation en pure hébreux rabbinique que l’on retrouve sans problème encore aujourd’hui. Qui signifie, Dieu de la miséricorde.
Autre exemple, à la sourate 2, verset 26 Certes, Allah ne se gêne point de citer en exemple n'importe quoi : un moustique ou quoi que ce soit au-dessus...l’explication officielle...il faut savoir que les arabes faisait des reproche à Mohammed de mêlé au enseignement sérieux des enseignements tiré des insectes....
En sachant que l’origine des documents coranique, était un squelette de consonnes, sans accent... ...nous permet de trouver la clé de l’énigme... de la parabole du moustique, le mot parabole... «massal» est tiré directement de l’hébreu «Mashal», le mot suivant «baoutzatan » qui selon le traducteur signifie moustique... si tu changes le point (diacritisme) et ça devient «taoutzatan» (même lettre, même consonne, mais au lieu d’avoir un point en dessous, tu as deux points au-dessus) et ça devient la «Morale de la parabole» et là le texte se tient... bon j’arrête là...les auteurs sérieux ne court pas les rues...