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Loi de Finances 2013 : l'Istiqlal se désolidarise du PJD, son allié au gouvernement !
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[QUOTE="blagheurt, post: 11076344"] Sans doutes, tu les connais mal, comme leurs parcours politiques. Être directeur de rédaction d'une revue politique, forme, d'une part on n'est jamais à l'abri de la responsabilité pénale à cause d'un rédacteur ou d'un éditorialiste, d'autre part c'est le meilleur poste d'observation et d'analyse de la dynamique politique nationale. Plus de 40 ans dans l'opposition forme, bien entendu, quant à la formation pratique, les proverbes, c'est en forgeant que l'on devient forgeron et non hamem nifek ou goul nta heddad qui y répondent ... Prendre la dimension de l’intérêt national, des enjeux nationaux et internationaux, s'apprend dans les coulisses du Pouvoir et non sur les bancs d'une quelconque école ... Tu es en retard, d'un train, vu que des mesures des "novices" entrent déjà en vigueur, témoignant que le gouvernement est opérationnel et qu'il dérange les intérêts de certains lobbys. L'Istiqlal n'est pas le diable, car ses statuts originels et ses principes fondateurs étaient très proches de ceux de l'actuel PJD, et seules les "dérives" l'ont dévié de sa route première. C'est plus une question relative aux leaders, à l'action des élus, qu'au background idéologique. La fracture que l'on tente de générer entre des "mouvances" très voisines ne sert que les intérêts de l'opposition, dans notre mode de scrutin et va à l'encontre des intérêts à long terme de notre nation, comme de la stabilité gouvernementale. Les gouvernements antérieurs ne se sont jamais engagés à prendre le difficile chemin des restructurations, ils se sont contentés de gérer en creusant les déficits, au gré du laisser-aller et du laisser-faire. Caisse de compensation, redistribution des richesses, agréments, privilèges, retraites, bourses, AMO, smic, démunis et laissés pour compte ont été durablement mis de coté, enterrés sous une chape de connivences. Le changement structurel de l'économie, comme la démocratisation de la vie politique est en marche, dans la mesure de nos faibles marges de manœuvre compte tenu des endettements et déficits accumulés ... C'est une réalité objective qui ne nécessite aucune foi en des intentions ... [/QUOTE]
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