Une loi pour renforcer l’indemnisation des élus battus dans les urnes

Oh la grosse arnaque et ça continue de dépouiller cette puante .
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Les parlementaires ont adopté à l’unanimité un texte de loi prévoyant d’élargir les modalités d’indemnisation et de reclassement des élus en fin de mandat ou battus aux élections.



La nouvelle semble tomber à point nommé, quelques jours avant les élections départementales du 22 mars. Alors que Jean-Christophe Cambadélis estime que les socialistes pourraient se trouver éliminés dès le premier tour dans au moins 500 cantons, beaucoup de conseillers généraux sortants pourraient se retrouver au chômage technique. Pour parer aux difficultés de reclassement qui s’annoncent à l’avenir, les parlementaires viennent d’adopter à l’unanimité la loi sur le statut de l’élu. Elle prévoit notamment de doubler la durée d’indemnisation des élus après la fin de leur mandat.

«Un maire battu aux élections n’a pas le droit à Pôle emploi. Il s’agit que les élus n’aient pas moins de moyens que le reste de la population parce que ça peut freiner les ambitions de ceux qui voudraient s’engager», explique au Scan le député PS Philippe Doucet, rapporteur du texte. Actuellement, un élu en fin de mandat perçoit une indemnité dite de fin de mandat pendant six mois après avoir quitté son poste. Le texte prévoit de doubler cette durée. Ainsi que l’ouverture de droits à la formation. Les élus déchus pourront enfin transformer leur expérience en diplômes via le système de validation des acquis, une mesure qui vise à faciliter le reclassement en entreprise.

(…) La question du reclassement des élus battus s’est en effet déjà posée cruellement au lendemain des élections municipales de mars 2014. Selon le JDD, près de 3000 collaborateurs socialistes se sont par exemple retrouvés sans activité au lendemain de la défaite. Un problème qui pourrait se trouver décuplé pour les socialistes à l’occasion des élections départementales et régionales qui s’annoncent difficiles pour la gauche. Il demeurera également un autre problème de reclassement non couvert par le texte: celui des collaborateurs non élus des politiques.

Le Figaro

PS: Tiens ils se préoccupent des leurs mais pas 10 millions de chômeurs qu'ils ont créés .
 
Reuters -

Une étude de l'Inserm révèle que les chômeurs adoptent des comportements plus risqués que le reste de la population.

Le chômage tuerait «entre 10 000 et 20 000 personnes par an», selon l'estimation d'une étude sur la santé des chômeurs dirigée par Pierre Meneton, chercheur à l'Inserm, et publiée en novembre 2014 dans la revue International Archives of Occupational and Environmental Health.

Entre 1995 et 2007, le scientifique a suivi 6 000 volontaires âgés de 35 à 64 ans pour observer les effets du chômage sur la santé cardiovasculaire et la mortalité globale. L’étude met en évidence une «surmortalité très importante» chez les chômeurs, presque trois fois supérieure à celle des non-chômeurs. Le chômage a notamment «des effets majeurs sur la survenue d’accidents cardiovasculaires et de pathologies chroniques». Or, «ces effets sont bien liés à la condition de chômeur, parce que les retraités ou les personnes volontairement inactives ne sont pas touchées», précise le professeur Meneton.

Et d'expliquer que les chômeurs ont des «comportements à risque», induit par leur situation personnelle. En moyenne, «ils consomment plus d’alcool, moins de fruits et légumes, et ont un apport calorique (hors alcool) très significativement plus élevé que la moyenne». Mais, de l'aveu de l'auteur, ces résultats sont probablement «une sous-estimation de la réalité». Ils se basent en effet sur un échantillon de personnes plus favorisées que la moyenne et ne tiennent pas compte des effets de la crise économique.

Une mission confiée à l'Inspection générale des affaires sociales

Aucune étude ne donne, pour l’heure, de vision plus précise de la situation. Paradoxal dans un pays qui connaît le chômage de masse depuis des décennies. Fin janvier, Pôle emploi recensait 3,7 millions de chômeurs en France, 5,5 millions en comptant ceux ayant une petite activité.

C’est une «problématique importante à nos yeux», assure pourtant le ministère du Travail, qui a récemment confié
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Secte crapuleuse .
Les compensations vont aller forts .
 
Ils ont prévu le coup . Bien arnaquer les salariés mais il y a autre chose .
La question du reclassement des élus battus s’est en effet déjà posée cruellement au lendemain des élections municipales de mars 2014. Selon le JDD, près de 3000 collaborateurs socialistes se sont par exemple retrouvés sans activité au lendemain de la défaite. Un problème qui pourrait se trouver décuplé pour les socialistes à l’occasion des élections départementales et régionales qui s’annoncent difficiles pour la gauche
 
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