L’onu demande des comptes au maroc sur la privatisation de l’enseignement

thitrite

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La privatisation du système éducatif est épinglée par les Nations unies. Un comité d’experts a adressé au gouvernement une liste de questions.
« L’enseignement privé [au Maroc] se développe très rapidement, surtout au primaire, sans la supervision nécessaire concernant les conditions d’inscription et la qualité de l’enseignement dispensé, ce qui a conduit au renforcement des inégalités dans la jouissance du droit à l’éducation » s’inquiétait en septembre le Comité des droits de l’enfant (CDE) des Nations unies.

Le CDE avait alors adressé des recommandations au gouvernement pour qu’il évalue et traite les conséquences de la privatisation rapide de l’éducation. La requête demeurée sans effet, un autre comité d’expert de l’Onu, le Comité des droits économiques, sociaux et culturels (CDESC), a adressé cette foisci le 19 mars une liste de questions auxquelles doit répondre le gouvernement. L’une d’entre elles concerne l’éducation.

L’Onu demande ainsi que le gouvernement fournisse des renseignements sur l’impact de la privatisation sur la lutte contre les inégalités et sur les mesures prises par lui pour améliorer la qualité de l’enseignement public.

Cette requête s’appuie sur un rapport écrit par un collectif d’ONG marocaines et internationales actives dans le domaine de l’éducation et soumis à la CDESC en décembre 2014.

.....La privatisation est source de ségrégation scolaire au Maroc Pour Global initiative, il ne s’agit pas de remettre en cause l’existence de l’enseignement privé mais de le réguler pour qu’il ne soit pas créateur de disparités scolaires et qu’il ne conduise pas à la marchandisation de l’éducation. Sylvain Aubry, du centre de recherche Global Initiatives, affirme dans le Monde : « S’il est bien encadré, l’enseignement privé peut apporter une source de diversité pédagogique utile dans un système éducatif, afin de promouvoir des pédagogies nouvelles de répondre aux besoins de groupes ethniques ou religieux minoritaires, ou d’apporter une source de liberté dans des pays autoritaires. Mais il se doit d’être une alternative à un enseignement gratuit et de qualité. Il ne doit pas être une source de ségrégation scolaire. »

.....
Cependant au Maroc, force est de constater que l’école privée tend à répondre aux défaillances de l’éducation publique, plus qu’à une demande en termes de diversité pédagogique.

article complet : sur :L’Onu demande des comptes au Maroc sur la privatisation de l’enseignement
 
Privatisation , je pense que le terme est ici mal défini. Le Maroc n'a pas privatisé encore l'enseignement mais je pense que l'onu vise l'enseignement privé qui est forte chez nous et mal encadré. Je connais personnellement de jeunes professeurs en classe de 5 eme (cm2) et 6 eme (observation) privés qui n'ont pas leur bac, alors que dans le public, le prof du primaire soit avoir un bac+2 ou plus.
La question d'argent est decisive dans cet enseignement privé, face a un enseignement publique défaillant a cause des prof insouciants les citoyens malgré leurs problèmes n'ont d'autres possibilités que se diriger vers le privé et la aussi ils sont déplumés a tort et a travers sans .....intervention des ministres de tutelle
 
Salut,
Le ras-le-bol, l'auto-dérision ne suffisent pas à calmer les esprits soucieux du devenir des nouvelles générations, de leurs enfants ..
Peut mieux faire, passable, médiocre pour le bilan d'une scolarisation depuis l'indépendance ?
Pourtant les solutions durables ne sont pas difficiles à entrevoir, ni à mettre en place.
Notre dilemme : Pinailler sur les vétilles et être aveugles en ce qui concerne l'essentiel ? ? ? ...
Agir certes, avancer bien sûr, mais corriger au fur et à mesure, c'est le b.a.b.a d'une dynamique évolutive.
Nul besoin d'attendre les éventuels audits, ni les avis d'instances aussi respectables, ou encore d'experts internationaux car malgré toutes leurs bonnes intentions et bonnes volontés, ils se résumeront à un simple constat : l'absence de feedback rétroactif, de responsabilité régulatrice nécessaire à corriger une dynamique "évolutive" pouvant "dévier ou dériver".

Pas de "timonier" à bord, ni de timon, même pas de voiles, ni même de vent, ni de théodolite ou d’astrolabe, pas de responsable, rien qu'une épave à la dérive ...

Les USA ont mis en place des "boards", permettant aux parents d'exercer un droit de regard et un rôle régulateur de contrôle, dans la mission éducative des établissements, tandis que chez nous les parents d'élèves constatent les carences et les corrigent, quand ils ont la formation nécessaire, pour tirer l'épingle du jeu de leurs seuls et propres enfants.

Les établissements scolaires sont sourds aux remarques des parents, en juges et parties, faisant peu de cas des remarques de ces derniers : profs absents de longue durée, fantômes, profs nuls, débarquant en état d'ivresse, programmes et ouvrages scolaires mal conçus etc ...
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ...


La constitution prône une corrélation entre responsabilité et reddition des comptes, un principe qui semble échapper à notre chère éducation nationale.
Les parents d'élèves sont les parents pauvres de l'éducation nationale comme de celle privée.
L'éducation nationale est conçue, comme une unité artisanale de production de compétences au lieu d'être considérée et modélisée comme une "industrie" moderne, lieu d'actes efficients de production "qualitative".
Les instruments et outillages didactiques et pédagogiques, les programmes, les technologies, les supports informationnels, les labos de R&D, les enseignants, les acteurs c'est pour la forme, les inventaires (projecteurs, microscopes jamais déballés), les magasins de stockage, le maigre salaire et les juteux marchés ...
Noter les directeurs d'établissements, les profs en fonction des taux de réussite, classer les établissements, répartir les budgets en fonction de l'efficience, activer les conseils de discipline aussi bien pour les élèves que pour les enseignants et directeurs.
Créer des bases de données, de suivi des dossiers scolaires, introduire des paramètres et ratios pertinents permettant de jauger "finement" qualitativement la production des compétences et l'évolution de cette dernière. Œuvrer pour la transparence.
Développement d'une plateforme numérique : le simple fait d'introduire dans l'environnement d'un élève des solutionnaires en Maths et Physique etc, change complètement ses résultats et ses potentiels profils de parcours scolaire.
Responsabiliser, contrôler, sévir, exiger l'excellence ...
 
Dernière édition:

fracasse

Vous êtes né un original Ne devenez pas une copie
Salut,
Le ras-le-bol, l'auto-dérision ne suffisent pas à calmer les esprits soucieux du devenir des nouvelles générations, de leurs enfants ..
Peut mieux faire, passable, médiocre pour le bilan d'une scolarisation depuis l'indépendance ?
Pourtant les solutions durables ne sont pas difficiles à entrevoir, ni à mettre en place.
Notre dilemme : Pinailler sur les vétilles et être aveugles en ce qui concerne l'essentiel ? ? ? ...
Agir certes, avancer bien sûr, mais corriger au fur et à mesure, c'est le b.a.b.a d'une dynamique évolutive.
Nul besoin d'attendre les éventuels audits, ni les avis d'instances aussi respectables, ou encore d'experts internationaux car malgré toutes leurs bonnes intentions et bonnes volontés, ils se résumeront à un simple constat : l'absence de feedback rétroactif, de responsabilité régulatrice nécessaire à corriger une dynamique "évolutive" pouvant "dévier ou dériver".

Pas de "timonier" à bord, ni de timon, même pas de voiles, ni même de vent, ni de théodolite ou d’astrolabe, pas de responsable, rien qu'une épave à la dérive ...

Les USA ont mis en place des "boards", permettant aux parents d'exercer un droit de regard et un rôle régulateur de contrôle, dans la mission éducative des établissements, tandis que chez nous les parents d'élèves constatent les carences et les corrigent, quand ils ont la formation nécessaire, pour tirer l'épingle du jeu de leurs seuls et propres enfants.

Les établissements scolaires sont sourds aux remarques des parents, en juges et parties, faisant peu de cas des remarques de ces derniers : profs absents de longue durée, fantômes, profs nuls, débarquant en état d'ivresse, programmes et ouvrages scolaires mal conçus etc ...
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ...


La constitution prône une corrélation entre responsabilité et reddition des comptes, un principe qui semble échapper à notre chère éducation nationale.
Les parents d'élèves sont les parents pauvres de l'éducation nationale comme de celle privée.
L'éducation nationale est conçue, comme une unité artisanale de production de compétences au lieu d'être considérée et modélisée comme une "industrie" moderne, lieu d'actes efficients de production "qualitative".
Les instruments et outillages didactiques et pédagogiques, les programmes, les technologies, les supports informationnels, les labos de R&D, les enseignants, les acteurs c'est pour la forme, les inventaires (projecteurs, microscopes jamais déballés), les magasins de stockage, le maigre salaire et les juteux marchés ...
Noter les directeurs d'établissements, les profs en fonction des taux de réussite, classer les établissements, répartir les budgets en fonction de l'efficience, activer les conseils de discipline aussi bien pour les élèves que pour les enseignants et directeurs.
Créer des bases de données, de suivi des dossiers scolaires, introduire des paramètres et ratios pertinents permettant de jauger "finement" qualitativement la production des compétences et l'évolution de cette dernière. Œuvrer pour la transparence.
Développement d'une plateforme numérique : le simple fait d'introduire dans l'environnement d'un élève des solutionnaires en Maths et Physique etc, change complètement ses résultats et ses potentiels profils de parcours scolaire.
Responsabiliser, contrôler, sévir, exiger l'excellence ...

Source ? o_O:D
 
On n'a pas besoin de source, nous vivons pratiquement cette situation depuis des decennies et le rapport de la semaine dernière issu des statistiques organisées par le gouvernement dans le cadre d'évaluation des acquis attestent publiquement que 90°/° (quatre vingt dix) des collegiens et lycéens n'ont pas eu de moyenne en math physique et science ! donc ce n'est pas la peine d'aller plus loin

et juste pour te faire plaisir voici les sourcesdemandées a JOKEUR
EDUCATION/

22 milliards de dirhams de plus n’ont pas empêché 5 millions d’élèves de décrocher
il aura fallu 15 ans au Maroc pour conclure que l’application de la charte nationale de l’éducation initiée au début du siècle est un échec.
ne usine à mauvais élèves...

Si l’on en croit les différents programmes d’évaluation des acquis, le système éducatif marocain a du mal à produire de bons élèves. Le rapport du Conseil d’Azziman rappelle les conclusions du Programme national d’évaluation des acquis (PNEA) qui avait évalué le niveau des élèves marocains en mathématiques, sciences, arabe et français. Les résultats de cette étude indiquent que 60% des élèves de la 6ème année du primaire obtiennent des scores inférieurs à la moyenne en mathématiques et en sciences, au secondaire collégial ce taux augmente à 92% pour la deuxième année et 84% pour la troisième année. Les résultats ne sont pas meilleurs en ce qui concerne les langues.

Education: 22 milliards de dirhams de plus n’ont pas empêché 5 millions d’élèves de décrocher | Aujourd'hui le Maroc
 
Source : A tilifoun 3arbi ....

Avec un taux de natalité minimal de 20/1000, pour une population, minorée en moyenne, de 30 000 000 d'habitants, cela fait une génération de 600 000 élèves qui devrait arriver tous les ans au bac. Compte tenu des taux de réussite/échec au bac, puis des abandons au cours des études supérieures on en déduit que sur les quinze ans le chiffre de cinq million d'élèves et d'étudiants qui décrochent est une approximation voisine mais minorée.
Il reste que cette approche quantitative pourtant significative élude l'aspect qualitatif, qui est un autre problème plus sérieux et déterminant pour le développement national, car il détermine la qualité des compétences susceptibles d'être créatrices et génératrices d'emplois.
 
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Privatisation , je pense que le terme est ici mal défini. Le Maroc n'a pas privatisé encore l'enseignement mais je pense que l'onu vise l'enseignement privé qui est forte chez nous et mal encadré. Je connais personnellement de jeunes professeurs en classe de 5 eme (cm2) et 6 eme (observation) privés qui n'ont pas leur bac, alors que dans le public, le prof du primaire soit avoir un bac+2 ou plus.
La question d'argent est decisive dans cet enseignement privé, face a un enseignement publique défaillant a cause des prof insouciants les citoyens malgré leurs problèmes n'ont d'autres possibilités que se diriger vers le privé et la aussi ils sont déplumés a tort et a travers sans .....intervention des ministres de tutelle

J'ai un cousin enseignant en primaire (Publique) à Casa. Je le connais très bien. Et à vrai dire, je ne lui confierais pas mes enfants même pas sous la torture.
 
d'apres les ministres c'est la banque mondiale qui est la cause de la baisse d'enseignant et des medecins, le nombre d hopital, d'ecole, bref des collaborateurs en secteur public dans notre pays, le pays a des dettes importantes, il est obligi de reduire ces effectifs en public si j'ai bien compris et en plus les beaurgois qui sont a l'onu et en ces institutions internationale, ont un esprit capitaliste, d'ou une pression sur le pays pour privatiser l'etat. le maroc est un pays pauvre, les gens n'ont pas la culture et l'education surtout dans les milieux ruraux et avec la baisse de l'interet de l'etat pour le publuc et le chomage croissant on peut pas espere mieux.
 
La faute est attribué aux politiciens notamment le parti de l'Istiqlal qui a ouvert le chantier de l'arabisation en 1960 environ ! et d'ailleurs sans jamais la réussir .. nous sommes toujours en periode d'arabisation .. et on voit la darijasion s'installer de bon;
le resultat ce sont 5 generations de nos enfants qui ont été sacrifié pendant que les enfants de ceux qui arabisent ... font des progrès aux universités etrangères
 
je l'ai lu sur le journal, la faute aux systeme educatif, mais non c'est faute de moyen financiere.
Ce n'est pas une question de moyens financiers, mais de méthode de travail, de formation, de communication comme de "transferts" de représentations de l'univers, de modèles, de langages ...

Lorsqu'un PC "déconne", on s'interroge sur le hard-machine, puis sur le soft (programme ou logiciel) : seule une compétence peut tirer le max d'un système d'information, le réparer, le maintenir, l'entretenir, le développer, l'alimenter en données, optimiser l'utilisation mémoire, des registres, développer de nouveaux modules, subroutines etc ..

Si un élève "déconne", on s'interroge sur ses facultés : sourd, mal entendant, mal voyant etc .. puis sur son mode de raisonnement, son aptitude à donner du sens, ses connaissances et savoirs, ses errements, sa "maturité", sa capacité d'interpréter, de représenter etc ...

L'argent sert tout au plus à rémunérer les "bonnes compétences" comme depuis l'indépendance, de nombreux boulets inutiles de la fonction "éducationnelle" ...
 
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Privatisation , je pense que le terme est ici mal défini. Le Maroc n'a pas privatisé encore l'enseignement mais je pense que l'onu vise l'enseignement privé qui est forte chez nous et mal encadré. Je connais personnellement de jeunes professeurs en classe de 5 eme (cm2) et 6 eme (observation) privés qui n'ont pas leur bac, alors que dans le public, le prof du primaire soit avoir un bac+2 ou plus.
La question d'argent est decisive dans cet enseignement privé, face a un enseignement publique défaillant a cause des prof insouciants les citoyens malgré leurs problèmes n'ont d'autres possibilités que se diriger vers le privé et la aussi ils sont déplumés a tort et a travers sans .....intervention des ministres de tutelle
tu as raison, les établissements privés n'utilisent pas des enseignants diplomés et qui ont étudié la pédagogie et qui ont un diplome d'enseignant, ils utilisent pour le primaire des niveau bas et pour le collège et le lycée des licenciés en chomage, les salaires qu'ils leur donnent sont dérisoires et certains établissement ne les payent pas pendant les vacances d'été. L'enseignement privé au Maroc n'a pas et ne pourra pas résoudre les problèmes de l'enseignement. il ne fait pas partie de la solution mais fait partie du problème
 
Ce n'est pas une question de moyens financiers, mais de méthode de travail, de formation, de communication comme de "transferts" de représentations de l'univers, de modèles, de langages ...

Lorsqu'un PC "déconne", on s'interroge sur le hard-machine, puis sur le soft (programme ou logiciel) : seule une compétence peut tirer le max d'un système d'information, le réparer, le maintenir, l'entretenir, le développer, l'alimenter en données, optimiser l'utilisation mémoire, des registres, développer de nouveaux modules, subroutines etc ..

Si un élève "déconne", on s'interroge sur ses facultés : sourd, mal entendant, mal voyant etc .. puis sur son mode de raisonnement, son aptitude à donner du sens, ses connaissances et savoirs, ses errements, sa "maturité", sa capacité d'interpréter, de représenter etc ...

L'argent sert tout au plus à rémunérer les "bonnes compétences" comme depuis l'indépendance, de nombreux boulets inutiles de la fonction "éducationnelle" ...
t'a des chiffre pour affirmer ceci? un enfant en pedagogie c'est pas une machine mais un etre capable de faire des choses.
 
t'a des chiffre pour affirmer ceci? un enfant en pedagogie c'est pas une machine mais un etre capable de faire des choses.

Une telle "analogie" permet de cerner les conditions nécessaires minimales, non suffisantes ...
Nul n'est censé ignoré qu'il s'agit d'individus ...qu'il faut pourtant faire passer dans un moule scolaire et éducatif commun, ne serait-ce que pour tenir un langage commun, que certains ne semblent pas comprendre ..
Les chiffres ont été avancé plus haut : plusieurs milliards de dhs dépensés avec un "rendement" annuel ou par génération scolarisée, en terme de réussite bac+4 ... bac +6, voisin de 30 %, dont les meilleurs (branches scientifiques grandes écoles d'ingénieurs et commerciales HEC, ESSEC) s'expatrient pour étudier puis travailler à l'étranger ...
Ce qui veut dire que 70 % du budget de l'éducation nationale, (même s'il forme des citoyens), est affecté à des objectifs de"réussite" qui ne seront pas atteints ...
Par ailleurs, des parents inscrivent leurs enfants dans les écoles les plus coûteuses financièrement sans résultats à la clé (voir le taux de réussite des prépas privées marocaines au CPGE) ...
Convaincu ? ...
 
Dernière édition:
Une telle "analogie" permet de cerner les conditions nécessaires minimales, non suffisantes ...
Nul n'est censé ignoré qu'il s'agit d'individus ...qu'il faut pourtant faire passer dans un moule scolaire et éducatif commun, ne serait-ce que pour tenir un langage commun, que certains ne semblent pas comprendre ..
Les chiffres ont été avancé plus haut : plusieurs milliards de dhs dépensés avec un "rendement" annuel ou par génération scolarisée, en terme de réussite bac+4 ... bac +6, voisin de 30 %, dont les meilleurs (branches scientifiques grandes écoles d'ingénieurs et commerciales HEC, ESSEC) s'expatrient pour étudier puis travailler à l'étranger ...
Ce qui veut dire que 70 % du budget de l'éducation nationale, (même s'il forme des citoyens), est affecté à des objectifs de"réussite" qui ne seront pas atteints ...
Par ailleurs, des parents inscrivent leurs enfants dans les écoles les plus coûteuses financièrement sans résultats à la clé (voir le taux de réussite des prépas privées marocaines au CPGE) ...
Convaincu ? ...
non, le prive au maroc ne mange pas car, les enseignants en prives pas si qualifies qu'en public, aussi les etudiants en public generalement pauvre ont des capaciti meilleurs que ceux en public tu vois. Helas, les facs au maroc ne produisent pas des etudiants autonomes et capables de travailler leurs pays c'est le cas d'ailleurs en France et la raison est simple:l'etat n'intervient pas souvent faute de moyen et il n y a pas au maroc des entreprises privi capable de s'interesser a eux et a leurs formatiions. le privi au maroc c'est la catastrophe: l'etat paye pour aider le privi mais le privi ne paye pas, et ca rien a voir avec les usa ou autre pays en europe, et meme les pays ki se developpe vite ces derniers temps. les seule entreprises au maroc: les banques, les regroupement miniere(OCP) ali et ses frire, des entreprises etrangeres ki exploitent des ouvriers voila.
 
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