Vie privée, vie publique, quelle frontière ?
Elle est parfois difficile à cerner avec l'émergence de sites de réseaux sociaux comme Facebook ou Copains d'Avant, ou les sites de partage de photos (Flick'R) ou vidéos (YouTube, DailyMotion).
Une personne qui était en recherche d'emploi en a fait les frais.
"Lors d'un entretien d'embauche, un jeune homme s'est vu présenter une photo de ses fesses", rapporte le président de la CNIL, la Commission nationale de l'informatique et des libertés cité par Le Monde.
Ses employeurs l'ont tout simplement trouvé... sur internet. "Quelques mois plus tôt, dans une soirée arrosée, avec des copains de la fac de droit, il avait montré ses fesses. Un de ses copains a pris la photo et l'a balancée sur le réseau social. C'est amusant", raconte le président de la CNIL dans La Provence.
La suite de l'histoire est beaucoup moins drôle. Le candidat n'a pas eu l'emploi.
Cette histoire n'est pas sans rappeler celle d'un certain Marc L., devenu célèbre malgré lui après la publication de son portrait dans le magazine Le Tigre. Le journaliste est parti à la pêche aux infos sur le web, tout simplement. La démarche est donc tout à fait légale puisque toutes les données, si intimes soient-elle, étaient diffusées sur des sites publics.
D'où l'impossibilité pour Marc L. de porter plainte, s'il y avait penser. "Ce serait difficilement soutenable devant un juge", estime le président de la CNIL. "Le magazine n'a fait qu'utiliser des sources pbliques."
Alors que faire pour protéger l'internaute ? Les CNIL européennes y réfléchissent. Elles voudraient proposer des "garde-fous" pour permettre aux fans de Facebook et autres FlickR de pouvoir effacer facilement et rapidement des données privées.
Source: Lepost.fr
Elle est parfois difficile à cerner avec l'émergence de sites de réseaux sociaux comme Facebook ou Copains d'Avant, ou les sites de partage de photos (Flick'R) ou vidéos (YouTube, DailyMotion).
Une personne qui était en recherche d'emploi en a fait les frais.
"Lors d'un entretien d'embauche, un jeune homme s'est vu présenter une photo de ses fesses", rapporte le président de la CNIL, la Commission nationale de l'informatique et des libertés cité par Le Monde.
Ses employeurs l'ont tout simplement trouvé... sur internet. "Quelques mois plus tôt, dans une soirée arrosée, avec des copains de la fac de droit, il avait montré ses fesses. Un de ses copains a pris la photo et l'a balancée sur le réseau social. C'est amusant", raconte le président de la CNIL dans La Provence.
La suite de l'histoire est beaucoup moins drôle. Le candidat n'a pas eu l'emploi.
Cette histoire n'est pas sans rappeler celle d'un certain Marc L., devenu célèbre malgré lui après la publication de son portrait dans le magazine Le Tigre. Le journaliste est parti à la pêche aux infos sur le web, tout simplement. La démarche est donc tout à fait légale puisque toutes les données, si intimes soient-elle, étaient diffusées sur des sites publics.
D'où l'impossibilité pour Marc L. de porter plainte, s'il y avait penser. "Ce serait difficilement soutenable devant un juge", estime le président de la CNIL. "Le magazine n'a fait qu'utiliser des sources pbliques."
Alors que faire pour protéger l'internaute ? Les CNIL européennes y réfléchissent. Elles voudraient proposer des "garde-fous" pour permettre aux fans de Facebook et autres FlickR de pouvoir effacer facilement et rapidement des données privées.
Source: Lepost.fr