L’université de Montréal offre aux jeunes français un bain agréable dans le monde américain. L’admission se fait sur dossier scolaire et notes du bac.
Classée 5e meilleure université du Canada par le Times Higher Education, l’université de Montréal a toujours attiré les étudiants français.
Ils sont 2000 chaque année à y suivre des cours, notamment en sciences sociales, sciences politiques, études internationales, criminologie, mais aussi biochimie, pharmaceutique.
Depuis 2015, les frais de scolarité ont augmenté pour les Français qui paient le même prix que les étudiants canadiens non-résidents au Québec, soit environ 5000 euros par an.
Les explications et les conseils de Michèle Glemaud, directrice générale du service admission et recrutement de l’université.
Michèle Glemaud conseille une année de mise à niveau pour les étudiants trop justes en terminale.
Après le bac: «Avec 12/20 de moyenne au bac»
Tous les candidats français qui ont un bac général sont les bienvenus dans les différents programmes de l’université de Montréal. Nous privilégions les jeunes qui ont décroché leur bac avec au moins 12/20 de moyenne, voire 14/20 dans certains programmes internationaux.
Les dossiers de candidatures étant envoyés en hiver, nous regardons les notes et les moyennes de première et du premier trimestre de seconde, ce qui nous donne une idée du profil du jeune. Nous pouvons ensuite lui faire une offre conditionnée à l’obtention du bac.
Suivant la licence qu’ils souhaitent intégrer, et en fonction de la qualité de leur dossier, les jeunes français intègrent directement la première année de la licence, ou bien ils suivent pendant un an une mineure arts et sciences, sorte de classe prépa avec des cours très variés. Cette mineure est une année de mise en niveau, qui permet ensuite de s’intégrer avec succès dans le programme de son choix, en première année de licence.
C’est pourquoi les jeunes qui n’ont pas 12/20 de moyenne peuvent tout de même nous soumettre leur dossier, et nous les examinerons pour voir si une année de mineure chez nous peut leur permettre d’atteindre le niveau attendu en première année de licence à l’université de Montréal.
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Classée 5e meilleure université du Canada par le Times Higher Education, l’université de Montréal a toujours attiré les étudiants français.
Ils sont 2000 chaque année à y suivre des cours, notamment en sciences sociales, sciences politiques, études internationales, criminologie, mais aussi biochimie, pharmaceutique.
Depuis 2015, les frais de scolarité ont augmenté pour les Français qui paient le même prix que les étudiants canadiens non-résidents au Québec, soit environ 5000 euros par an.
Les explications et les conseils de Michèle Glemaud, directrice générale du service admission et recrutement de l’université.
Michèle Glemaud conseille une année de mise à niveau pour les étudiants trop justes en terminale.
Après le bac: «Avec 12/20 de moyenne au bac»
Tous les candidats français qui ont un bac général sont les bienvenus dans les différents programmes de l’université de Montréal. Nous privilégions les jeunes qui ont décroché leur bac avec au moins 12/20 de moyenne, voire 14/20 dans certains programmes internationaux.
Les dossiers de candidatures étant envoyés en hiver, nous regardons les notes et les moyennes de première et du premier trimestre de seconde, ce qui nous donne une idée du profil du jeune. Nous pouvons ensuite lui faire une offre conditionnée à l’obtention du bac.
Suivant la licence qu’ils souhaitent intégrer, et en fonction de la qualité de leur dossier, les jeunes français intègrent directement la première année de la licence, ou bien ils suivent pendant un an une mineure arts et sciences, sorte de classe prépa avec des cours très variés. Cette mineure est une année de mise en niveau, qui permet ensuite de s’intégrer avec succès dans le programme de son choix, en première année de licence.
C’est pourquoi les jeunes qui n’ont pas 12/20 de moyenne peuvent tout de même nous soumettre leur dossier, et nous les examinerons pour voir si une année de mineure chez nous peut leur permettre d’atteindre le niveau attendu en première année de licence à l’université de Montréal.
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