Madrid: Des étudiants manifestent contre la mixité

Mims

Date limite de consommation : 26/01/2033
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A Madrid, plusieurs centaines d'étudiants espagnols d'universités privées non-mixtes ont manifesté bruyamment dans la rue mardi 23 mars, nous apprend El Pais. Pour réclamer la mixité? Non, pour la rejeter! Le recteur de la prestigieuse université madrilène de Complutense a annoncé que trois collèges publics qui séparent encore les sexes allaient devenir mixtes, provoquant une révolte conservatrice des étudiants.

La plupart des des universités espagnoles sont devenues mixtes dans les années 1960, avec une seconde vague dans les années 1970-1980, sans problème particulier. Aujourd'hui, certains sont incrédules devant cette rebellion inattendue. «J'y ai réfléchi toute la journée et je ne comprends toujours pas!», a déclaré le président de l'Association des facultés et résidences universitaires publiques.

«Cela prend racine dans une vieille tradition, présente sur tous les continents chez les adolescents et post-adolescents», selon le sociologue Mariano Fernandez Enguita. «Il s'agit d'espèces de rites initiatiques en bande de même sexe qui marquent les débuts de le jeunesse.»

Anne-Marie Reboul, directrice du collège Teresa de Jesus, l'une des facultés concernées, explique: «Leur argument principal est qu'avec la mixité, ils perdraient leur identité. Mais si on leur pose la question de ce qu'est cette identité, ils ont du mal à la définir.»

Source: El pais via Slate.fr
 
A Madrid, plusieurs centaines d'étudiants espagnols d'universités privées non-mixtes ont manifesté bruyamment dans la rue mardi 23 mars, nous apprend El Pais. Pour réclamer la mixité? Non, pour la rejeter! Le recteur de la prestigieuse université madrilène de Complutense a annoncé que trois collèges publics qui séparent encore les sexes allaient devenir mixtes, provoquant une révolte conservatrice des étudiants.

La plupart des des universités espagnoles sont devenues mixtes dans les années 1960, avec une seconde vague dans les années 1970-1980, sans problème particulier. Aujourd'hui, certains sont incrédules devant cette rebellion inattendue. «J'y ai réfléchi toute la journée et je ne comprends toujours pas!», a déclaré le président de l'Association des facultés et résidences universitaires publiques.

«Cela prend racine dans une vieille tradition, présente sur tous les continents chez les adolescents et post-adolescents», selon le sociologue Mariano Fernandez Enguita. «Il s'agit d'espèces de rites initiatiques en bande de même sexe qui marquent les débuts de le jeunesse.»

Anne-Marie Reboul, directrice du collège Teresa de Jesus, l'une des facultés concernées, explique: «Leur argument principal est qu'avec la mixité, ils perdraient leur identité. Mais si on leur pose la question de ce qu'est cette identité, ils ont du mal à la définir.»

Source: El pais via Slate.fr

En Espagne et en Italie, le bon sens est toujours d actu, j espere pour eux qu ils resisteront au socialiste connu sous le pseudo de bambi la franc mac!
 

Mims

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je trouve que la non mixité à du bon dans les études.... pas de prise de tête avec le sexe opposé durant les cours...on se concentre sur l'essentiel !

Certaines études ont même démontré que les filles ressentaient un complexe d'infériorité par rapport aux hommes dans certaines filiéres , les professeurs privilégieant ces derniers , , comme les filiéres scientifiques par exemple . Un autre argument favorable pour la non mixité ,en ce sens, ou elle pourrait peut-être rééquilibrer la donne, et voir plus de femmes dans le domaine de la recherche .
 
Certaines études ont même démontré que les filles ressentaient un complexe d'infériorité par rapport aux hommes dans certaines filiéres , les professeurs privilégieant ces derniers , , comme les filiéres scientifiques par exemple . Un autre argument favorable pour la non mixité ,en ce sens, ou elle pourrait peut-être rééquilibrer la donne, et voir plus de femmes dans le domaine de la recherche .

Effectivement, il est presque systématique qu'on propose une filière littéraire plutôt que scientifique à une jeune fille....

le complexe dont tu parles est souvent nourri par les profs eux mêmes !
 
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