La main-d’œuvre rurale, objet de harcèlement moral et physique à Casablanca :

madalena

Contributeur
Contributeur
salam

La main-d’œuvre rurale, objet de harcèlement moral et physique à Casablanca : L’Aïd El Kébir lève le voile sur une discrimination qui ne dit pas son nom

Il est 9h30. On est au deuxième jour de l’Aïd El Kébir. Les rues de la métropole sont presque désertes. Les boutiques et les commerces sont fermés et les grands embouteillages des heures de pointe semblent bien céder la place à une circulation rapide et fluide.

La capitale économique, si grouillante et énergique, semble vidée de sa population. «Enfin, on peut respirer puisque les «Aroubia» (les ruraux) ont quitté la ville».

C’est ainsi que ce jeune homme de 22 ans en chômage a préféré commenter avec ironie la situation de sa ville devenue fantôme durant les vacances de l’Aïd. Il fait allusion à ces milliers de maçons, concierges, gardiens de voitures, marchands ambulants, commerçants, femmes de ménages, serveurs, etc., qui sont rentrés chez eux pour fêter l’Aid avec leurs familles.

Appelés également «Hargaoua», «Jbala» ou «Khbour» par les descendants de Casablancais qui taxaient les ruraux fraîchement débarqués de «Tnaker». Ces derniers sont accusés d’être responsables de tous les maux dont souffre la ville : embouteillages, chômage, insécurité, ordures, cherté de la vie, etc. «Ils sont partout et sont prêts à faire n’importe quoi pour gagner leur vie même dans des conditions humiliantes.

http://www.libe.ma/La-main-d-oeuvre...id-El-Kebir-leve-le-voile-sur-une_a31871.html
 
Propos de hitistes idiots et desoeuvrés sans interet.

En 1912, il y avait 25 000 habitants à Casablanca à tout cassé et une bonne proportion de juifs et d'européens. Donc en toute logique l'IMMENSE et ECRASANTE majorité (pour pas dire tous) des casablancais sont des "émigrés".

L’hôpital qui se fout de la charité...
 
Haut