salam
Abbi Jillians peut enfin coiffer ses poupées, comme toutes les autres petites filles de son âge.
Abbi Jillians a 4 ans. Depuis toute petite, cette jeune Britannique a appris à vivre avec une main en moins. Mais ça, c’était avant que la technologie ne lui vienne en aide.
En effet, depuis peu, Abbi Jillians a vu sa vie bouleversée grâce à la confection, sur une imprimante 3D, d’une main artificielle. «Quand nous sommes rentrés à la maison pour la première fois avec cette technologie, la première chose qu’elle a faite est de prendre sa poupée pour brosser ses cheveux, se souvient sa maman sur le site du DailyMail. C’était une chose qu’elle a toujours voulu faire.» Et depuis lors, la petite fille ne s’arrête plus…
«Maintenant, je retrouve des choses dans toute la maison, comme des pommes à l’étage, sourit Julie Jillians. Elle a même réussi à pincer les fesses de son père.»
Beaucoup plus autonome qu’avant, Abbi Jillians profite pleinement de sa main - dont le prix avoisine les 68 euros - qui s’ouvre et se ferme en fonction du geste de son poignet. «Cette technologie est fantastique, même si nous n’en abusons pas parce que ses muscles ne sont pas encore assez développés. Mais plus elle l’utilise, plus son poignet et son bras seront forts.»
Face à leur fille qui déclare elle-même vouloir «porter pour toujours» sa nouvelle main, les parents d’Abbi Jillians ont récolté 5.500 euros afin de permettre à d’autres enfants de bénéficier d’une imprimante 3D.
Une main rose en 3D pour changer la vie de cette enfant - L'avenir
Abbi Jillians peut enfin coiffer ses poupées, comme toutes les autres petites filles de son âge.
Abbi Jillians a 4 ans. Depuis toute petite, cette jeune Britannique a appris à vivre avec une main en moins. Mais ça, c’était avant que la technologie ne lui vienne en aide.
En effet, depuis peu, Abbi Jillians a vu sa vie bouleversée grâce à la confection, sur une imprimante 3D, d’une main artificielle. «Quand nous sommes rentrés à la maison pour la première fois avec cette technologie, la première chose qu’elle a faite est de prendre sa poupée pour brosser ses cheveux, se souvient sa maman sur le site du DailyMail. C’était une chose qu’elle a toujours voulu faire.» Et depuis lors, la petite fille ne s’arrête plus…
«Maintenant, je retrouve des choses dans toute la maison, comme des pommes à l’étage, sourit Julie Jillians. Elle a même réussi à pincer les fesses de son père.»
Beaucoup plus autonome qu’avant, Abbi Jillians profite pleinement de sa main - dont le prix avoisine les 68 euros - qui s’ouvre et se ferme en fonction du geste de son poignet. «Cette technologie est fantastique, même si nous n’en abusons pas parce que ses muscles ne sont pas encore assez développés. Mais plus elle l’utilise, plus son poignet et son bras seront forts.»
Face à leur fille qui déclare elle-même vouloir «porter pour toujours» sa nouvelle main, les parents d’Abbi Jillians ont récolté 5.500 euros afin de permettre à d’autres enfants de bénéficier d’une imprimante 3D.
Une main rose en 3D pour changer la vie de cette enfant - L'avenir
