Mali : 4,6 millions maliens ont besoin d'urgence d'une aide humanitaire

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Interpelés par la situation humanitaire désastreuse au nord du Mali, la Cedeao et le gouvernement malien ont décidé, jeudi 16 aout, de mener une intervention militaire contre les islamistes du nord malien. Depuis des mois, les islamistes du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) et d’Ansar Dine provoquent l’évasion de la population. Le dernier rapport de l’ONU parle de 4,6 millions de personnes en besoin d’assistance alimentaire.

La décision d'intervenir militairement contre les islamistes est prise. La Communauté économique de développement des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) et le gouvernement malien vont mener des attaques communes contre les islamistes du Nord du Mali. Alors que l’armée mènera les opérations, les forces de la Cedeao l’appuieront par des frappes aériennes. Les deux parties vont se mettre d’accord sur les modalités de sécurisation des organes de transition à Bamako, pour enfin présenter une résolution à l’ONU. Cependant, le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA) tire la sonnette d’alarme. Il faut un plan urgent d’aide alimentaire, des abris et de l’eau potable pour sauver les 4,6 millions maliens déplacés depuis le début de la crise en mars dernier.

« Le Programme alimentaire mondial (PAM) a réussi à venir en aide à 360.000 personnes dans le sud du Mali et à plus de 148.000 dans le nord », souligne un communiqué des Nations Unies.

Des familles entières ont quitté leur maison, leur village pour chercher à se réfugier dans les régions du sud du pays. Le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a décidé d'ouvrir dans les prochains jours une mission à Mopti, au centre du Mali.

Près de 262 000 des 4,6 millions maliens déplacés sont enregistrés par le HCR dans les pays voisins, à savoir Niger, le Burkina Faso et l’Algérie, et 174 000 ont été déplacés autour des villes de Tombouctou, Gao et Kidal. Le Nord-Mali qui est actuellement contrôlé par les islamistes du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) et ceux d’Ançar Dine, groupe de Touaregs pro-charia, s’est vidé de ces habitants. La situation a été aggravée par l’arrivée, en masse, au nord malien de plusieurs groupes de pèlerins.

Sanae Taleb

Les Afriques
 
Le génocide du peuple Touareg qui se perpétue depuis 1960 par les noirs sub-sahariens du Mali et du Niger.


L’Etat du Mali cherche à anéantir les Touaregs du Nord du Mali, à les décimer, à les transférer dans les villes du sud près de Bamako tout en les forçant à les sédentariser, afin de les acculturer et les engloutir dans l’africanisme sub-saharien sous la domination des noirs racistes…

Depuis l’indépendance du Mali et du Niger en 1960, les noirs du Mali et du Niger n’ont jamais aimé les Touaregs qu’ils considèrent comme des Arabes, bien que majoritairement, les Touaregs sont des Tamacheks arabo-berbères dont la culture est proche de l’Arabe puisqu’ils comportent même des tribus touaregs arabes comme les brabicha,etc… Comme ils sont habillés comme de vrais bédouins arabes, se déplaçant en permanence dans le désert qui est leur propre pays et sur le dos de leurs dromadaires, cette image n’est pas aimée par les noirs africains sub-sahariens qui considèrent le Touareg comme un occupant du Mali et du Niger.

La suite de cette article:
http://tribune.webmanagercenter.com...-les-noirs-sub-sahariens-du-mali-et-du-niger/
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Génocide? tu rigoles là ou quoi?

Les touaregs sont beaucoup moins discriminés au Mali que leurs esclaves noirs qu'on appelle les bellah!

Tu ne dois pas connaitre le Mali Ba je pense...

Les touaregs représentent que 2 % de la population malienne....et au Nord c'est une minorité ethnique comme leurs esclaves noirs les bellahs et les arabes...

Le génocide du peuple Touareg qui se perpétue depuis 1960 par les noirs sub-sahariens du Mali et du Niger.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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En espérant qu'ils rendent la liberté à leurs esclaves noirs...car au Mali Nord l'esclavage des noirs est toujours présent...

Je pense que tu seras d'accord!

Oui à l'extermination des groupes terroriste.
Cependant , nous devons protéger le peuple Touareg frère.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Ils ont trop palabré, c'est l'Afrique ça, on palabre pendant des jours....Ils auraient du agir de suite avant qu'il n'y ait des victimes civiles de la part de ces narco-trafiquants terroristes jihadistes armés par l'Occident!

La Libye et Khadafi, fallait s'attendre à ce que le pauvre Mali soit envahi par ces hordes de barbares...le MNLA a été jeté par ces abrutis c'est bien fait pour eux, ils n'auraient jamais du trahir le Mali Ba et leurs frères maliens, ils ont vu maintenant et ils vont pleurer car les maliens n'oublieront pas les martyrs de Aguelhoc ni les martyrs lapidés, leurs soeurs, mères, filles violées ou mariées de force contre 5000 FCFA, leurs biens détruits ou pillés....

Il y aura une justice et les comptes seront réglés ici ou dans l'au-delà...



et bien avec la guerre qui se preprae y en aura bien plus les pauvres
 
En espérant qu'ils rendent la liberté à leurs esclaves noirs...car au Mali Nord l'esclavage des noirs est toujours présent...

Je pense que tu seras d'accord!

bah voui le racisme Noir est une réalité.
Toujours la même technique de "l'esclavage" (Shoah bis) pour dépasser la limite.
Vous vous mettez en esclavage mutuelement.
pas besoin de vous aidez
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
L'esclavage noir est une réalité au Mali Nord comme il l'est encore en Mauritanie....des familles entières sont esclaves des Ag ...les bellah sont des descendants de Songhaïs qui ont été mis en esclavage par les touaregs....faut apprendre l'histoire du Mali plus précisémment des empires du Mali...le bilâl As Sûdan, le pays des noirs....

Que des noirs aient participé à l'esclavage arabo-musulman ou occidental aucun noir ne le nie car le noir connait son histoire, c'est pas celle racontée par les chasseurs mais c'est celle des lions....

bah voui le racisme Noir est une réalité.
Toujours la même technique de "l'esclavage" (Shoah bis) pour dépasser la limite.
Vous vous mettez en esclavage mutuelement.
pas besoin de vous aidez
 
et bien avec la guerre qui se preprae y en aura bien plus les pauvres
Areva sous pression au Niger
le 29/10/2012 à 10:44
0Le gouvernement du Niger juge très déséquilibré le partenariat avec Areva dans l'exploitation de l'uranium, et demande des retombées plus importantes, notamment pour la population.

AREVA- Le géant du nucléaire affronte une vague de contestation au Niger sur ses activités dans l'uranium.
REUTERS/Yuriko Nakao
En remettant en cause un partenariat jugé "très déséquilibré" avec Areva dans l'uranium, les autorités du Niger savent pouvoir compter sur une forte adhésion au sein de l'opinion mais se soucient surtout de la future mine géante d'Imouraren, dont le lancement a été reporté à fin 2014.
Niamey a mis jeudi la pression sur le groupe nucléaire français, son partenaire depuis plus de 40 ans: le gouvernement s'est indigné que le quatrième pays producteur d'uranium au monde ne tire de ce minerai que "5% des recettes du budget national" et a revendiqué des retombées plus importantes, via un "renforcement de sa participation à la gouvernance du secteur".
Dans ce pays parmi les plus pauvres du monde, qui subit cette année encore une crise alimentaire et redoute les effets des troubles au Mali voisin, le gouvernement du président Mahamadou Issoufou, élu en mars 2011, joue sur du velours en réclamant davantage de bénéfices pour la population. C'est "le fond du problème: alors que nous devons profiter au maximum de nos ressources, nous croulons sous la misère", déclare à l'AFP Nouhou Arzika, président du Mouvement citoyen, une ONG locale de défense des droits de l'Homme. Pour cette figure de la société civile, "une révision des conventions s'impose". "On ne tire rien de l'uranium. Areva prend tout et nous laisse avec des maladies, des eaux usées et des montagnes de résidus radioactifs", renchérit Naomi Binta Stansky, du Réseau des organisations pour la transparence et l'analyse budgétaire (Rotab). Quant à l'opposition proche de Mamadou Tandja, l'ex-président (1999-2010) qui avait ferraillé avec Areva, elle dénonce les "gesticulations" du pouvoir et juge que le vrai "combat" reste à mener.
Partenariat "gagnant-gagnant" selon Areva
Premier produit d'exportation du Niger, le minerai représente 5% de son produit intérieur brut (PIB). Premier employeur privé du pays, Areva, qui se défend régulièrement d'accusations de pollution sur ses deux sites opérationnels du nord du pays, défend aussi son partenariat avec Niamey. "Il y a 150 millions d'euros d'achats par an, plus de 100 millions de retombées fiscales", a souligné une porte-parole du groupe à Paris, vantant "un partenariat gagnant-gagnant".
Mais une bonne part du contentieux actuel tourne autour d'un troisième site au nord, la mine géante d'Imouraren. Le lancement de ce qui, selon Areva, doit être la deuxième mine d'uranium du monde, a été reporté de 2012 à fin 2014. Le gouvernement a affiché son impatience d'en récolter les recettes, critiquant un retard "imputable" au groupe français. Ce retard s'explique par "des raisons de sécurité", justifie la porte-parole d'Areva.
 
L'enlèvement de sept employés sur le gisement d'Arlit en septembre 2010 avait conduit à l'évacuation des expatriés de la zone et à l'arrêt du chantier d'Imouraren pendant un an. Pour Antoine Glaser, ex-directeur de la Lettre du continent, une publication spécialisée sur l'Afrique, le régime nigérien, "qui a des difficultés de budget", cherche surtout à faire comprendre au groupe dirigé par Luc Oursel qu'il veut "être partie prenante des négociations actuelles et futures d'Areva avec d'autres partenaires étrangers", pour ne pas être lésé.>>> Uranium au Niger : 50 ans de conflits et d'enlèvements
La rumeur court en effet qu'Areva chercherait à céder des parts d'Imouraren à la compagnie chinoise China Guangdong Nuclear Power Company (CGNPC) pour aider à financer sa mise en exploitation, mais Areva a démenti jeudi toutes discussions.
Reste que le contexte est difficile pour la production d'uranium, dont les cours ont fortement chuté depuis la catastrophe de Fukushima en mars 2011. Ils sont aujourd'hui autour de 45 à 50 dollars la livre, contre 70 dollars avant l'accident nucléaire, soit une chute de près de 35%. Dans cet environnement mondial, souligne M. Glaser, Niamey "craint que les promesses de recettes fiscales et de royalties ne soient pas tenues".
 
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