Je ne suis pas venue içi depuis un petit moment, en effet j'ai fais une vilaine rechute qui m'a valu une longue (à mon gout) hospitalisation. Je venais souvent écrire içi ce que j'avais sur le coeur, ça me faisait du bien, mais peut être que trifouiller à l'interieur de moi n'arrange pas ma santé physique, qu'à force de me questionner je me déclenche "des crises"...ou peut être que c'est juste "comme ça", que je n'y joue aucun role...
Ce soir j'avais envie de parler de mon mari, il a été auprès de moi, à mon chevet, dès la première heure de visite jusqu'à la fin. J'ai souvent douté de son soutien, mais j'ai vu comme il été là pour moi. Sa présence m'a aidé à aller mieux. Je me suis rendue compte de pas mal de choses:
_ Son aide est plus importante à mes yeux que celle de n'importe qui (famille et surtout amant compris)
Au plus mal c'est de lui dont j'avais le plus besoin et de personne d'autre. Sa présence, le sentir contre moi, ma main dans la sienne est le meilleur des médicaments.
Je me suis rendue compte aussi, que mon amant, qui est aussi une perle, ni mon corps, ni ma tete ne l'appellait à l'aide.
Mon mari est comme un père pour moi alors que mon amant, nous sommes comme sur un pied d'égalité: J'ai passé des années à le soutenir, à sécher ses larmes, à l'écouter, à le consoler pendant des années alors que jamais je n'ai eu à porter mon mari sur mes épaules.
Bon vous voyez qu'une fois remise sur pied me voilà déjà à me torturer, à tout décortiquer, à réfléchir, réfléchir, réfléchir et encore réfléchir et poster des posts de ***** qui n'aura aucun interet aux yeux de beaucoup d'entre vous.
Mon mari m'a fait beaucoup beaucoup de mal (je lui en ai fait aussi) mais je ne retiens que ces moments, ceux où il m'a tendu la main, ceux où lui m'a prit dans ses bras et où il me dit que tout ira bien, que tout s'arrangera...parcequ'il n'y a que lui que je crois quand il dit ça.
Mon mari est ma force, grace à lui je peux gagner, réussir, vaincre ma maladie et la dépréssion...mais il est aussi celui qui peut causer ma perte. Mon amant n'a pas ce poids, ce pouvoir sur moi...il l'a eu il y a 3 ans (pendant nos trois premières années ensemble) mais aujourd'hui ce n'est plus le cas du tout.
Je ne veux pas dire que "j'aime mon mari" mais je veux dire que "j'ai besoin de mon mari" et ça c'est plus fort à mes yeux...
Ce soir j'avais envie de parler de mon mari, il a été auprès de moi, à mon chevet, dès la première heure de visite jusqu'à la fin. J'ai souvent douté de son soutien, mais j'ai vu comme il été là pour moi. Sa présence m'a aidé à aller mieux. Je me suis rendue compte de pas mal de choses:
_ Son aide est plus importante à mes yeux que celle de n'importe qui (famille et surtout amant compris)
Au plus mal c'est de lui dont j'avais le plus besoin et de personne d'autre. Sa présence, le sentir contre moi, ma main dans la sienne est le meilleur des médicaments.
Je me suis rendue compte aussi, que mon amant, qui est aussi une perle, ni mon corps, ni ma tete ne l'appellait à l'aide.
Mon mari est comme un père pour moi alors que mon amant, nous sommes comme sur un pied d'égalité: J'ai passé des années à le soutenir, à sécher ses larmes, à l'écouter, à le consoler pendant des années alors que jamais je n'ai eu à porter mon mari sur mes épaules.
Bon vous voyez qu'une fois remise sur pied me voilà déjà à me torturer, à tout décortiquer, à réfléchir, réfléchir, réfléchir et encore réfléchir et poster des posts de ***** qui n'aura aucun interet aux yeux de beaucoup d'entre vous.
Mon mari m'a fait beaucoup beaucoup de mal (je lui en ai fait aussi) mais je ne retiens que ces moments, ceux où il m'a tendu la main, ceux où lui m'a prit dans ses bras et où il me dit que tout ira bien, que tout s'arrangera...parcequ'il n'y a que lui que je crois quand il dit ça.
Mon mari est ma force, grace à lui je peux gagner, réussir, vaincre ma maladie et la dépréssion...mais il est aussi celui qui peut causer ma perte. Mon amant n'a pas ce poids, ce pouvoir sur moi...il l'a eu il y a 3 ans (pendant nos trois premières années ensemble) mais aujourd'hui ce n'est plus le cas du tout.
Je ne veux pas dire que "j'aime mon mari" mais je veux dire que "j'ai besoin de mon mari" et ça c'est plus fort à mes yeux...
