Le mariage “halal”

Laila

Ex-Kalaloly
Administrateur
La femme est souvent la première victime de ce type d’union qui fait parfois office de fiançailles dans les pays du Maghreb, mais jamais de mariage. Mariage “halal” mariage hors la loi (sauf celle de Dieu). Danger Certains jeunes couples musulmans estiment pouvoir se contenter du mariage religieux. Ils boudent ou reportent indéfiniment l’union civile. Une situation inquiétante car “l’épouse” peut être répudiée du jour au lendemain, sans que ses droits soient reconnus. Dans certains cas, c’est aussi une forme de rejet de tout système civil et organisation sociale laïque, voire des lois… Dans d’autres cas, il s’agit tout simplement d’une astuce pour vivre en concubinage.

La baraka et la bénédiction divine: c’est tout ce que ces jeunes musulmans attendent de la cérémonie du mariage halal. Il suffit juste à l’imam de réciter la fatiha, la prière incantatoire ouvrant le Coran. Seule contrainte: il faut l’accord du tuteur de la femme – son père ou, en cas d’absence, son frère aîné ou son oncle. Car une certaine lecture de l’islam veut que la femme soit mineure à vie: elle aurait besoin d’un tuteur, même si elle est adulte, majeure et autonome financièrement. “Ce n’est pas toujours évident car beaucoup de jeunes filles viennent seules en France, pour étudier ou travailler. Quand elles n’ont pas de famille proche ici, j’aime autant qu’elles prennent leurs responsabilités, plutôt que de les obliger à chercher un tuteur”, explique M. Brahim, l’imam de la mosquée de Stains, qui apparaît comme quelqu’un d’ouvert. L’imam doit aussi s’assurer que la jeune fille est bien consentante: “C’est obligatoire dans l’islam, on veut être sûr que ce n’est pas un mariage forcé. Parfois, quand la jeune fille est dans une autre pièce, je me rends auprès d’elle pour vérifier qu’elle agit de son plein gré. Je ne veux pas me porter garant devant Dieu d’un mariage forcé.” Une fois que le tuteur accepte de donner la main de la jeune fille, le montant de la dot est fixé et, enfin, tous récitent la *prière de la fatiha qui scelle l’union. Celle-ci est alors consommable.

Cette cérémonie est encore pratiquée dans les pays du Maghreb où elle fait office de fiançailles, mais dans aucun de ces pays elle ne remplace le mariage civil qui seul a force légale. Il arrive encore souvent que des jeunes femmes, se croyant mariées officiellement, se présentent devant les consulats pour demander un livret de famille, généralement après la naissance d’un premier enfant. Celui-ci ne leur est pas accordé, puisqu’elles ne peuvent pas présenter d’acte civil de mariage, seule pièce légale.

Même les dignitaires musulmans, les oulémas, sont nombreux aujourd’hui à considérer ce mariage comme incomplet, pour la bonne raison qu’il n’apporte au*cune protection juridique, surtout pour la femme. En cas de litige ou de séparation, elle peut perdre tout ce qui lui appartient. “Beaucoup d’hommes quittent leur femme et leurs enfants pour aller refaire leur vie, et ‘l’épouse’ se retrouve alors complètement démunie, bien qu’elle ait participé à l’achat des biens communs”, rapporte M. Brahim. Il a d’ailleurs décidé de ne plus célébrer d’union religieuse sans avoir vérifié au préalable l’acte de mariage établi civilement par la mairie. C’est une manière pour lui de ne pas cautionner le comportement parfois immoral de certains époux: avec le mariage civil, ils sont mis face à leurs responsabilités et ont des comptes à rendre en cas de rupture. “Mais le mariage civil seul ne suffit pas non plus, estime-t-il. Il est certes valide et permet de ne pas vivre dans le péché en officialisant une union, mais il doit se compléter par le mariage religieux qui apporte la bénédiction divine.”

Pourquoi alors choisir uniquement le mariage dit “halal” s’il n’est pas reconnu juridiquement et s’il comporte tant de risques? Pour les filles, il est souvent un moyen de fuir les pressions familiales et sociales en tentant d’officialiser une relation amoureuse, et pour les garçons, c’est une solution pour répondre aux attentes d’engagement de leur petite amie sans trop se compromettre, puisqu’il est très facile de mettre un terme à un mariage religieux. Pour d’autres, enfin, nombreux, c’est la piété et la conviction religieuse qui dictent leur démarche car ils considèrent qu’au regard de Dieu, seule cette union est valide. C’est évidemment faux et l’appellation “mariage halal” est une appellation abusive puisque, implicitement, elle laisse entendre que le mariage civil est illicite.

Le mariage “halal” pour ne pas vivre dans le péché avant de passer devant le maire

Valérie et Hicham

“Le mariage halal est un fort engagement divin et il était important pour moi d’officialiser ma relation et d’arrêter de vivre dans le péché”: telle est la conception du mariage religieux selon Hicham. Loin d’être un simple contrat moral, l’union religieuse est ressentie comme une obligation pour ce jeune homme d’origine marocaine, très croyant et pratiquant. Cela fait plus de deux ans qu’il fréquente Valérie, une jeune femme d’origine française et il ne se voyait pas installé avec elle avant d’être marié. Par conviction religieuse, d’une part, mais aussi par égard pour sa famille, qui est très à cheval sur les traditions. “Je voulais que Valérie soit considérée comme la femme de ma vie par ma famille et non pas comme une simple conquête. Et le meilleur moyen pour cela était de me marier avec elle religieusement car, civilement, c’était encore beaucoup trop tôt”, explique-t-il. L’islam permet aux hommes d’épouser une femme d’une autre confession monothéiste, et Valérie, en l’occurrence, est chrétienne. Hicham a dû expliquer à sa compagne la pratique du mariage religieux, dont elle ignorait totalement l’existence. “J’ai accepté de faire un mariage halal parce que j’ai compris que c’était important pour Hicham que notre couple soit béni par un imam. Mais, en ce qui me concerne, il n’y a pas eu de changement dans ma vie après. Je n’ai pas vraiment compris ce que disait l’imam. Je considère cela plus comme des fiançailles, même si je comprends parfaitement la portée que cet acte peut avoir pour Hicham”, confie-t-elle. Pour marquer l’événement, Hicham avait décidé d’organiser une petite fête. Tout a été fait en bonne et due forme: l’imam a récité la fatiha, puis Hicham a offert une bague à Valérie et lui a donné sa dot. La jeune femme, un peu dépaysée, a joué le jeu, a porté un caftan durant la cérémonie et, comme le veut la tradition, bu du lait et mangé des dattes.

Et le mariage civil, dans tout ça? Alors que pour Hicham le passage à la mairie “n’est qu’une procédure administrative”, pour Valérie il signifie beaucoup plus. “C’est une étape majeure de ma vie, et ce n’est qu’une fois les bans publiés que je me sentirai vraiment mariée”, dit-elle. Chose qui ne devrait d’ailleurs plus tarder puisque, le 23 juin prochain, après un an de mariage halal, Hicham et Valérie deviendront enfin mari et femme devant la loi.
 

Laila

Ex-Kalaloly
Administrateur
Pour mon ‘mari’, c’était une façon de s’investir sans s’engager

Fouzia, 30 ans, abandonnée avec son enfant par Samir

Fouzia est de celles qui regrettent aujourd’hui d’avoir choisi le mariage halal. Car quand Samir, son “mari”, l’a quittée après dix ans de relation, elle s’est retrouvée seule à la rue, avec son fils de 2 ans. L’histoire avait pourtant bien commencé. Fouzia et Samir se connaissent depuis le lycée et étaient fous amoureux l’un de l’autre. Leur première mésentente, ils l’ont eue quand Fouzia a eu envie d’un mariage en bonne et due forme à la mairie, chose que Samir refusait catégoriquement. “On n’était pas sur la même longueur d’onde à ce sujet, explique la jeune femme d’origine algérienne. Il ne voulait pas avoir le sentiment d’être attaché: le mariage halal ne lui imposait aucun engagement, puisque le jour où la relation ne marche plus, on se sépare sans complications.

Moi, en revanche, j’ai toujours voulu me marier civilement, et je le lui faisais savoir. Mais, avec le temps, j’ai fini par me résigner. Ce mariage était aussi un moyen pour moi de quitter le domicile familial car, pour les Arabes et les musulmans en général, la meilleure façon de légitimer son départ de chez ses parents, c’est de se marier ou de faire le ‘halal’. C’est une manière de ne pas faire de scandale avec sa famille.” Durant sept ans, elle reste “mariée” à son amour de jeunesse, et, de leur union, naît un garçon, en 2001. Elle n’a alors de cesse de le relancer au sujet du mariage civil: elle pense d’ailleurs que c’est cette obstination qui a causé l’échec de cette relation. De plus, les choses n’allaient pas très bien avec sa belle-famille qui n’avait jamais vu d’un bon œil ce mariage religieux: “Pour eux, un halal ne voulait rien dire. Ils ne m’ont jamais considérée comme la femme de leur fils, mais plutôt comme sa copine et je l’ai toujours mal vécu. Ils n’ont jamais cherché à avoir des nouvelles de leur petit-fils”, dit-elle avec regret.

Avec le recul, elle se rend compte que, pour son mari, le mariage “halal” était une manière de s’investir avec elle, mais sans réel engagement. Une sorte de simple contrat moral que l’on peut facilement rompre. “Le mariage halal n’est rien de plus qu’un concubinage, c’est comme un Pacs. On vit ensemble, on reconnaît les enfants et on a des responsabilités, mais le jour où on se sépare, on n’est pas protégé. Nous avions acheté un pavillon ensemble, mais le jour où il m’a mise à la rue, je n’avais aucune manière de prouver que j’avais participé à l’achat. Tous les biens que j’avais pu acheter avec mon mari ne m’appartenaient plus car ils n’étaient pas au nom de monsieur et madame. Comme il avait reconnu l’enfant, il était obligé de subvenir à ses besoins en lui versant une pension alimentaire, mais moi, je n’ai rien obtenu de lui. Et ça blesse vraiment de se rendre compte que sans acte de mariage à l’appui, je ne suis rien.”

Elle qui, pour Samir, avait arrêté ses études et n’avait jamais travaillé, s’est retrouvée, le jour où il l’a quittée pour une autre, sans diplôme, sans travail, sans perspectives. “Je me suis rendu compte que j’avais perdu mon temps durant ces dix années. J’ai recommencé ma vie à zéro. J’étais encore jeune (26 ans) donc plutôt que de rester à me lamenter sur mon sort et vivre aux crochets de la société, j’ai décidé de prendre ma vie en main, de reprendre mes études, de passer des diplômes. Psychologiquement, c’était un peu dur, mais le fait d’avoir mon fils à mes côtés m’a donné de la force et de la volonté pour ne pas baisser les bras. Je voulais que mon fils soit fier de moi et lui donner un bon exemple. J’ai choisi d’être libre, indépendante et surtout de profiter de la vie.” Aujourd’hui, Fouzia élève seule son enfant. Depuis son “divorce”, elle a pris une belle revanche: elle a ainsi passé son permis de conduire, réussi ses concours pour devenir infirmière et elle vit maintenant dans un joli appartement. Quant à sa vie amoureuse, elle souhaite un jour refaire sa vie et se marier, mais civilement cette fois-ci! Elle ne refera pas deux fois les mêmes erreurs.

Pour échapper à mon frère, j’ai fait le mauvais choix

Séphora, mariée avec Marouane, puis séparée

Elle avait 18 ans et lui 20 quand ils ont décidé de se marier religieusement, officialisant ainsi une relation de deux ans et demi. “Nous avons ressenti le besoin de faire un mariage halal d’abord pour des raisons religieuses, mais aussi parce que j’en avais assez de vivre clandestinement notre relation en cachette de ma famille”, explique Séphora. Du côté de Marouane, les choses semblaient pourtant claires: il avait rapidement présenté sa petite amie à sa mère, qui l’a très vite adoptée. “Je la considérais déjà comme ma belle-mère, on était très complices toutes les deux. Et c’est principalement elle qui voulait que j’officialise les choses, car elle m’appréciait énormément. Elle disait qu’elle ne voulait pas que je lui échappe, se remémore Séphora en souriant. Nous avions convenu qu’il viendrait demander ma main après les vacances d’été, le temps pour lui de trouver un travail comme électricien, afin qu’il puisse se présenter à ma famille avec une situation. Et c’est ce qui s’est passé. Il est venu après le ramadan chez moi. J’avais tellement peur de le présenter à ma mère que je lui ai parlé de sa venue seulement trois jours avant.”

La jeune fille, d’origine marocaine, craignait fortement la réaction de son grand frère, avec qui elle entretenait des relations conflictuelles. C’est d’ailleurs la raison qui l’a poussée à précipiter sa décision. “Il m’empêchait de vivre ma vie et de profiter de ma jeunesse. Pour le fuir, j’ai fait de mauvais choix, comme me marier trop vite, pour pouvoir vivre loin de lui. Je pensais que Marouane était le bon, et je me suis alors investie sérieusement dans ma relation avec lui. Ce que je regrette aujourd’hui.” Malheureusement, ce mariage n’a pas duré: Séphora, qui ne se sentait ni comblée ni comprise, a mis un terme à cette union moins d’un an après sa célébration. “J’avais l’impression d’avoir adopté un enfant plutôt que d’avoir épousé un homme. Il n’assumait pas ses responsabilités de mari. J’étais malheureuse et je ne me voyais pas passer le reste de ma vie avec lui. Je n’avais que 19 ans et donc j’ai préféré tout arrêter”, explique-t-elle. A bientôt 20 ans, elle a retrouvé de l’énergie et est retournée à la fac terminer ses études. Elle pense enfin avoir trouvé l’âme sœur!

Le Courrier de l'Atlas - Hanane Harrath et Siham Bounaïm
 
certains confondent mariage religieux et fiancailles. le couple veut officialisé l union pour la famille donc dise on va faire "le halal" mais oublie que pour qu un mariage ait une valeur ils faut qu ils soient religieux et civils.

aucun rapport mais simple question sephora (prenom d une fille d un temoignage) est un prenom musulman?
 
certains confondent mariage religieux et fiancailles. le couple veut officialisé l union pour la famille donc dise on va faire "le halal" mais oublie que pour qu un mariage ait une valeur ils faut qu ils soient religieux et civils.

aucun rapport mais simple question sephora (prenom d une fille d un temoignage) est un prenom musulman?

prénom hébreu, revoir l'histoire du prophète Moussa tu trouveras son prénom.;)
 
certains confondent mariage religieux et fiancailles. le couple veut officialisé l union pour la famille donc dise on va faire "le halal" mais oublie que pour qu un mariage ait une valeur ils faut qu ils soient religieux et civils.

aucun rapport mais simple question sephora (prenom d une fille d un temoignage) est un prenom musulman?

le nom exacte est safoura. c'est la femme de moussa.
 
sherine et farid
hallal reussit ,beaucoup d amour et un bébé (pendant 2 ans et demi)achat d un appartement en commun
ensuite mairie quand on l a voulu!!!
je vois pas ou est le probleme..........
beaucoup de couple dans mon entourage sont marié religieusement
et attende la mairie
tout va bien pour eux
faut pas generalisé avec deux ou trois exemples voué a l echec

merci
 
sherine et farid
hallal reussit ,beaucoup d amour et un bébé (pendant 2 ans et demi)achat d un appartement en commun
ensuite mairie quand on l a voulu!!!
je vois pas ou est le probleme..........
beaucoup de couple dans mon entourage sont marié religieusement
et attende la mairie
tout va bien pour eux
faut pas generalisé avec deux ou trois exemples voué a l echec

merci
personnelement je ne connaissais pas du tt l existance du mariage halal pourtant je viens du maroc j'ai découvert que ça se faisait ici surtt ché les familles d afrique sub saharienne l afriq noir j'ai travaillé avec plusieurs filles du sénegal mali ils sont ttes mariées religieusement et depuis plus de 5 ans avec des enfants et ça marche tres bien mé personnelement je pense que le mariage religieux ne suffit pas on vit dans une société plus administrative q autre chose maintenan tt est écris sur papier je pense que les deux mariages st nécéssaire le civil pour le coté pratique et pr la reconnaissance d'une certaine position de la femme et de l'homme dans la société et aussi une sécurité pr la femme contre les époux mal honnete ou le contraire et puis le religieux c'est pour dieu c'est sa bénédiction qui compte c'est notre foi le fait d'aller voir l imam et lire les versés du corants et tt ce qui accompagne ça comme la dote c'est la religion.pr moi les deux mariages sont complémentaire un pour la société qui ne l oublions pas majoritairement laiic et l autre pour la foi pour notre bon dieu.
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Mon sentiment est aujourd hui qu il faut d'abords se marier "civilement" avant le mariage "religieux".
De toute façon, beaucoup font comme ça pour ne pas avoir de problèmes.
Le mariage civil, protége,administre etc....
Les femmes sont plus reconnues avec un mariage civil (ce qui est la moindre des choses)
De plus quand on aime, et qu'on veut se marier, il n'y a pas de raison de refuser un mariage civil. (sinon ca cache qque chose....)
 
Mon sentiment est aujourd hui qu il faut d'abords se marier "civilement" avant le mariage "religieux".
De toute façon, beaucoup font comme ça pour ne pas avoir de problèmes.
Le mariage civil, protége,administre etc....
Les femmes sont plus reconnues avec un mariage civil (ce qui est la moindre des choses)
De plus quand on aime, et qu'on veut se marier, il n'y a pas de raison de refuser un mariage civil. (sinon ca cache qque chose....)



En plus quand on est marié on paie moins d'impots...:rolleyes::D
 
certains confondent mariage religieux et fiancailles. le couple veut officialisé l union pour la famille donc dise on va faire "le halal" mais oublie que pour qu un mariage ait une valeur ils faut qu ils soient religieux et civils.

aucun rapport mais simple question sephora (prenom d une fille d un temoignage) est un prenom musulman?

fiançailles c'est khotba

mariage c'est mariage : civil + religieux


on fait des fiançailles pour que les deux personnes apprennent à mieux se connaitre en presence d'une tierce personne

apres le mariage religieux, ils sont mariés

mais en genaral, le maraige religieux se fait juste apres la khotba, por ne pas tomber dans le haram
le mariage civil se fait avec la fete
 
fiançailles c'est khotba

mariage c'est mariage : civil + religieux


on fait des fiançailles pour que les deux personnes apprennent à mieux se connaitre en presence d'une tierce personne

apres le mariage religieux, ils sont mariés

mais en genaral, le maraige religieux se fait juste apres la khotba, por ne pas tomber dans le haram
le mariage civil se fait avec la fete
http://fr.youtube.com/watch?v=FZ1I4aL03g4
pour vous les filles.
 
mais cette cérémonie qui se déroule en présence de l'immam c'est les fiancailles pas le mariage ???

c'est un mariage, devant allah le couple est marié

mais on a tendance à dire que c'est des fiançailles vu que le couple n'habite pas encoure sous le meme toit

mais les fiançailles c'est a khotba ( la demande)

khatib(a) = fiancé(e)
 
Bonjour,
je vai biento me marier avec un français musulman et à force qu'on a peur que la capacite ne soit pas prête à temps , on s'est dit qu'o, pouvait se marier chez un adoul avec tous les papiers sauf la capacité, et quand on uara la capacite on va l'ammener à l'adoul pour qu'il nous fait sortir l'acte
est ce bien le mariage dont vous parlez ,
merci de m'aider car depuis que j'ai lu ces histoires et je suis tres derange

Merci
 

Oumshyrine

TANJA AL 3ALYA
sherine et farid
hallal reussit ,beaucoup d amour et un bébé (pendant 2 ans et demi)achat d un appartement en commun
ensuite mairie quand on l a voulu!!!
je vois pas ou est le probleme..........
beaucoup de couple dans mon entourage sont marié religieusement
et attende la mairie
tout va bien pour eux
faut pas generalisé avec deux ou trois exemples voué a l echec

merci

salam alaykoum

c'est pas de sa dont parle l'article, il parle de ces couples qui se marient religieusement et qui n'envisagent pas du tout de "légaliser" leur mariage en passant par la case mairie, et souvent c'est au détriment de la femme.
 

Oumshyrine

TANJA AL 3ALYA
Islamiquement lorsque les conditions du mariage sont appliqués la femme et l'homme musulmans sont légalement marié devant Allah donc en réalité pas besoin de passer par la mairie mais il y a un mais car aujourd'hui certains hommes ignorants ne respectent pas les droits de celles qu'ils ont divorcé, c'est pour sa qu'il vaut mieux passer par la mairie sa évitera se type de désagrément.
 

Oumshyrine

TANJA AL 3ALYA
certains confondent mariage religieux et fiancailles. le couple veut officialisé l union pour la famille donc dise on va faire "le halal" mais oublie que pour qu un mariage ait une valeur ils faut qu ils soient religieux et civils.

aucun rapport mais simple question sephora (prenom d une fille d un temoignage) est un prenom musulman?

salam alaykoum

les fiancailles sa n'existe pas en Islam soit on se marit soit rien, le halal comme beaucoup disent n'est ni plus ni moin que le mariage. En Islam pas de besoin de mairie pour que le mariage soit légal devant Allah maintenant vaut mieux passer par la mairie pour éviter qu'un ignard vous la face à l'envers et vous jette comme une chaussette, disons que c'est plus sage.
 
salem ahleikoum,
voila je suis avec mon "fiancé" depuis 2 ans c'est un musulman et je l'ai présenté à ma famille 7 mois après. La première impression de ma famille a été negative on va dire. Ils l'ont trouvé trop gros et que mon père ne voudra jamais.
Ensuite ma famille ont voulus me présenté à quelqu'un d'autre, j'ai bien sur refusé.
Actuellement j'ai l'impression que le monde entier est contre moi, car ma famille a appris qu'il a un passé pas trè corret on va dire, ce que je ne voulais pas qu'ils sachent car je pensais que ça ne regardais que lui, que c'étais son passé et que du moment qu'il a changé, ça n'avais pas d'importance. J'avais tord. Ajourd'hui, ma famille me demande de choisir entre lui et eux. J'aime ma famille et je l'aime lui aussi, je pris Allah nuit et jour afin qu'il me guide sur le droit chemin. Mon père n'est pas au courant de la situation.
Merci de me donner quelques conseils, car je suis complètement perdu.
Barrak allahou fikoum.

Ps: je viens de m'inscrire, et je ne sais pas comment faire pour envoyer un message à une personne en particulier
 
salam alaykoum

les fiancailles sa n'existe pas en Islam soit on se marit soit rien, le halal comme beaucoup disent n'est ni plus ni moin que le mariage. En Islam pas de besoin de mairie pour que le mariage soit légal devant Allah maintenant vaut mieux passer par la mairie pour éviter qu'un ignard vous la face à l'envers et vous jette comme une chaussette, disons que c'est plus sage.

je c'est pas si c'est la cas de partout mais la ou je vit tout halal n'est pas accepter dans qu'il ny a pas un mariage civil.et je pense que c'est une tres bonne chose
 
Pour mon ‘mari’, c’était une façon de s’investir sans s’engager

Fouzia, 30 ans, abandonnée avec son enfant par Samir

Fouzia est de celles qui regrettent aujourd’hui d’avoir choisi le mariage halal. Car quand Samir, son “mari”, l’a quittée après dix ans de relation, elle s’est retrouvée seule à la rue, avec son fils de 2 ans. L’histoire avait pourtant bien commencé. Fouzia et Samir se connaissent depuis le lycée et étaient fous amoureux l’un de l’autre. Leur première mésentente, ils l’ont eue quand Fouzia a eu envie d’un mariage en bonne et due forme à la mairie, chose que Samir refusait catégoriquement. “On n’était pas sur la même longueur d’onde à ce sujet, explique la jeune femme d’origine algérienne. Il ne voulait pas avoir le sentiment d’être attaché: le mariage halal ne lui imposait aucun engagement, puisque le jour où la relation ne marche plus, on se sépare sans complications.

Moi, en revanche, j’ai toujours voulu me marier civilement, et je le lui faisais savoir. Mais, avec le temps, j’ai fini par me résigner. Ce mariage était aussi un moyen pour moi de quitter le domicile familial car, pour les Arabes et les musulmans en général, la meilleure façon de légitimer son départ de chez ses parents, c’est de se marier ou de faire le ‘halal’. C’est une manière de ne pas faire de scandale avec sa famille.” Durant sept ans, elle reste “mariée” à son amour de jeunesse, et, de leur union, naît un garçon, en 2001. Elle n’a alors de cesse de le relancer au sujet du mariage civil: elle pense d’ailleurs que c’est cette obstination qui a causé l’échec de cette relation. De plus, les choses n’allaient pas très bien avec sa belle-famille qui n’avait jamais vu d’un bon œil ce mariage religieux: “Pour eux, un halal ne voulait rien dire. Ils ne m’ont jamais considérée comme la femme de leur fils, mais plutôt comme sa copine et je l’ai toujours mal vécu. Ils n’ont jamais cherché à avoir des nouvelles de leur petit-fils”, dit-elle avec regret.

Avec le recul, elle se rend compte que, pour son mari, le mariage “halal” était une manière de s’investir avec elle, mais sans réel engagement. Une sorte de simple contrat moral que l’on peut facilement rompre. “Le mariage halal n’est rien de plus qu’un concubinage, c’est comme un Pacs. On vit ensemble, on reconnaît les enfants et on a des responsabilités, mais le jour où on se sépare, on n’est pas protégé. Nous avions acheté un pavillon ensemble, mais le jour où il m’a mise à la rue, je n’avais aucune manière de prouver que j’avais participé à l’achat. Tous les biens que j’avais pu acheter avec mon mari ne m’appartenaient plus car ils n’étaient pas au nom de monsieur et madame. Comme il avait reconnu l’enfant, il était obligé de subvenir à ses besoins en lui versant une pension alimentaire, mais moi, je n’ai rien obtenu de lui. Et ça blesse vraiment de se rendre compte que sans acte de mariage à l’appui, je ne suis rien.”

Elle qui, pour Samir, avait arrêté ses études et n’avait jamais travaillé, s’est retrouvée, le jour où il l’a quittée pour une autre, sans diplôme, sans travail, sans perspectives. “Je me suis rendu compte que j’avais perdu mon temps durant ces dix années. J’ai recommencé ma vie à zéro. J’étais encore jeune (26 ans) donc plutôt que de rester à me lamenter sur mon sort et vivre aux crochets de la société, j’ai décidé de prendre ma vie en main, de reprendre mes études, de passer des diplômes. Psychologiquement, c’était un peu dur, mais le fait d’avoir mon fils à mes côtés m’a donné de la force et de la volonté pour ne pas baisser les bras. Je voulais que mon fils soit fier de moi et lui donner un bon exemple. J’ai choisi d’être libre, indépendante et surtout de profiter de la vie.” Aujourd’hui, Fouzia élève seule son enfant. Depuis son “divorce”, elle a pris une belle revanche: elle a ainsi passé son permis de conduire, réussi ses concours pour devenir infirmière et elle vit maintenant dans un joli appartement. Quant à sa vie amoureuse, elle souhaite un jour refaire sa vie et se marier, mais civilement cette fois-ci! Elle ne refera pas deux fois les mêmes erreurs.

Pour échapper à mon frère, j’ai fait le mauvais choix

Séphora, mariée avec Marouane, puis séparée

Elle avait 18 ans et lui 20 quand ils ont décidé de se marier religieusement, officialisant ainsi une relation de deux ans et demi. “Nous avons ressenti le besoin de faire un mariage halal d’abord pour des raisons religieuses, mais aussi parce que j’en avais assez de vivre clandestinement notre relation en cachette de ma famille”, explique Séphora. Du côté de Marouane, les choses semblaient pourtant claires: il avait rapidement présenté sa petite amie à sa mère, qui l’a très vite adoptée. “Je la considérais déjà comme ma belle-mère, on était très complices toutes les deux. Et c’est principalement elle qui voulait que j’officialise les choses, car elle m’appréciait énormément. Elle disait qu’elle ne voulait pas que je lui échappe, se remémore Séphora en souriant. Nous avions convenu qu’il viendrait demander ma main après les vacances d’été, le temps pour lui de trouver un travail comme électricien, afin qu’il puisse se présenter à ma famille avec une situation. Et c’est ce qui s’est passé. Il est venu après le ramadan chez moi. J’avais tellement peur de le présenter à ma mère que je lui ai parlé de sa venue seulement trois jours avant.”

La jeune fille, d’origine marocaine, craignait fortement la réaction de son grand frère, avec qui elle entretenait des relations conflictuelles. C’est d’ailleurs la raison qui l’a poussée à précipiter sa décision. “Il m’empêchait de vivre ma vie et de profiter de ma jeunesse. Pour le fuir, j’ai fait de mauvais choix, comme me marier trop vite, pour pouvoir vivre loin de lui. Je pensais que Marouane était le bon, et je me suis alors investie sérieusement dans ma relation avec lui. Ce que je regrette aujourd’hui.” Malheureusement, ce mariage n’a pas duré: Séphora, qui ne se sentait ni comblée ni comprise, a mis un terme à cette union moins d’un an après sa célébration. “J’avais l’impression d’avoir adopté un enfant plutôt que d’avoir épousé un homme. Il n’assumait pas ses responsabilités de mari. J’étais malheureuse et je ne me voyais pas passer le reste de ma vie avec lui. Je n’avais que 19 ans et donc j’ai préféré tout arrêter”, explique-t-elle. A bientôt 20 ans, elle a retrouvé de l’énergie et est retournée à la fac terminer ses études. Elle pense enfin avoir trouvé l’âme sœur!

Le Courrier de l'Atlas - Hanane Harrath et Siham Bounaïm

cela c'est la meilleur. la femme victime de l'homme. wallah 7ta zuina hadi.
l'homme est déplumé par la femme a la premiére rencontre.
son compte bancaire prend une grosse claque.
en tout l'homme est dépouillé de son bien.et a la fin il se retrouve sur le tapis:(
 
je c'est pas si c'est la cas de partout mais la ou je vit tout halal n'est pas accepter dans qu'il ny a pas un mariage civil.et je pense que c'est une tres bonne chose

en france c'est partout pareil, mais les gens pensent encore mieux connaitre les preceptes islamiques que des personnes ayant étudié la question, et qui ont même émis une fatwa en ce sens!

et dans les pays musulmans aussi faut passer par un acte ecrit pour être marié légalement.
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
salam alaykoum

les fiancailles sa n'existe pas en Islam soit on se marit soit rien, le halal comme beaucoup disent n'est ni plus ni moin que le mariage. En Islam pas de besoin de mairie pour que le mariage soit légal devant Allah maintenant vaut mieux passer par la mairie pour éviter qu'un ignard vous la face à l'envers et vous jette comme une chaussette, disons que c'est plus sage.

Justement tu te trompes , ils ne sont pas ignares du tout !!
Ils ont bien compris qu'il ne faut pas de mariage "mairie" pour n'avoir que le minimum a donner a l'épouse répudier ou divorcée.

En signant a la mairie la femme acquière des droits " humains " qui sont je pense différents et peuvent se rajouter aux droits religieux.

Quelqu'un va bien passer sur ce post et nous éclaircir a ce sujet avec plus de détailles ;)
 
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