Je suis au courant de cette vidéo elle a déjà été postée . Il a changé par la suite .
il est se quil est
le sionisme a la base a sasourece dans le christianisme
on appelle cela le sionisme chretien
mais apres avec la venu de theodore il ya eu la creation dun sionisme juif
apres tien un article
tien article interresant de wikipedia qui explique dou vient le sionisme tu verra qelle a une origine chretienne et une relation etroite entre theodore et le sionisme chretien
Des théologiens protestants comme les Britanniques Joseph Mede (1586-1635) et Richard Baxter (1615-1691), interprétant les prophéties de l'Ancien Testament, commencèrent à prédire une conversion massive des Juifs au christianisme et leur restauration en Israël. En 1621, Sir Henry Finch (1558-1625), membre du Parlement britannique affichant un protestantisme fervent, publia un ouvrage d'exégèse biblique intitulé
Un écrivain et diplomate français, Isaac de la Peyrère (1596-1676), secrétaire du prince de Condé, a exprimé à plusieurs reprises des points de vue théologiques en faveur d'un retour des Juifs en Palestine.
Aux XVIIIe et XIXe siècles, un courant chrétien proto-sioniste s'installa progressivement au cœur de l'Angleterre : le 16. Un certain nombre de théologiens et de penseurs s'en sont faits les hérauts, à l'image de Thomas Newton (1704-1782), évêque de Bristol ou de Anthony Ashley Cooper (1801-1885), comte de Shaftesbury.
D'après l'historien Paul Merkley, Napoléon Bonaparte aurait fait valoir des arguments proto-sionistes au cours de son séjour au Proche-Orient et lors de ses batailles contre les Turcs en Palestine en 1799, incitant les Juifs d'Asie et d'Afrique à réclamer la restauration de leurs droits civiques sur la terre de Palestine17.
Le désir de restaurer les Juifs en Terre sainte s'accompagnait souvent du vœu de les convertir : au cœur des efforts missionnaires résidait l'idée que la conversion des Juifs était un préalable au retour du Christ et à l'avènement de la fin des temps. À la tête de la 18.
Au XIXe siècle, le proto-sionisme chrétien se répandit progressivement dans différentes confessions chrétiennes américaines19. En 1891, le premier document américain en faveur du sionisme fut publié par un chrétien, sous la forme d'une pétition « en faveur de la restauration de la Palestine aux Juifs » et présenté au président des États-Unis Benjamin Harrison. Encouragé par les dirigeants sionistes Nathan Strauss et Louis Brandeis, l'auteur de la pétition, William Blackstone, parvint à présenter en 1917 au président Woodrow Wilson une nouvelle version de sa pétition, qui l'accueillit favorablement20.
William Hechler21, chrétien restaurationniste germano-britannique, rencontra le 10 mars 1896 à Vienne Théodore Herzl, théoricien du sionisme juif moderne. Une amitié et une collaboration entre les deux hommes s'ensuivit. Hechler étant tuteur du prince héritier du grand-duc de Bade, il réussit à organiser en 1898 deux rencontres entre Theodor Herzel et Guillaume II qui contribuèrent à crédibiliser le sionisme.
Les dirigeants sionistes surent faire jouer la fibre religieuse des dirigeants chrétiens qu'ils rencontraient. Ainsi, Chaïm Weizmann, connaissait les influences familiales philosémites et restaurationnistes de David Lloyd George, ministre des Finances puis Premier ministre britannique de 1916 à 191822. De même, Arthur Balfour, homme pieux, était profondément séduit par la perspective du rétablissement d'un pouvoir juif en Palestine.
Le sionisme chrétien et l'État d'Israël depuis 1948
La naissance d'Israël a ému de nombreux chrétiens évangéliques dans le monde entier. De nombreux militants chrétiens sionistes présentent les événements de 1948 comme fondateurs de leur activité, comme David Allen Lewis, qui à quinze ans était déjà sensibilisé à la question par une série de prêches donnés dans son église des Assemblées de Dieu, à Britton, dans le Dakota du Sud23.
Les évangéliques dressèrent un parallèle entre la proclamation officielle de la création d'Israël et les versets d'Ésaïe 66 : 7-8 affirmant qu'un pays ne peut naître en un jour, si ce n'est celui du peuple éluNote 1.
Cependant, bien que diffus dans la société américaine, le sionisme chrétien moderne est resté confiné aux débats théologiques de la communauté évangélique jusque dans les années 1970. 1948 était la condition pour qu'émerge le sionisme chrétien24.
La guerre des Six Jours a été le déclencheur qui a permis à nombre de chrétiens évangéliques de passer d'un soutien spirituel fondé sur la prière à des actions pratiques en faveur de la restauration juive en Palestine. L'unification de Jérusalem et la prise par Israël de terres faisant partie de l'Israël biblique a réjoui des chrétiens sionistes comme Jerry Falwell ou Cheryl Morrison25. À partir de 1967, les chrétiens sionistes créèrent des organisations d'aide humanitaire ambitieuses pour fournir une assistance financière aux Israéliens et aux Juifs du monde entier.
Ému par l'aventure israélienne, sioniste passionné, le pasteur, théologien et docteur en linguistique sémitique G. Douglas Young a beaucoup contribué au rapprochement entre évangéliques et Israéliens26. Il fonda en 1957 un institut rebaptisé Jerusalem University College qui, en 1971, organisa une conférence à laquelle participèrent plus de 1500 délégués venus de 30 pays qui célébra l'unité de Jérusalem sous contrôle juif. G. Douglas Young a également créé en 1976 l'organisation Bridges for Peace (BFP), conçue dans l'objectif de bénir le peuple juif.
Le Premier ministre israélien de 1977 à 1983, Menahem Begin, encouragea les croyances des sionistes chrétiens. Il cultiva ses liens avec un certain nombre de dirigeants évangéliques fondamentalistes comme Jerry Falwell, David Allen Lewis, Hal Lindsey, Pat Robertson ou encore Billy Graham. Menahem Begin entretint d'ailleurs une véritable amitié avec Jerry Falwell, qui reçut le prix Jabotinsky, témoignage d'une grande reconnaissance des milieux nationalistes israéliens27.................................
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Dans les années 1990, les chrétiens sionistes ont renforcé leurs relations avec le mouvement néoconservateur américain et avec la droite israélienne, bien que le développement du processus de paix, devant aboutir contre leur souhait à une division de la terre donnée par Dieu aux Juifs, leur ait fait perdre de l'importance30.
L'élection d'un président républicain dont la diplomatie était orientée par les néoconservateurs très favorables à Israël et hostiles aux États arabes antisionistes et le traumatisme provoqué par les attentats du 11 septembre 2001, a donné aux chrétiens sionistes l'occasion de peser davantage politiquement. Les références à un combat commun aux États-Unis et à Israël se sont multipliées dans le discours politique américain31.
En 2006, John Hagee fonda la Christians United for Israel (en) (CUFI), un groupe de pression qui est rapidement devenu le plus gros réseau de chrétiens favorables à Israël32.
Les chrétiens sionistes ont relayé les options néoconservatrices en faveur d'Israël et hostiles à toutes décisions allant dans le sens d'un abandon de la terre promise par Dieu au peuple juif.
Ainsi, la décision du gouvernement d'Ariel Sharon de se retirer de la Bande de Gaza en 2005 a été très mal perçue par ces milieux, qui y voient la destruction d'un projet devant permettre le retour de Jésus-Christ. Un des pasteurs connu de la droite religieuse américaine (Pat Robertson) a ainsi sous-entendu le 6 janvier 2006 dans son émission Christian Broadcasting Networke
je test mit en gras se qui est interresant
on y apprend que theodore a rencontrer william hecler qui etait sioniste et un de ses conseiller de theodore dans sa conception sioniste juif
et a la fin on y apprend que le rretrait de la bande de gaza etait mal vue par la droite religieuse americaine dont la plupart des americain appartient
car pour eux cela retarde la venu du christ
donc tout se que jai dit nest pas faux
le sionisme est bien une manipulation de certrain groupe chretien
car le sionisme vient a la base de la sphere chreteinne et elle a etait developper par un juif convertie au christianisme qui a pour but de faire venir le christ et de convertir les juif
theodore avait le meme but que les chretien sioniste fondateur du sionisme juif cest a dire convertir tout les juif au christianisme
Bien que l'objectif des sionistes chrétiens ne soit pas le même que celui des Juifs sionistes puisqu'il implique à terme la conversion de ces derniers, ce courant de pensée représente un soutien fervent aux sionistes religieux les plus radicaux pour la fondation du “Grand Israël”, c'est-à-dire Israël dans ses frontières bibliques, incluant les territoires palestiniens, voire au-delàNote 3.
mais dans la croyance chretienne cette cnversion des juif ne peut se faire que si le christ revien