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Maroc : ces intouchables qui entourent le roi
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[QUOTE="bouskan, post: 9624204, member: 290347"] « A force de toujours vouloir récupérer les contrats les plus juteux, Mounir Majidi s'est créé des inimitiés chez la plupart des chefs d'entreprise marocains », observe l'un d'eux. Certains évoquent des pressions se terminant en contrôles fiscaux pour ceux qui résistent. Avec d'autres, Aboubakr Jamaï va jusqu'à parler de « benalisation » de l'économie marocaine. Devenu trop exposé, Majidi (ainsi que son bras droit Hassan Bouhemou) se montre depuis quelque temps plus discret. Revirement rapide Au cabinet royal, il y a les amis de Mohammed VI et les autres conseillers. Mohamed Moatassim appartient à la deuxième catégorie. Professeur de droit, conseiller depuis le début du règne de Mohammed VI, en 1999, il serait tombé en disgrâce. On lui attribue le discours du 9 mars, largement salué dans le pays et à l'extérieur comme illustrant « l'intelligence politique » du roi. Un discours d'ouverture, intervenant un peu plus de deux semaines après le début de la contestation. Mais un deuxième discours, le 30 juillet, fera au contraire de nombreux déçus. « A ce moment-là, tout le monde a compris que les cartes avaient tourné et que c'était déjà fini, le régime avait choisi de maintenir le cap », se souvient un observateur étranger. Le roi, qui célèbre alors le douzième anniversaire de son intronisation, appelle certes les partis politiques à renouveler leurs élites, mais il dénonce aussi les « nihilistes », en faisant implicitement référence au Mouvement du 20 février. Le message est clair. Et, dans la foulée de son discours, il décore le directeur général de la surveillance du territoire (DGST), Abdellatif Hammouchi, ainsi que le producteur Nadir el-Khayat, notamment connu pour sa collaboration avec Lady Gaga et très impliqué dans la programmation du festival Mawazine - dont le Mouvement du 20 février avait appelé à l'annulation, en raison de son coût exorbitant et de l'identité de son promoteur... l'omniprésent Mounir Majidi. Pourquoi un revirement aussi rapide ? « Deux voix se sont opposées, analyse un fin connaisseur du pays : celles de Moatassim et d'Abdeltif Menouni. » Ce dernier, président de la Commission consultative de révision de la Constitution (CCRC), est alors sur le point d'obtenir le titre officiel de conseiller royal. « Certains, comme Menouni, ont fait comprendre au roi que, s'il ouvrait trop les vannes, il pourrait en faire un jour les frais, poursuit la même source. Le discours du 9 mars a été interprété comme la volonté de Moatassim de faire évoluer la monarchie. Or, la vieille garde - le Makhzen -qui tient le pays et qui a des intérêts économiques fondamentaux à défendre craint que trop de concessions du roi aux manifestants ne débouchent in fine sur une mise en cause de la monarchie et par ricochet de son propre pouvoir. » Parmi les autres conseillers de Mohammed VI : Zoulikha Nasri, première et toujours seule femme à occuper ce poste, chargée des Affaires sociales ; André Azoulay, déjà présent sous Hassan II ; El-Mostafa Sahel, l'ambassadeur du Maroc en France, nommé en octobre 2011. Cabinet de l'ombre [/QUOTE]
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