Le maroc, eldorado pour des espagnols en galère

Le Maroc, eldorado pour des Espagnols en galère Pour fuir la crise, les Espagnols sont de plus en plus nombreux à émigrer au royaume chérifien.

La boussole commence à tourner. Les suivants d'hier deviennent les suivis d'aujourdhui. De l'economie, ce sera plus tard la religion, des tas de conversions.

" Le Maroc, eldorado pour des Espagnols en galère Pour fuir la crise, les Espagnols sont de plus en plus nombreux à émigrer au royaume chérifien.
Le Maroc n'attire pas seulement des retraités en recherche de vitamine D. Les actifs, aussi, rejoignent le royaume chérifien. Eux, sont en recherche de travail. Depuis quelques années, les Espagnols gravement touchés par la crise, optent pour le «Morocco dream». Selon l’Institut national de la statistique espagnol (INE), le nombre d'Espagnols officiellement enregistrés en tant que résidents sur le sol marocain a été multiplié par 4, entre 2003 et 2011.

Le site d'information RFI s'est intéressé à ce phénomène d'immigration Nord-Sud, et notamment aux raisons qui poussent des millions d'Espagnols à s'exiler au Maroc, hormis la proximité géographique. D'abord, le Maroc attire les investisseurs, malgré son taux de chomâge endémique. Contrairement à d'autres pays du Maghreb, le Maroc prône une posture d'ouverture et facilite toutes les démarches des étrangers voulant investir de l'argent dans le royaume.

Juan Carlos Sevilla a ouvert un restaurant sur le port de Tanger en 2012. Jamais, il n'aurait pu le faire en Espagne.«Ici tu peux créer quelque chose beaucoup plus facilement et rapidement », explique cet ancien chef d'équipe dans une centrale thermique. A cela, s'ajoute la vie d'expatriés: une meilleure position sociale, une piscine, une femme de ménage...

Ce flux d'immigration n'est pas prêt de se tarir. Tous les jours, la Chambre de commerce de Tanger et de Casablanca reçoivent des fournées de CV en provenance d'une Europe en crise."

Lu sur RFI
 
Le Maroc, eldorado pour des Espagnols en galère Pour fuir la crise, les Espagnols sont de plus en plus nombreux à émigrer au royaume chérifien.

La boussole commence à tourner. Les suivants d'hier deviennent les suivis d'aujourdhui. De l'economie, ce sera plus tard la religion, des tas de conversions.

" Le Maroc, eldorado pour des Espagnols en galère Pour fuir la crise, les Espagnols sont de plus en plus nombreux à émigrer au royaume chérifien.
Le Maroc n'attire pas seulement des retraités en recherche de vitamine D. Les actifs, aussi, rejoignent le royaume chérifien. Eux, sont en recherche de travail. Depuis quelques années, les Espagnols gravement touchés par la crise, optent pour le «Morocco dream». Selon l’Institut national de la statistique espagnol (INE), le nombre d'Espagnols officiellement enregistrés en tant que résidents sur le sol marocain a été multiplié par 4, entre 2003 et 2011.

Le site d'information RFI s'est intéressé à ce phénomène d'immigration Nord-Sud, et notamment aux raisons qui poussent des millions d'Espagnols à s'exiler au Maroc, hormis la proximité géographique. D'abord, le Maroc attire les investisseurs, malgré son taux de chomâge endémique. Contrairement à d'autres pays du Maghreb, le Maroc prône une posture d'ouverture et facilite toutes les démarches des étrangers voulant investir de l'argent dans le royaume.

Juan Carlos Sevilla a ouvert un restaurant sur le port de Tanger en 2012. Jamais, il n'aurait pu le faire en Espagne.«Ici tu peux créer quelque chose beaucoup plus facilement et rapidement », explique cet ancien chef d'équipe dans une centrale thermique. A cela, s'ajoute la vie d'expatriés: une meilleure position sociale, une piscine, une femme de ménage...

Ce flux d'immigration n'est pas prêt de se tarir. Tous les jours, la Chambre de commerce de Tanger et de Casablanca reçoivent des fournées de CV en provenance d'une Europe en crise."

Lu sur RFI

Je connais des gens (dont certains proche) qui parle de partir au Maroc...comme indiqué la boussole commence à tourner.

Mais je suis pas d'accords avec les conversion, on ne doit pas obliger ou même pousser des gens à croire.
 
Haut