· 2/3 des élèves ont des difficultés en calcul
· Les écoles de Casablanca et du sud affichent les meilleures performances
L’évaluation des acquis scolaires des élèves dans les matières fondamentales tombe au bon moment. Elle servira au moins de moyen de comparaison entre avant et après la mise en place du plan d’urgence. Le choix s’est porté sur la quatrième et la sixième année du primaire, et la deuxième et la troisième année du collégial , des niveaux déterminants dans le cheminement éducatif des élèves.
· Lacunes dans toutes les matières de base
· Les élèves ne savent ni lire ni écrire
L’évaluation des acquis scolaires des élèves dans les matières fondamentales tombe au bon moment. Elle servira au moins de moyen de comparaison entre avant et après la mise en place du plan d’urgence. Le choix s’est porté sur la quatrième et la sixième année du primaire, et la deuxième et la troisième année du collégial, des niveaux déterminants dans le cheminement éducatif des élèves.
Le rapport du conseil supérieur de l’enseignement confirme les résultats préliminaires que L’Economiste avait publiés il y a quelques mois (cf. L’Economiste n°2979 du 9 mars 2009). Les lacunes sont telles qu’il faudra un traitement de choc http://www.leconomiste.com/article.html?a=94904
· Les écoles de Casablanca et du sud affichent les meilleures performances
L’évaluation des acquis scolaires des élèves dans les matières fondamentales tombe au bon moment. Elle servira au moins de moyen de comparaison entre avant et après la mise en place du plan d’urgence. Le choix s’est porté sur la quatrième et la sixième année du primaire, et la deuxième et la troisième année du collégial , des niveaux déterminants dans le cheminement éducatif des élèves.
· Lacunes dans toutes les matières de base
· Les élèves ne savent ni lire ni écrire
L’évaluation des acquis scolaires des élèves dans les matières fondamentales tombe au bon moment. Elle servira au moins de moyen de comparaison entre avant et après la mise en place du plan d’urgence. Le choix s’est porté sur la quatrième et la sixième année du primaire, et la deuxième et la troisième année du collégial, des niveaux déterminants dans le cheminement éducatif des élèves.
Le rapport du conseil supérieur de l’enseignement confirme les résultats préliminaires que L’Economiste avait publiés il y a quelques mois (cf. L’Economiste n°2979 du 9 mars 2009). Les lacunes sont telles qu’il faudra un traitement de choc http://www.leconomiste.com/article.html?a=94904