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Le Maroc doit encourager la culture de la lavande
- Initiateur de la discussion el jadida
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el jadida/mazagan beach
exactement, c'est ce que le Maroc faisait au départ avec l'huile dargan, il l'exportais brut puis au fur et à mesure des sociétés cosmétiques et alimentaires se sont mise à transformer l'huile d'ragan afin de l'exporter en tant que produit finis c'est beaucoup plus intéressant pour les Marocains. appliquer ça à la lavande
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achat des graine à 1.50 euros
http://www.lesgrainesdefrance.com/v...raie-Lavendula/lavande-vraie-violet-bleu.html
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La ville de Huocheng était autrefois une étape importante sur l’itinéraire nord de la route de la Soie. Sous la dynastie des Qing, elle fut la capitale du khanat de Djaghataï (察合台汗国). Elle est aujourd’hui, depuis longtemps déjà, l’un des centres politiques, économiques et culturels les plus dynamiques de la région autonome ouïgoure du Xinjiang. On y produit depuis de nombreuses années de la lavande en grande quantité. Désormais, la ville et son canton sont aussi réputées que la Provence pour leur production de lavande. De fait, ces deux régions sont situées à la même latitude et profitent d’un climat et de sols de nature similaire.
L’histoire de la culture de la lavande dans la région remonte aux années 1960. Plusieurs groupes de planificateurs agricoles ont commencé par transplanter de la lavande cultivée dans le jardin botanique de Pékin dans la préfecture de Yili (伊犁地区). Cette transplantation fut couronnée de succès si bien que l’aire de culture fut élargie pour couvrir une superficie de plus de 8 000 hectares. De nos jours, Huocheng est devenue la « ville de la lavande chinoise ».
En général, la lavande fleurit entre début et mi-juin. Si vous visitez la région à ce moment de l’année, vous tomberez immanquablement sous le charme des immenses champs de lavande mauve ondulant sous le vent tel un océan. Prenez bien soin de venir au moment de la floraison : fin juin, la plupart des champs auront été récoltés.
- See more at: http://www.voyageschine.com/urumqi-...u-canton-de-huocheng.htm#sthash.n5P8USZU.dpuf
L’histoire de la culture de la lavande dans la région remonte aux années 1960. Plusieurs groupes de planificateurs agricoles ont commencé par transplanter de la lavande cultivée dans le jardin botanique de Pékin dans la préfecture de Yili (伊犁地区). Cette transplantation fut couronnée de succès si bien que l’aire de culture fut élargie pour couvrir une superficie de plus de 8 000 hectares. De nos jours, Huocheng est devenue la « ville de la lavande chinoise ».
En général, la lavande fleurit entre début et mi-juin. Si vous visitez la région à ce moment de l’année, vous tomberez immanquablement sous le charme des immenses champs de lavande mauve ondulant sous le vent tel un océan. Prenez bien soin de venir au moment de la floraison : fin juin, la plupart des champs auront été récoltés.
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1.600 HECTARES DE CULTURES DE LAVANDE
Oulmès est également réputée pour ses champs de lavande. Une culture à laquelle s’adonne une bonne partie de la population. Mais selon des cultivateurs, cette activité, à l’instar d’autres potentialités de la région, n’est pas assez exploitée. Et pourtant, cette plante aux multiples vertus, couvre pas moins de 1.600 hectares des terres. Mais ses ventes ne profitent pas assez aux cultivateurs. Et pour cause, explique ce jeune exploitant, Hamid Allali, “ce sont des intermédiaires qui contrôlent le circuit de vente qui en profitent le mieux”. A noter qu’en début de saison, la lavande est vendue 30 DH le kilo puis les prix dégringolent jusqu’à atteindre parfois14 DH.Pour échapper à l’emprise des intermédiaires, ce jeune décide, en 2003, avec 11 autres exploitants de la région de s’associer au sein d’une coopérative. Avec une superficie totale de près de 200 hectares, celle-ci s’emploie aujourd’hui à la valorisation de plantes aromatiques et médicinales. D’ailleurs, elle vient, dans le cadre d’un projet de revalorisation de terres, de monter une distillerie pour l’extraction des huiles essentielles. “Des Américains s’intéressent à nos produits. Mais comme pour tous les marchés étrangers, ils exigent que les cultures soient bio”, explique Allali, qui cherche aujourd’hui un organisme certificateur. D’autant qu’il entend élargir son champ d’activité à d’autres plantes aromatiques tel le romarin, le thym ou encore le safran, cultivées pour l’heure à titre expérimental. K.E.H.- See more at:http://www.leconomiste.com/article/1600-hectares-de-cultures-de-lavande#sthash.gllu6NgY.dpuf
Oulmès est également réputée pour ses champs de lavande. Une culture à laquelle s’adonne une bonne partie de la population. Mais selon des cultivateurs, cette activité, à l’instar d’autres potentialités de la région, n’est pas assez exploitée. Et pourtant, cette plante aux multiples vertus, couvre pas moins de 1.600 hectares des terres. Mais ses ventes ne profitent pas assez aux cultivateurs. Et pour cause, explique ce jeune exploitant, Hamid Allali, “ce sont des intermédiaires qui contrôlent le circuit de vente qui en profitent le mieux”. A noter qu’en début de saison, la lavande est vendue 30 DH le kilo puis les prix dégringolent jusqu’à atteindre parfois14 DH.Pour échapper à l’emprise des intermédiaires, ce jeune décide, en 2003, avec 11 autres exploitants de la région de s’associer au sein d’une coopérative. Avec une superficie totale de près de 200 hectares, celle-ci s’emploie aujourd’hui à la valorisation de plantes aromatiques et médicinales. D’ailleurs, elle vient, dans le cadre d’un projet de revalorisation de terres, de monter une distillerie pour l’extraction des huiles essentielles. “Des Américains s’intéressent à nos produits. Mais comme pour tous les marchés étrangers, ils exigent que les cultures soient bio”, explique Allali, qui cherche aujourd’hui un organisme certificateur. D’autant qu’il entend élargir son champ d’activité à d’autres plantes aromatiques tel le romarin, le thym ou encore le safran, cultivées pour l’heure à titre expérimental. K.E.H.- See more at:http://www.leconomiste.com/article/1600-hectares-de-cultures-de-lavande#sthash.gllu6NgY.dpuf