Paris : Selon l’expert français, Guillaume Almeras, l’Europe n’a été d’aucun avantage pour le Maroc, pire encore, c’est aujourd’hui un risque pour lui.
‘‘Le Maroc: force est de constater que son ancrage avec l’Europe du Sud, non seulement ne lui pas permis un véritable décollage économique ces quinze dernières années mais représente aujourd’hui un risque important.’’
Ainsi a indiqué, Guillaume Almeras, consultant indépendant, associé au groupe d’analyse de JFC Conseil.
Dans une tribune qu’il a signé sur le site économique, Econostrum, l’expert français a estimé que le Maroc n’a rien gagné de son long engagement, depuis plusieurs années, pour des relations étroites avec l’Europe.
Ce vieux continent irréformable, souffrant de maux semblant incurables, entrainerait dans sa chute, le royaume vers un cycle de crises avérées et d’autres se profilant, si le Maroc n’opère pas une déseuropéanisation de son économie et rapidement:‘‘le principal risque que court aujourd’hui l’économie marocaine est d’être solidement accrochée à un pays en situation de plus en plus fragile, la France, dont la croissance est arthritique et qui, ayant de grandes difficultés à engager des réformes, finance depuis des années, par la dette extérieure, des dépenses publiques dont le montant dépasse désormais celui de son PIB marchand. Un pays dont le risque d’effondrement ne peut plus ainsi être négligé.’’
Mais une telle démarche de séparation comporte à son tour, des risques pour l’avenir du Maroc, signale le consultant français. Ces risques découlent de la nature de l’alternative vers laquelle se tournerait le Maroc.
Selon, Guillaume Almeras, le Maroc qui est un pays dépourvu de richesses naturelles en quantités, n’a de solution que de se rapprocher des seuls bailleurs de fonds faisables pour lui, les pays du Golfe. Or cette solution a un prix à payer.
Guillaume Almeras en a dit :‘Si elle devait durer, la situation actuelle devrait ainsi pousser le Maroc à se rapprocher davantage des pays du CCG, y compris sous les aspects politiques et sans doute culturels.’’
http://m.lemag.ma/Le-Maroc-doit-il-des-europeaniser-son-economie-pour-son-salut_a107114.html
‘‘Le Maroc: force est de constater que son ancrage avec l’Europe du Sud, non seulement ne lui pas permis un véritable décollage économique ces quinze dernières années mais représente aujourd’hui un risque important.’’
Ainsi a indiqué, Guillaume Almeras, consultant indépendant, associé au groupe d’analyse de JFC Conseil.
Dans une tribune qu’il a signé sur le site économique, Econostrum, l’expert français a estimé que le Maroc n’a rien gagné de son long engagement, depuis plusieurs années, pour des relations étroites avec l’Europe.
Ce vieux continent irréformable, souffrant de maux semblant incurables, entrainerait dans sa chute, le royaume vers un cycle de crises avérées et d’autres se profilant, si le Maroc n’opère pas une déseuropéanisation de son économie et rapidement:‘‘le principal risque que court aujourd’hui l’économie marocaine est d’être solidement accrochée à un pays en situation de plus en plus fragile, la France, dont la croissance est arthritique et qui, ayant de grandes difficultés à engager des réformes, finance depuis des années, par la dette extérieure, des dépenses publiques dont le montant dépasse désormais celui de son PIB marchand. Un pays dont le risque d’effondrement ne peut plus ainsi être négligé.’’
Mais une telle démarche de séparation comporte à son tour, des risques pour l’avenir du Maroc, signale le consultant français. Ces risques découlent de la nature de l’alternative vers laquelle se tournerait le Maroc.
Selon, Guillaume Almeras, le Maroc qui est un pays dépourvu de richesses naturelles en quantités, n’a de solution que de se rapprocher des seuls bailleurs de fonds faisables pour lui, les pays du Golfe. Or cette solution a un prix à payer.
Guillaume Almeras en a dit :‘Si elle devait durer, la situation actuelle devrait ainsi pousser le Maroc à se rapprocher davantage des pays du CCG, y compris sous les aspects politiques et sans doute culturels.’’
http://m.lemag.ma/Le-Maroc-doit-il-des-europeaniser-son-economie-pour-son-salut_a107114.html