Les autorités ont décidé souverainement de refouler du territoire national deux «militants» d’Amnesty International après les avoir contrôlés.
Très vite, l’ONG et ses relais hostiles au Maroc, crient à la séquestration des deux ressortissants.
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Arrivés le 8 juin sur le sol marocain, le ressortissant belge Irem Arf Rayfield et le Britannique Dalhuisen John Jacob, n’étaient pas des touristes «ordinaires».
Ils travaillent pour Amnesty International et étaient mandatés par l’ONG pour mener une mission d’inspection au royaume. «L’usage veut que pour ce genre de missions menées par des ONG, les autorités soient avisées. Or, dans ce cas précis, Amnesty a voulu mener une action clandestine au mépris du respect de la souveraineté du royaume», nous confie une source sécuritaire.
Aussitôt après leur arrivée, les deux mandataires d’Amnesty ont entrepris des actions qui ont éveillé les soupçons des autorités.
Le service de contrôle des étrangers de la Surêté nationale est alors entré en ligne pour procéder au contrôle des deux ressortissants, ce jeudi 11 juin.
Et les doutes des services de renseignements sur les véritables intentions de ce duo d’activistes se sont avérés fondés. Alors décision a été prise de les expulser du territoire national.
Rayfield, contrôlé à Oujda, attend d’ailleurs son avion à l’aéroport Angads, tandis que la procédure d’expulsion du ressortissant britannique, contrôlé à Rabat, est toujours en cours.
Pendant ce temps, Amnesty et ses relais d’ONG hostiles aux intérêts du royaume, gesticulent dans tous les sens pour faire croire que leurs «inspecteurs» sont portés disparus au royaume.
Sans doute un baroud d’honneur lancé par dépit de voir leur plan mis en échec!
Source
http://www.le360.ma/fr/politique/deux-activistes-damnesty-en-cours-dexpulsion-du-maroc-42709
Très vite, l’ONG et ses relais hostiles au Maroc, crient à la séquestration des deux ressortissants.
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Arrivés le 8 juin sur le sol marocain, le ressortissant belge Irem Arf Rayfield et le Britannique Dalhuisen John Jacob, n’étaient pas des touristes «ordinaires».
Ils travaillent pour Amnesty International et étaient mandatés par l’ONG pour mener une mission d’inspection au royaume. «L’usage veut que pour ce genre de missions menées par des ONG, les autorités soient avisées. Or, dans ce cas précis, Amnesty a voulu mener une action clandestine au mépris du respect de la souveraineté du royaume», nous confie une source sécuritaire.
Aussitôt après leur arrivée, les deux mandataires d’Amnesty ont entrepris des actions qui ont éveillé les soupçons des autorités.
Le service de contrôle des étrangers de la Surêté nationale est alors entré en ligne pour procéder au contrôle des deux ressortissants, ce jeudi 11 juin.
Et les doutes des services de renseignements sur les véritables intentions de ce duo d’activistes se sont avérés fondés. Alors décision a été prise de les expulser du territoire national.
Rayfield, contrôlé à Oujda, attend d’ailleurs son avion à l’aéroport Angads, tandis que la procédure d’expulsion du ressortissant britannique, contrôlé à Rabat, est toujours en cours.
Pendant ce temps, Amnesty et ses relais d’ONG hostiles aux intérêts du royaume, gesticulent dans tous les sens pour faire croire que leurs «inspecteurs» sont portés disparus au royaume.
Sans doute un baroud d’honneur lancé par dépit de voir leur plan mis en échec!
Source
http://www.le360.ma/fr/politique/deux-activistes-damnesty-en-cours-dexpulsion-du-maroc-42709
