Koun wld flane ou 9tel dbah dir li bghiti bnadem lakhor ghir debane , l7a9ra f had lblad mchat b3id
Nous avons déploré le fait que notre administration puisse trébucher sur une affaire aussi grave mais tout à fait claire et simple et qu’elle ne puisse pas la trancher d’une façon appropriée avec l’attention que le cas d’espèce mérite en raison du caractère singulier et urgent qu’il recouvrait. Ceci était d’autant plus justifié que le principe reconnu aussi bient par le droit que par la pratique dicte dans pareils cas une mesure d’urgence de mise aux arrêts de l’auteur de tel type d’accident. En effet la règle de droit qui régit ce genre de situation stipule que lorsqu’un chauffard ayant causé un accident de circulation causant des coups et blessures ou le décès de personne doitt immédiatement être mis en garde-à-vue. Son arrestation doit s’effectuer aussitôt par les forces de l’ordre accourus sur les lieux et sans tenir compte ni de son statut, ni d’une quelconque autre considération (fautif ou non, malade ou bien-portant, ivre ou sobre…. Or, dans le cas d’espèce, l’accusé avait pu rejoindre tranquilement son domicile sur sa voiture détruisant et maquillant ainsi une part des preuves de sa faute. Deux hypothèses peuvent expliquer chacune avec sa force cette disparition anormale du fautif des lieux de l’accident : soit, que traumatisé par l’ampleur des dégas qu’il avait causés, l’accusé avait pris la fuite et s’est réfugié chez sa famille, soit comme disent certaines langues (bonnes ou malveillantes), le père de l’accusé ayant été contacté par GSM, s’était immédiatement rendu
Suite : http://www.jwek.com/2013/03/maroc-l...sfonctionnements-graves-dans-ladministration/
Nous avons déploré le fait que notre administration puisse trébucher sur une affaire aussi grave mais tout à fait claire et simple et qu’elle ne puisse pas la trancher d’une façon appropriée avec l’attention que le cas d’espèce mérite en raison du caractère singulier et urgent qu’il recouvrait. Ceci était d’autant plus justifié que le principe reconnu aussi bient par le droit que par la pratique dicte dans pareils cas une mesure d’urgence de mise aux arrêts de l’auteur de tel type d’accident. En effet la règle de droit qui régit ce genre de situation stipule que lorsqu’un chauffard ayant causé un accident de circulation causant des coups et blessures ou le décès de personne doitt immédiatement être mis en garde-à-vue. Son arrestation doit s’effectuer aussitôt par les forces de l’ordre accourus sur les lieux et sans tenir compte ni de son statut, ni d’une quelconque autre considération (fautif ou non, malade ou bien-portant, ivre ou sobre…. Or, dans le cas d’espèce, l’accusé avait pu rejoindre tranquilement son domicile sur sa voiture détruisant et maquillant ainsi une part des preuves de sa faute. Deux hypothèses peuvent expliquer chacune avec sa force cette disparition anormale du fautif des lieux de l’accident : soit, que traumatisé par l’ampleur des dégas qu’il avait causés, l’accusé avait pris la fuite et s’est réfugié chez sa famille, soit comme disent certaines langues (bonnes ou malveillantes), le père de l’accusé ayant été contacté par GSM, s’était immédiatement rendu
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