Le maroc licencie 20.000 fonctionnaires fantômes entre 2012 et 2015

thitrite

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Le Maroc s'est attaqué au licenciement de 20 000 fonctionnaires fantômes en grande partie dans l'éducation.


Le chiffre parait important mais est encore loin de la réalité selon le quotidien TelQuel.
En effet, il estime que le Maroc a licencié plus de 20.000 fonctionnaires "fantômes" mais que son nombre est encore plus élevé.
En effet, ce même quotidien estime qu'entre 70.000 et 90.000 fonctionnaires sont considérés comme "fantômes" car ils ne sont que très peu présent dans leur lieux de travail mais continuent de toucher leurs salaires mensuels.
Ce phénomène est actuellement dans l’œil du cyclone au Maroc et commence à exaspérer les décideurs Marocains et le ministère de l'Education qui souffre de dépenses financières importantes non justifiées.

http://www.lepetitjournalmarocain.com/2016/10/le-maroc-licencie-20000-fonctionnaires.html
 
Les fantômes qui hantent les registres de la Trésorerie Nationale, sont de diverses natures ...
Les spectres, les poltergeist, les esprits frappeurs ......... lors des manifs, les éternels revenants fainéants ...
Les exorcistes auront de sérieuses difficultés à démêler les charmes des unes, des envoûtements des autres ...
Ils devront sans doute s'armer d'huile consacrée et d'eau bénite pour faire glisser les uns du haut de leurs douillets ronds de cuir ...
 
ce ministère de l'EN est le plus pourrit de tous ...et de moin ....
C est le plus touché par les fantômes car toutes les femmes et les familles des responsables de l intérieur ,des grands cadres ,des gradés ,sont affectés dans ce ministère rendu poubelle ces fonctionnaires qui ne sont jamais présents à leur poste ,ou même s ils se présentent fournissent des certificats médicaux ...à ceux là s ajoutent beaucoup de malades que l on laisse chez eux au lieu de les présenter à la commission médicale qui tranchera sur leur cas ...voilà pour quoi le rendement est médiocre ,et tout le monde garde le silence parce que les responsalbes envoient leurs enfants dans le privé ...
 
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