La Mère des croyants 'Aishâ

Le Prophète - صلى الله عليه و سلم - l’avait surnommée Oum ‘Abad Allah. C’était le prénom de son neveu et fils de sa sœur Asma, épouse d’Ibn az-Zoubayr - رضي الله عنه -. Elle épousa l’Envoyé d’Allah - صلى الله عليه و سلم - a La Mecque alors qu’elle avait six ans. Le mariage fut cependant consommé qu’à medine en l’an II de l’Hégire alors qu’elle avait neuf ans. A la mort du Messager - صلى الله عليه و سلم - , elle avait 18 ans.


C’était une des femmes les plus savantes ( en matière de religion ). On a rapporté d’elle 1 210 Hadith.

Elle mourut en l’an 57 de l’Hégire, soit 40 ans après le décès du Prophète - صلى الله عليه و سلم -. Ce fût Abû Hourayra - رضي الله عنه - , représentant de Marwân Ibn al-Hakam à Médine, qui dirigea la prière de ses funérailles.


ps : pour ceux qui serait choqués par l'age de 'Aishâ - رضي الله عنها - lors de la consommation de son mariage, il leur suffit d'imaginer que les enfants de cette époque et de cette latitude étaient pubères et matures bien plus tôt que les nôtres !

d'ailleurs à notre époque aussi la latitude et l'environnement jouent un rôle sur la puberté, il suffit de comparer une fille de 14 ans élevée en banlieue parisienne avec une du même age d'un village des alentours de ouarzazate, et si on pousse jusqu'au mali la différence sera plus grande encore...

on ne connait cette affaire qu'à travers les ahadiths, il nous suffit de savoir que l'islam interdit la consommation du mariage avec une fille non-pubère, de même qu'il l'interdit avec une fille pubère non-consentante !
 
Il est important de mentionner qu'avant ses fiançailles au prophète, Aicha fut fiancée à un autre homme, un non musulman, Jober Ibn Al-Moteam Ibn Oday,ce ne fut donc pas inhabituel dans la société de cette époque.

Le mariage à l'age de aicha était normal et fut coutume au temps du prophète bénit soit il , Ses parents et les gens de la Mecque ne voyaient aucune objection à cette union.

Il faut également mentionner que lorsque les femmes atteignaient la puberté au 7e siècle en Arabie, elles étaient considérées éligibles au mariage.

Pour ceux qui considèrent aicha comme une enfant, on leur dit : "aicha avait atteint sa puberté, et dieu dit qu'une personne est capable de raisonner et de prendre la décision dés qu'elle a atteint sa puberté, la preuve : "les actes commis sont comptés dés que l'enfant a atteint sa puberté ",ce n'était donc plus une enfant .

Aicha était la fille d'Abû Bakr, le premier calife de l'Islam et le compagnon le plus proche du prophète. ET c'est de cette amitié qu'est née l'idée d'unir Aicha au prophète. En plus de solidifier ses liens au prophète (paix soit sur lui), Abû Bakr ne pouvait trouver meilleure personne pour prendre soin de sa fille.

Important:Quelle est la sagesse divine derrière ce mariage ? Le rôle des prophètes est d'apporter le message de Dieu aux humains. Aisha fut reconnue dès son jeune âge pour sa mémoire extraordinaire à un tel point qu'elle attira l'attention du Prophète. Ainsi, Muhammad bénit soit il l'épousa à un jeune âge et fit son éducation. Elle passait la plupart de son temps à étudier et à mémoriser la révélation. Son savoir fut crucial à la propagation de l'Islam. Elle fut une des femmes les plus instruites, beaucoup plus que les hommes de l'époque.

Étant donné sa proximité du Prophète, elle fut une des rares personnes à rapporter plus de 2000 traditions . Elle vécut près de 50 ans après la mort de Muhammad sws et ses connaissances furent indispensables et appréciées de tous. D'ailleurs les compagnons du Prophète venaient souvent la voir lorsqu'ils avaient des doutes sur un sujet donné.
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Elle est décédée a 58 ans !

C'est une tres grande longévité pour l'époque et aussi par rapport au climat, sa vie mouvementée..
 
Dans l'esprit de défendre les paroles du Messager (paix et bénédiction d'ALLAH soient sur lui), et non pas dans celui d'encourager le mariage des filles de neuf ans. Nous offrons à nos nobles lecteurs une liste succincte des recueils contenant le hadith de Aicha (qu'ALLAH l'agrée), répliquant par la même occasion aux détracteurs, et à ceux qui douteraient de sa véracité.


J'affirme, sous la bienveillance d'ALLAH (glorifié soit il) : « d'après Aicha (qu'ALLAH soit satisfait d'elle), le Messager (que la paix et la bénédiction d'ALLAH soient sur lui) s'est marié avec elle, âgée alors de six années et consomma le mariage quand elle eut atteint neuf années. »
L'imam al Boukhari a rapporté ce hadith dans « le recueil du mariage ».
-(chapitre : le droit du père à marier sa fille impubère, selon la parole d'ALLAH (glorifié soit il) « ...De même pour celles qui n'ont pas encore de règles. (sourate 65 verset 4) »
Il établit leur délai de viduité à trois mois.) n°5133
-(chapitre : le droit du père à marier sa fille avec l'imam. Omar rapporte : « le Messager (paix et bénédiction d'ALLAH soient sur lui) me demanda Afsa en mariage, et j'ai accepté ») n°5134
-(chapitre : consommer le mariage avec son épouse, âgée alors de neuf ans) n°5158


Dans le livre «les mérites des Ansars »
-(chapitre : le mariage du Messager (paix et bénédiction d'ALLAH soient sur lui) avec Aicha et leur arrivée à Médine, où ils y passèrent la nuit de noce.)n°3894, récit n°3896
L'imam Mouslim à rapporté ce hadith dans « le recueil du mariage »n°1422, et l'imam Nawawi à sous-titré le passage par : « le droit du père à marier sa fille impubère »
L'imam abou Daoud rapporte ce hadith dans « le recueil du mariage », chapitre (le mariage de la fille impubère) n°2121, chapitre (la bonne conduite), chapitre. (La balancoire) n°4933 4935
L'imam Nassa'i rapporte ce hadith dans « le recueil du mariage »chapitre (le droit du père à marier sa fille impubère) n°3255 3256 3257 3258, chapitre (consommer le mariage avec son épouse, âgée alors de neuf ans) n°3378 3379.
L'imam ibn Maja rapporte aussi ce hadith dans « le recueil du mariage »chapitre (le droit des pères à marier leur filles impubères) n°1876 1877
L'imam Ahmed rapporte ce hadith dans son Mousnad, n°24911 récit n°25810
L'imam Adarimi rapporte ce hadith dans « le recueil du mariage »chapitre (le droit des pères à marier leur filles impubères) n°2261


Voilà donc les références de ce hadith dans les neuf recueils, accompagnées des sous titres de savants, néanmoins ce hadith est mentionné dans d'autres recueils de la sunna, sa véracité est donc indéniable et cela malgré les agitations des détracteurs.


Après avoir constaté la véracité de ce hadith, les gens s'opposent ,entre ceux qui diffament la religion, insolents à l'égard du noble Messager (paix et bénédiction d'ALLAH soient sur lui) d'ALLAH (glorifié soit il), et ceux qui se soumettent à la Loi d'ALLAH (glorifié soit il), et qui respectent le Messager (paix et bénédiction d'ALLAH soient sur lui).


ps : je précise bien que si le père a bien le droit de marier sa fille impubère, la consommation du mariage n'est autorisée qu'à la puberté de la fille et avec le consentement de cette fille !
 
C'est vrai : Aïcha a commencé à vivre avec le Prophète lorsqu'elle était âgée de neuf ans (rapporté par Al-Bukhârî, n° 3681, Muslim, n° 1422). Mais il faut considérer les choses avec les éléments sociaux de l'époque. D'ailleurs, des détracteurs du Prophète il y en eu même à l'époque, comme les Mecquois idolâtres et les hypocrites de Médine. Et ils ne manquaient pas une occasion de propager des rumeurs contre lui. Quand le Prophète s'est par exemple marié avec Zaynab bint Jahsh, divorcée de Zayd ibn Hâritha – qui avait été adopté par le Prophète – ils ont fait tout un scandale (car ceci était considéré interdit dans l'Arabie pré-islamique). Mais rien n'a été dit à propos de son mariage avec Aïcha.

Et puis il ne faut pas oublier que les gens de l'époque rapportent que Aïcha était développée (rapporté par Abû Dâoûd, n° 3903), enfin que c'est le père de Aïcha, Abû Bakr lui-même, qui a demandé au Prophète de vivre avec sa jeune épouse (Fat'h ul-bârî, tome 7 p. 281). Quant au Prophète, selon Martin Lings (page 160), "il ne paraissait que la moitié de son âge" (alors cinquante-trois ans, ce qui donnerait à peu près vingt-sept ans), ce qui est rapporté par de nombreuses personnes : les témoignages de Compagnons sont très nombreux qui racontent que même plus tard, à l'âge de soixante ans, le Prophète n'avait que quelques fils blancs dans toute sa chevelure et sa barbe (rapporté par Al-Bukhârî). D'ailleurs, quand, à cinquante trois ans, le Prophète arriva à Médine en compagnie de Abû Bakr (de deux ans son cadet), les musulmans qui avaient seulement entendu parler du Prophète vinrent saluer Abû Bakr à sa place : c'est celui-ci qui paraissait être l'homme âgé (bien qu'en fait de deux ans plus jeune que le Prophète).
 
le Sahih précise bien que Aicha la jeune "épouse" de Mohammed était une fillette qui n'était pas formée:

Sahih Bukhari Volume 8, Livre 73, Numéro 151
'Aisha a rapporté:
J'avais l'habitude jouer avec les poupées en présence du prophète, et mes amies filles jouaient aussi avec moi. Quand l'Apôtre d'Allah entrait (l'endroit ou je vivais) elles avaient l'habitude de se cacher, mais le Prophète les appelait pour qu'elles se joignent et jouent avec moi. Le jeu avec des poupées et des représentations similaires est interdit, mais il était autorisé pour 'Aisha à ce moment, parce qu'elle n'était qu'une petite fille, n'ayant pas encore atteint l'âge de la puberté. (Fateh-al-Bari page 143, Vol.13)

Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim:
Aïcha a dit : "J'avais six ans lorsque le Prophète m'épousa, neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi". Puis elle relatait: "... Ma mère, 'Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j'étais sur une balançoire, entourée de mes compagnes. ... Ma mère m'ayant livrée à ces femmes, celles-ci me lavèrent le visage et la tête; et se mirent à me parer. J'avais à peine fini, que l'Envoyé d'Allah entra, lorsqu'il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains."

le Coran confirme que les rapports sexuels avec les fillettes non formées sont autorisés:

Si vous avez des doutes à propos (de la période d'attente) de vos femmes qui n'espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n'ont pas encore de règles. Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d'attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, Il lui facilite les choses.
Coran 65:4

Ce verset parle de la période d'attente (délais de viduité) pour une femme divorcée avant qu'elle puisse se remarier, afin de garantir qu'elle ne porte pas un enfant de son ex-mari.

Parole de Dieu ou de Mohammed?
Le Coran nous invite à chercher dans l'évangile les réponses aux difficultés qui se trouvent dans le Coran:

[Coran 10:94] Et si tu es en doute sur ce que Nous avons fait descendre vers toi, interroge alors ceux qui lisent le Livre révélé avant toi (l'évangile).
http://pages.ifrance.com/livres/indjil-yahia/index.htm

Ce genre de pratique est en complète contradiction avec l'évangile de Jésus le Messie.
 
Dans l'esprit de défendre les paroles du Messager (paix et bénédiction d'ALLAH soient sur lui), et non pas dans celui d'encourager le mariage des filles de neuf ans. Nous offrons à nos nobles lecteurs une liste succincte des recueils contenant le hadith de Aicha (qu'ALLAH l'agrée), répliquant par la même occasion aux détracteurs, et à ceux qui douteraient de sa véracité.


J'affirme, sous la bienveillance d'ALLAH (glorifié soit il) : « d'après Aicha (qu'ALLAH soit satisfait d'elle), le Messager (que la paix et la bénédiction d'ALLAH soient sur lui) s'est marié avec elle, âgée alors de six années et consomma le mariage quand elle eut atteint neuf années. »
L'imam al Boukhari a rapporté ce hadith dans « le recueil du mariage ».
-(chapitre : le droit du père à marier sa fille impubère, selon la parole d'ALLAH (glorifié soit il) « ...De même pour celles qui n'ont pas encore de règles. (sourate 65 verset 4) »
Il établit leur délai de viduité à trois mois.) n°5133
-(chapitre : le droit du père à marier sa fille avec l'imam. Omar rapporte : « le Messager (paix et bénédiction d'ALLAH soient sur lui) me demanda Afsa en mariage, et j'ai accepté ») n°5134
-(chapitre : consommer le mariage avec son épouse, âgée alors de neuf ans) n°5158


Dans le livre «les mérites des Ansars »
-(chapitre : le mariage du Messager (paix et bénédiction d'ALLAH soient sur lui) avec Aicha et leur arrivée à Médine, où ils y passèrent la nuit de noce.)n°3894, récit n°3896
L'imam Mouslim à rapporté ce hadith dans « le recueil du mariage »n°1422, et l'imam Nawawi à sous-titré le passage par : « le droit du père à marier sa fille impubère »
L'imam abou Daoud rapporte ce hadith dans « le recueil du mariage », chapitre (le mariage de la fille impubère) n°2121, chapitre (la bonne conduite), chapitre. (La balancoire) n°4933 4935
L'imam Nassa'i rapporte ce hadith dans « le recueil du mariage »chapitre (le droit du père à marier sa fille impubère) n°3255 3256 3257 3258, chapitre (consommer le mariage avec son épouse, âgée alors de neuf ans) n°3378 3379.
L'imam ibn Maja rapporte aussi ce hadith dans « le recueil du mariage »chapitre (le droit des pères à marier leur filles impubères) n°1876 1877
L'imam Ahmed rapporte ce hadith dans son Mousnad, n°24911 récit n°25810
L'imam Adarimi rapporte ce hadith dans « le recueil du mariage »chapitre (le droit des pères à marier leur filles impubères) n°2261


Voilà donc les références de ce hadith dans les neuf recueils, accompagnées des sous titres de savants, néanmoins ce hadith est mentionné dans d'autres recueils de la sunna, sa véracité est donc indéniable et cela malgré les agitations des détracteurs.


Après avoir constaté la véracité de ce hadith, les gens s'opposent ,entre ceux qui diffament la religion, insolents à l'égard du noble Messager (paix et bénédiction d'ALLAH soient sur lui) d'ALLAH (glorifié soit il), et ceux qui se soumettent à la Loi d'ALLAH (glorifié soit il), et qui respectent le Messager (paix et bénédiction d'ALLAH soient sur lui).


ps : je précise bien que si le père a bien le droit de marier sa fille impubère, la consommation du mariage n'est autorisée qu'à la puberté de la fille et avec le consentement de cette fille !



65/4: "Si vous avez des doutes à propos (de la période d'attente) de vos femmes qui n'espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n'ont pas encore de règles. Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d'attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, Il lui facilite les choses."

autre traduction de R.K:
"Quant aux femmes qui ont atteint la ménaupose, si vous avez des doutes leur intérim devra être de trois mois. Quant à celles qui n’ont pas de menstruations, et découvrent qu’elles sont enceintes, leur intérim s’achève en donnant naissance. Quiconque révère DIEU, Il facilite tout pour lui." http://www.masjidtucson.org/french/quran/pdf/ch065.pdf

Laquelle est la bonne?
Sinon la Vierge Marie n'est-elle pas la mère des croyantes?
 
65/4: "Si vous avez des doutes à propos (de la période d'attente) de vos femmes qui n'espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n'ont pas encore de règles. Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d'attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, Il lui facilite les choses."

autre traduction de R.K:
"Quant aux femmes qui ont atteint la ménaupose, si vous avez des doutes leur intérim devra être de trois mois. Quant à celles qui n’ont pas de menstruations, et découvrent qu’elles sont enceintes, leur intérim s’achève en donnant naissance. Quiconque révère DIEU, Il facilite tout pour lui." http://www.masjidtucson.org/french/quran/pdf/ch065.pdf

Laquelle est la bonne?

salam,

celle-là, incha allah :

65:4: Si vous avez des doutes à propos (de la période d'attente) de vos femmes qui n'espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n'ont pas encore de règles. Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d'attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, Il lui facilite les choses.

65.4.وَاللَّائِي يَئِسْنَ مِنَ الْمَحِيضِ مِن نِّسَائِكُمْ إِنِ ارْتَبْتُمْ فَعِدَّتُهُنَّ ثَلَاثَةُ أَشْهُرٍ وَاللَّائِي لَمْ يَحِضْنَ وَأُوْلَاتُ الْأَحْمَالِ أَجَلُهُنَّ أَن يَضَعْنَ حَمْلَهُنَّ وَمَن يَتَّقِ اللَّهَ يَجْعَل لَّهُ مِنْ أَمْرِهِ يُسْراً

il y a trois catégories de femmes dans ce verset !

quant à la deuxième traduction,

si on regroupait les deux dernières (prépubères et enceintes), on ne connaitrait pas le délai de la prépubère qui n'est pas enceinte, ni celui de celle enceinte qui n'est pas prépubère !

d'ailleurs ne pas avoir de règles et tomber enceinte ça doit être plutôt exceptionnel, pour que ce cas soit mentionné sans que celui (beaucoup plus courant) de celle qui est seulement enceinte le soit !

et puis une femme répudiée n'est pas une interimaire, c'est vraiment une traduction bidon !

Sinon la Vierge Marie n'est-elle pas la mère des croyantes?

désolé, mais je n'ai pas réponse à tout !

je sais qu'elle est appelée mère de tous les croyants par les chrétiens !

mais je ne suis sûr que pour hawa (ève) qui est notre mère à tous, et pour les femmes du prophète (salallahou 'alaihi wa sallam) qui sont les mères des croyants !
 
65/4. Si vous avez des doutes à propos (de la période d'attente) de vos femmes qui n'espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois (1). De même pour celles qui n'ont pas encore de règles (2). Et quant à celles qui sont enceintes (3), leur période d'attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Dieu cependant, Il lui facilite les choses. Waalla-ee ya-isna mina almaheedimin nisa-ikum ini irtabtum faAAiddatuhunna thalathatuashhurin waalla-ee lam yahidna waolatual-ahmali ajaluhunna an yadaAAna hamlahunnawaman yattaqi Allaha yajAAal lahu min amrihi yusran
(1) Femmes pouvant être en ménaupose, ayant ateint un certain âge qui fait que cette femme peut ne plus avoir de menstrues: période d'attente= 3 mois.
(2) -Dans le contexte du verset il s'agit pour les trois cas de femmes, peut-on en conclure qu'une jeune fille impubère est une femme, non.
- La femme n'ayant pas encore ses règles ne signifi pas qu'il s'agit d'une jeune fille impubère, les retards de règles alors que l'on a déjà eu existent, de plus les toutes premières règles peuvent arrivées à un âge bien plus avancer que d'autres.
-La femme n'ayant pas encore ses règles peut enfin être tout simplement enceinte, et ceux donc sans être une jeune fille impubère: période d'attente= 3 mois.
(3) Et donc ici pour les femmes enceintes la période d'attente est de 0 à 9 mois, suivant l'avancée de la grossesse.
 
65/4. Si vous avez des doutes à propos (de la période d'attente) de vos femmes qui n'espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois (1). De même pour celles qui n'ont pas encore de règles (2). Et quant à celles qui sont enceintes (3), leur période d'attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Dieu cependant, Il lui facilite les choses. Waalla-ee ya-isna mina almaheedimin nisa-ikum ini irtabtum faAAiddatuhunna thalathatuashhurin waalla-ee lam yahidna waolatual-ahmali ajaluhunna an yadaAAna hamlahunnawaman yattaqi Allaha yajAAal lahu min amrihi yusran
(1) Femmes pouvant être en ménaupose, ayant ateint un certain âge qui fait que cette femme peut ne plus avoir de menstrues: période d'attente= 3 mois.
(2) -Dans le contexte du verset il s'agit pour les trois cas de femmes, peut-on en conclure qu'une jeune fille impubère est une femme, non.
- La femme n'ayant pas encore ses règles ne signifi pas qu'il s'agit d'une jeune fille impubère, les retards de règles alors que l'on a déjà eu existent, de plus les toutes premières règles peuvent arrivées à un âge bien plus avancer que d'autres.
-La femme n'ayant pas encore ses règles peut enfin être tout simplement enceinte, et ceux donc sans être une jeune fille impubère: période d'attente= 3 mois.
(3) Et donc ici pour les femmes enceintes la période d'attente est de 0 à 9 mois, suivant l'avancée de la grossesse.

salam,

j'ai déjà répondu à ça, à chacun sa compréhension...

wa allahou a'lam !
 

nohayla1

ALLAH
as-salam alaykom
baraka'allahou fik frere albahar tjrs au top masha'allah rien à dire.
il y a des gent qui ont dit mille fois une chose fausse et ils la repetent,ils croyaient qu'ils sont au top
ya soubhana'allah!!!!!
w as-salam alaykom
 
as-salam alaykom
baraka'allahou fik frere albahar tjrs au top masha'allah rien à dire.
il y a des gent qui ont dit mille fois une chose fausse et ils la repetent,ils croyaient qu'ils sont au top
ya soubhana'allah!!!!!
w as-salam alaykom

C'est très bien nohayla, sinon quelque chose à apporter ici? :D
Mash'Allah!
 
Il est important de mentionner qu'avant ses fiançailles au prophète, Aicha fut fiancée à un autre homme, un non musulman, Jober Ibn Al-Moteam Ibn Oday,ce ne fut donc pas inhabituel dans la société de cette époque.

Le mariage à l'age de aicha était normal et fut coutume au temps du prophète bénit soit il , Ses parents et les gens de la Mecque ne voyaient aucune objection à cette union.

Les fiançailles était parfois décidées dès la naissance! Je pense néanmoins que Mohammed déjà âgé, en ayant des relations sexuelles avec Aïcha (9 ans) et qui de plus n'était pas formée (ainsi que tiens à le préciser le Hadith) est allé plus loin que ce qui était "culturellement" admis, même chez un peuple peu évolué. Idem pour l'affaire Zaynab, ses compagnons étaient choqués par son comportement et il a fallu des versets bien a propos pour le "justifier" in extremis, des versets dont les conséquences lamentables pèsent encore sur l'ensemble du monde musulman (adoption interdite, fatwas de la tétée...)

Quelles preuves avons nous de ce que Muhammad était réellement envoyé de Dieu?
Dieu exige deux témoins pour toute question touchant à la justice humaine ; pour les questions qui ont trait à des sujets religieux, à des vérités divines et célestes, Dieu présente au moins deux témoins. si un homme se présente en prétendant que ses paroles lui viennent directement du Dieu Créateur, nous devons nous interroger - et l'interroger : « Comment pouvons nous être assurés que tu parles au nom du Dieu Créateur, le Dieu du ciel et de la terre. Qui - ou quoi - constitue le second témoin? »
On ne peut pas se contenter de son propre témoignage ou de celui de ses propres révélations?!

Sidna Musa et Sidna Yssa étaient accompagnés de miracles! Ils ont aussi annoncé des évènement prophétiquements, ce que n'a pas fait Muhammad?



le Sahih précise bien que Aicha la jeune "épouse" de Mohammed était une fillette qui n'était pas formée:

Sahih Bukhari Volume 8, Livre 73, Numéro 151
'Aisha a rapporté:
J'avais l'habitude jouer avec les poupées en présence du prophète, et mes amies filles jouaient aussi avec moi. Quand l'Apôtre d'Allah entrait (l'endroit ou je vivais) elles avaient l'habitude de se cacher, mais le Prophète les appelait pour qu'elles se joignent et jouent avec moi. Le jeu avec des poupées et des représentations similaires est interdit, mais il était autorisé pour 'Aisha à ce moment, parce qu'elle n'était qu'une petite fille, n'ayant pas encore atteint l'âge de la puberté. (Fateh-al-Bari page 143, Vol.13)

Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim:
Aïcha a dit : "J'avais six ans lorsque le Prophète m'épousa, neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi". Puis elle relatait: "... Ma mère, 'Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j'étais sur une balançoire, entourée de mes compagnes. ... Ma mère m'ayant livrée à ces femmes, celles-ci me lavèrent le visage et la tête; et se mirent à me parer. J'avais à peine fini, que l'Envoyé d'Allah entra, lorsqu'il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains."

le Coran confirme que les rapports sexuels avec les fillettes non formées sont autorisés:

Si vous avez des doutes à propos (de la période d'attente) de vos femmes qui n'espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n'ont pas encore de règles. Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d'attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, Il lui facilite les choses.
Coran 65:4

Ce verset parle de la période d'attente (délais de viduité) pour une femme divorcée avant qu'elle puisse se remarier, afin de garantir qu'elle ne porte pas un enfant de son ex-mari.

Parole de Dieu ou de Mohammed?
Le Coran nous invite à chercher dans l'évangile les réponses aux difficultés qui se trouvent dans le Coran:

[Coran 10:94] Et si tu es en doute sur ce que Nous avons fait descendre vers toi, interroge alors ceux qui lisent le Livre révélé avant toi (l'évangile).
http://pages.ifrance.com/livres/indjil-yahia/index.htm

Ce genre de pratique est en complète contradiction avec l'évangile de Jésus le Messie.
 
"La mère des croyants "Aishâ"", n'est même pas mentionnée dans le Coran...

24:13: Pourquoi n'ont-ils pas produit [à l'appui de leurs accusations] quatre témoins? S'ils ne produisent pas de témoins, alors ce sont eux, auprès d'Allah, les menteurs.

tafsir :

Pourquoi [les auteurs de la calomnie] n'avaient-ils pas amené quatre témoins. Ils n'ont pas produit ces quatre témoins, parce que ce sont des menteurs d'après le jugement de Dieu.(1) (1) 'Aicha -que Dieu l'agrée- a rapporté: Quand le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) voulait partir en expédition, il procédait au tirage au sort entre ses femmes, et celle dont le sort désignait, l'accompagnait. Dans une de ses expéditions il fit un tirage au sort et c'était moi qui devais partir avec lui. Je partis donc avec lui après que le verset relatif au voile eut été révélé, et on me fit installer dans un palanquin. Une fois l'expédition terminée, nous retournâmes et nous fûmes près de Médine. La nuit, le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) ordonna de nous mettre en route. Après que cet ordre fut donné, je me levai pour aller satisfaire un besoin en dépassant le lieu de campement. En retournant, je m'aperçus que mon collier de verroteries fait à Azfar (au Yemen) fut détaché. Je rebroussai chemin vers le lieu où j'étais afin de le rechercher et je fus retenue sur place pour le retrouver. Les hommes qui étaient chargés de ma monture portèrent le palanquin et le mirent sur le chameau croyant que j'étais dedans. A savoir que les femmes à cette époque étaient légères et loin de l'obésité, car elles se contentaient de peu de nourriture. Les hommes, en soulevant le palanquin, ne firent point attention à sa légèreté. J'étais, à cette époque, une femme très jeune; ils firent lever le chameau et partirent, et, à mon retour, je trouvai mon collier, qui était sous l'animal, alors que l'armée avait déjà quitté le camp. Quand je trouvai mon collier, en revenant au lieu de campement, il n'y avait personne, alors je décidai de rester là où j'étais croyant que, quand ils s'apercevront de mon absence, ils reviendront sûrement me chercher. Etant ainsi, le sommeil me gagna. Çafwan Ben Al-Mou'attal, qui occupait l'arrière de la troupe, arriva à l'endroit où je me trouvais et vit une silhouette d'une personne endormie. Il me reconnut car il m'avait déjà vue avant que le verset du voile fut révélé. Je m'éveillai en l'entendant dire: «Nous sommes à Dieu et c'est vers Lui que nous retournerons». Alors je me calfeutrai de mon manteau en couvrant le visage. Par Dieu, il ne m'adressa aucune parole et je n'entendis de lui que celle qu'il venait de dire. Il fit agenouiller sa monture pour me porter sur elle, nous nous mîmes en route en la conduisant jusqu'à ce que nous atteignîmes la troupe qui faisait la sieste au moment de la canicule du midi. C'était Abdullah Ben Oubay Ben Saloul qui avait répandu la calomnie. Nous arrivâmes à Médine et je tombai malade pendant un mois. Les gens à ce moment parlèrent longuement de cette calomnie sans que je m'en aperçoive. Une fois presque guérie, je sortis avec Oum Mistah à notre lieu d'aisance à «Al-Manaçé». Oum Mistah fit un faux pas en marchant sur le pan de son vêtement, et dit: «Malheur à Mistah». Je lui répondis: «Tuas mal dit en injuriant un homme qui a assisté à la bataille de Badr. -O ma chère, répliqua-t-elle, n'es-tu pas au courant de ce qu'il a raconté? -Qu-est-ce qu'il raconté? demandai-je.» Elle me rapporta alors ce que les gens disent, et ma maladie s'aggrava. Quand le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) rentra chez moi, je lui dis: «Permets-moi d'aller chez mes parents», voulant par cette demande entendre de leurs bouches ce que les gens racontent. Il m'accorda cette autorisation. En arrivant chez mes parents, je dis à ma mère: «Mère, que racontent les gens? -O ma fille, répondit-elle, ne donne pas trop d'importance à leurs propos. Par Dieu, il est rare à une femme quelconque, jolie, pure, aimée de son mari et ayant des co-épouses, sans qu'on lui lance pareilles invectives. -Gloire à Dieu! m'exclamai-je, les gens ont-ils donc eut de tels propos?» Et je passai toute la nuit à pleurer et sans goûter un moment de sommeil. Le lendemain matin, le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) manda Ali Ben Abi Taleb et Oussama Ben Zayd, quand il s'aperçut que la révélation tardait à venir. Les consultant au sujet de notre séparation, Oussama, qui était au courant de l'affection pour ses femmes, lui répondit: «On ne connaît de tes femmes que du bien». Quant à 'Ali, il dit: «O Messager de Dieu, Dieu ne veut pas que tu sois peiné, il y a beaucoup d'autres femmes. Interroge la servante, elle te dira la vérité».
 
Le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) appela la servante Barira et lui dit: «O Barira, as-tu remarqué une chose chez ta maîtresse qui suscite le soupçon?» Elle répondit: «Non, par Celui qui t'a envoyé avec la vérité, je n'ai rien vu à lui reprocher, sinon qu'elle est une jeune femme qui s'endort en négligeant la pâte en sorte qu'un animal domestique vient la lui manger». Le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) se leva et résolut de demander justification à Abdullah Ben Oubay Ben Saloul. Il dit aux fidèles: «O musulmans, qui me justifie un homme qui, comme on me l'a dit, a calominé ma femme? Par Dieu, je ne sais que du bien d'elle». Durant toute la journée, poursuivit 'Aicha, mes yeux ne cessèrent de fondre en larmes et la nuit je ne pus goûter un moment de sommeil. Le lendemain matin, mes parents vinrent me trouver, et j'avais pleuré deux nuits et une journée au point où je sentis que les larmes allaient me causer un grand mal. Alors que mes père et mère étaient auprès de moi, une femme Ansarite demanda l'autorisation d'entrer chez moi, et une fois que cette autorisation fut accordée, elle s'assit près de moi et se mit à pleurer avec moi. Etant ainsi, le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) entra, salua et s'assit, [à savoir que depuis le jour où ils m'ont accusé d'adultère] un mois s'écoula sans recevoir une révélation à mon sujet. Il prononça la profession de foi et me dit: «'Aicha! Il m'est parvenu telle et telle chose sur ton compte. Si tu est innocente, Dieu t'innocentera. Et si tu as commis'un tel péché, demande pardon à Dieu et reviens vers Lui, car l'homme qui avoue son péché à Dieu et revient à Dieu, Dieu reviendra à lui». Une fois que le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) eut terminé ses paroles, mes larmes s'arrêtèrent de couler, et je dis à mon père: «Réponds pour moi!». Il dit: «Par Dieu, je ne sais quoi répondre au Messager de Dieu». Je demandai à ma mère: «Réponds pour moi!» Elle dit: «Par Dieu, je ne sais quoi répondre au Messager de Dieu». Etant toute jeune, n'ayant pas appris beaucoup du Coran, je dis: «Par Dieu, je sais que vous avez appris ce que les gens racontent, une chose qui s'est aggravée dans vos cœurs et vous en croyez. Si je dis que je suis innocente, Dieu aussi le sait, vous n'allez pas me croire, et si j'avoue un péché que je n'ai pas commis, Dieu sait que je suis innocente, vous me croyez. Par Dieu, je ne trouve pour nous tous en exemple autre que Ya'coub le père de Youssof quand il a dit: «Patience! C'est à Dieu qu'il faut demander secours contre ce que vous me racontez» [Coran XII, 18]. Je regagnai mon lit, espérant que Dieu me rend innocente. Par Dieu, je n'attendais pas à ce que Dieu fasse une certaine révélation à mon sujet, me considérant comme insignifiante afin que le Coran parle de moi. Mais tout ce que j'espérais, c'est que le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) aurait fait pendant son sommeil une vision par quoi Dieu me rendra innocente. Par Dieu, le Prophète (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) n'avait pas quitté sa place et nul autre n'avait le temps de sortir de la maison, que la révélation arriva au Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix). Et comme d'habitude, le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) fut pris par un certain état, et de grosses gouttes de sueur commencèrent à couler sur son front. Une fois la révélation cessée, la première parole que le Prophète dit fut: «O 'Aicha! Loue Dieu qui t'a innocentée». Ma mère me dit alors: «Lève-toi et va vers le Messager de Dieu. -Non, par Dieu, répondis-je, je ne me lèverai pas pour aller vers lui, et je ne loue que Dieu.» Dieu -à Lui la puissance et la gloire- révéla en fait ceci: «Un groupe d'entre vous a répandu la calomnie...» et ce furent dix versets. Abou Bakr, qui dépensait pour Mistah, un de ses proches parents à cause de sa pauvreté, dit alors: «Par Dieu, désormais je ne dépenserai plus pour Mistah après ce qu'il a dit de 'Aicha». Dieu révéla aussitôt: «Ceux qui parmi vous jouissent de la faveur et de l'aisance, ne négligeront pas de donner à leurs proches» jusqu'à «Dieu est Celui qui pardonne, Il est Miséricordieux» [Coran XXIV,22]. Et Abou Bakr de dire ensuite: «Certes, oui, par Dieu, je veux bien que Dieu me pardonne», et il renouvela à Mistah la pension qu'il lui faisait. (Boukhari, Mouslim et autres)
 

nohayla1

ALLAH
portent c'est bien une vérité,

as-salam alaykom
il y a des gent qui ne cherchent pas de vérité yyya compassion
mais ils essayent de créer des polémiques c'est tout,
sinon qu'est ce que tu dit des gent qu'on leur dit mille fois une chose vraie
mais ils n'écoutent meme pas.
en plus si qlq1 cherche une vérité comme tu dit qu'il la cherche en respect,non?
w as-salam alaykom
 

Shadowmaster

On n'a rien sans rien
Bladinaute averti
as-salam alaykom
il y a des gent qui ne cherchent pas de vérité yyya compassion
mais ils essayent de créer des polémiques c'est tout,
sinon qu'est ce que tu dit des gent qu'on leur dit mille fois une chose vraie
mais ils n'écoutent meme pas.
en plus si qlq1 cherche une vérité comme tu dit qu'il la cherche en respect,non?
w as-salam alaykom

Mes opposants n'ont pas réussi à m'en donner une seule parmi ces 1001 vérité. :rolleyes:
 
salam alykoum,

Sujet tres interessant, barak'Allah ou fik...

je poursuit inch'Allah...

Depuis la mort de Khadija , les jours s'écoulaient chargés du poids de la mission prophétique. Quant aux nuits, elles s'emplissaient du souvenir de la disparue. Ainsi, le Prophète demeurait sans compagne. De leurs côtés, ses compagnons observaient sur lui les effets de la tristesse. Ils auraient souhaité le voir briser sa solitude en se mariant le plus tôt possible.

Cependant, aucun des Compagnons ne prenait le courage de l'entretenir d'une éventuelle union. Il a fallu qu'un soir Khalwa Bint Hakim as-Salmiyya aille chez lui et lui dit :

- Ô Envoyé de Dieu ! Je te vois plongé dans la plus totale des tristesses depuis la mort de Khadija.

Elle l'observa un moment, puis soudain, elle lui proposa de se remarier. Le Prophète la regarda en silence, écoutant la voix de son coeur plein de souvenir de la défunte. Il se rappela alors du jour, voilà plus de vingt ans, où Nafisa Bint Muniyya vint à lui pour lui parler de mariage et lui présenter une éventuelle union avec Khadija.

Quelques temps après, le Prophète leva la tête et dit :

- Qui épouserais-je après Khadijah ?

Khalwa proposa à l'Envoyé de Dieu, le nom de `Aïsha , le coeur de celui-ci s'épanouit en raison du fort lien d'amitié qui le liait à Abu Bakr. Aussi avant d'aller chez Sawda, Khalwa se rendit d'abord à la maison de celui qui allait être le premier calife de l'Islam, après la mort du sceau des envoyés. Elle trouva Umm Rûman, la mère de `Aïsha et lui dit qu'elle venait lui annoncer une heureuse nouvelle.

« L'Envoyé de Dieu m'a envoyé pour demander la main de `Aïsha. »

La mère se réjouit de cette annonce et appela son mari. Dès que celui-ci fit son apparition, Khalwa répéta le motif de sa mission. Abu Bakr fut surprit et dit : « Le Prophète et moi, nous nous sommes toujours considérés comme des frères. `Aïsha est donc sa nièce. Comment peut-elle se marier à lui ? »

Khalwa revint voir le Prophète et l'informa des inquiétudes d'Abu Bakr. Elle reçut cette réponse :

« Dis à Abu Bakr qu'il n'est pas mon propre frère mais seulement mon frère en islam. L'Islam n'interdit pas le mariage avec la fille d'un tel frère. »

Abu bakr demanda quelques instants de réflexion et sortit de la maison. Umm Ruman expliqua à Khalwa la raison du départ de son mari : Mat'am Ibn Addi avait sollicité la main de `Aïsha pour son fils Jabir. Or Abu Bakr n'avait pas pour habitude de faillir aux promesses qu'il donnait. Et cette fois encore, il voulait s'assurer que les choses s'arrangeraient.

Abu Bakr entra chez Mat'am et trouva avec lui sa femme, Umm Jabir, qui était encore idolâtre. Celle-ci prit la parole :

« Ô Abu Bakr ! il est possible qu'en mariant notre fils à ta fille, celle-ci le fera entrer dans sa religion que toi-même tu partages ? »

Abu Bakr ne lui répondit pas mais se tourna vers le mari pour lui demander ce qu'il en pensait.

« Mon opinion, dit-il, est celle que tu as entendue de ma femme. »

Abu Bakr sortit de chez Mat'am, l'air soulagé. Il ne pouvait pas donner sa fille à un idolâtre. C'est dire que sa promesse tombait à l'eau. Arrivé auprès de Khalwa, il lui demanda d'inviter le Prophète.

L'Envoyé de Dieu répondit à l'invitation. Ce fut alors que l'accord de son union avec `Aïsha était conclu, alors qu'elle n'avait que six ou sept ans. La dot avait été fixée à cinq cents dirhams.

pour lire la suite...http://islammedia.free.fr/Pages/femme-aisha.html

3ablaa.
 
Le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) appela la servante Barira et lui dit: «O Barira, as-tu remarqué une chose chez ta maîtresse qui suscite le soupçon?» Elle répondit: «Non, par Celui qui t'a envoyé avec la vérité, je n'ai rien vu à lui reprocher, sinon qu'elle est une jeune femme qui s'endort en négligeant la pâte en sorte qu'un animal domestique vient la lui manger». Le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) se leva et résolut de demander justification à Abdullah Ben Oubay Ben Saloul. Il dit aux fidèles: «O musulmans, qui me justifie un homme qui, comme on me l'a dit, a calominé ma femme? Par Dieu, je ne sais que du bien d'elle». Durant toute la journée, poursuivit 'Aicha, mes yeux ne cessèrent de fondre en larmes et la nuit je ne pus goûter un moment de sommeil. Le lendemain matin, mes parents vinrent me trouver, et j'avais pleuré deux nuits et une journée au point où je sentis que les larmes allaient me causer un grand mal. Alors que mes père et mère étaient auprès de moi, une femme Ansarite demanda l'autorisation d'entrer chez moi, et une fois que cette autorisation fut accordée, elle s'assit près de moi et se mit à pleurer avec moi. Etant ainsi, le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) entra, salua et s'assit, [à savoir que depuis le jour où ils m'ont accusé d'adultère] un mois s'écoula sans recevoir une révélation à mon sujet. Il prononça la profession de foi et me dit: «'Aicha! Il m'est parvenu telle et telle chose sur ton compte. Si tu est innocente, Dieu t'innocentera. Et si tu as commis'un tel péché, demande pardon à Dieu et reviens vers Lui, car l'homme qui avoue son péché à Dieu et revient à Dieu, Dieu reviendra à lui». Une fois que le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) eut terminé ses paroles, mes larmes s'arrêtèrent de couler, et je dis à mon père: «Réponds pour moi!». Il dit: «Par Dieu, je ne sais quoi répondre au Messager de Dieu». Je demandai à ma mère: «Réponds pour moi!» Elle dit: «Par Dieu, je ne sais quoi répondre au Messager de Dieu». Etant toute jeune, n'ayant pas appris beaucoup du Coran, je dis: «Par Dieu, je sais que vous avez appris ce que les gens racontent, une chose qui s'est aggravée dans vos cœurs et vous en croyez. Si je dis que je suis innocente, Dieu aussi le sait, vous n'allez pas me croire, et si j'avoue un péché que je n'ai pas commis, Dieu sait que je suis innocente, vous me croyez. Par Dieu, je ne trouve pour nous tous en exemple autre que Ya'coub le père de Youssof quand il a dit: «Patience! C'est à Dieu qu'il faut demander secours contre ce que vous me racontez» [Coran XII, 18]. Je regagnai mon lit, espérant que Dieu me rend innocente. Par Dieu, je n'attendais pas à ce que Dieu fasse une certaine révélation à mon sujet, me considérant comme insignifiante afin que le Coran parle de moi. Mais tout ce que j'espérais, c'est que le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) aurait fait pendant son sommeil une vision par quoi Dieu me rendra innocente. Par Dieu, le Prophète (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) n'avait pas quitté sa place et nul autre n'avait le temps de sortir de la maison, que la révélation arriva au Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix). Et comme d'habitude, le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) fut pris par un certain état, et de grosses gouttes de sueur commencèrent à couler sur son front. Une fois la révélation cessée, la première parole que le Prophète dit fut: «O 'Aicha! Loue Dieu qui t'a innocentée». Ma mère me dit alors: «Lève-toi et va vers le Messager de Dieu. -Non, par Dieu, répondis-je, je ne me lèverai pas pour aller vers lui, et je ne loue que Dieu.» Dieu -à Lui la puissance et la gloire- révéla en fait ceci: «Un groupe d'entre vous a répandu la calomnie...» et ce furent dix versets. Abou Bakr, qui dépensait pour Mistah, un de ses proches parents à cause de sa pauvreté, dit alors: «Par Dieu, désormais je ne dépenserai plus pour Mistah après ce qu'il a dit de 'Aicha». Dieu révéla aussitôt: «Ceux qui parmi vous jouissent de la faveur et de l'aisance, ne négligeront pas de donner à leurs proches» jusqu'à «Dieu est Celui qui pardonne, Il est Miséricordieux» [Coran XXIV,22]. Et Abou Bakr de dire ensuite: «Certes, oui, par Dieu, je veux bien que Dieu me pardonne», et il renouvela à Mistah la pension qu'il lui faisait. (Boukhari, Mouslim et autres)

si tu veux, mais ça n'a rien à voir avec mon affirmation que répète car tu n'as peut être pas compris :

"La mère des croyants "Aishâ"", n'est même pas mentionnée dans le Coran...
"La mère des croyants "Aishâ"", n'est même pas mentionnée dans le Coran...
 

Shadowmaster

On n'a rien sans rien
Bladinaute averti
si tu veux, mais ça n'a rien à voir avec mon affirmation que répète car tu n'as peut être pas compris :

"La mère des croyants "Aishâ"", n'est même pas mentionnée dans le Coran...
"La mère des croyants "Aishâ"", n'est même pas mentionnée dans le Coran...

Pour albahar, le gros texte qu'il t'a posté n'est que la suite du verset coranique. :D

Tu as le Coran qui est une révélation et tu as une autre à côté qui s'incruste entre chaque verset. :D
 
Le Prophète (saw) me déclara en présence de mes parents en ayant au préalable prononcé la chahada : "Telle rumeur m'est parvenu te concernant, si tu es innocente, Dieu ne manquera pas de t'innocenter, si tu es coupable, repents toi et implore le pardon de Dieu."


"Mes yeux étaient secs, tellement que j'avais pleuré de cette situation, et voyant que mes parents ne disaient rien je leur déclarais : "Je vois que vous aussi, croyez à ces rumeurs, si je revendique mon innocence, vous ne me croirez pas et si j'avoue mon péché et Dieu Seul sait que je suis innocente, vous me croiriez, je ne trouve pour nous tous que l'exemple de Jacob le père de Joseph qui affirme : "C'est à Dieu qu'il faut demander secours contre ce que vous racontez" (verset 18/12), sur ce, je regagnais ma couchette.


Après plus d'un mois de souffrance et de calomnies mensongères, le Messager d'Allah reçut la révélation de Son Seigneur. Soulagé, il s'empressa de me communiquer la nouvelle en me disant : "O Aîcha, Dieu t'as innocenté, va et répands la bonne nouvelle"


Ma mère me dit : "Remercie le Prophète (saw)". Je lui répondis "C'est Dieu Seul que je dois remercier car c'est Lui qui m'a innocenté par la révélation suivante : "Les Calomniateurs sont nombreux parmi vous, ne pensez pas que ce soit un mal pour vous, c'est au contraire un bien pour vous. Chacun d'eux est responsable du péché qu'il a commis. Celui qui s'est chargé de la plus lourde part subira un châtiment terrible". (verset 11/24).
 
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