VOIX DU NORD
Le nombre de clandestins ne cesse d'augmenter dans la «jungle», la police tire la sonnette d'alarme et s'inquiète du risque terroriste.
«Calais, c'est pire que jamais!» Ce cri d'alarme émane d'un officier des CRS à peine rentré de mission. Il fait évidemment référence au camp de la Lande, baptisé la «jungle», où les migrants convergent, chaque jour plus nombreux, dans l'espoir de rejoindre clandestinement l'eldorado anglais depuis Calais.
D'emblée, ce cadre chevronné fait une mise au point: «Ce qui se passe au camp de la Lande est proprement ahurissant. Nos unités y interviennent rarement en profondeur. On encadre des opérations de fermeture de commerces clandestins qui rouvrent à peine la police a-t-elle tourné le dos. Il est impossible de savoir si un djihadiste issu de Belgique, par exemple, s'y cache. En plein état d'urgence, ce campement constitue un angle mort pour la sécurité nationale.»
Un fiché S repéré la semaine dernière La menace terroriste est pourtant loin d'être fantaisiste. À la frontière entre la France et l'Italie, un «fiché S» a, selon une source policière, été repéré la semaine dernière parmi un groupe d'une dizaine de migrants intercepté. «Détecter les profils à risques demeure une exigence absolue», déclare Pascal Brice, le directeur de l'Office français de protection des réfugiés et des apatrides (Ofpra), qui assure se rendre une fois par mois à Calais pour prendre le pouls de la situation concernant les possibles réfugiés.
PS: Et dire qu'ils avaient des logements voire une activité .
je le redis .
Le nombre de clandestins ne cesse d'augmenter dans la «jungle», la police tire la sonnette d'alarme et s'inquiète du risque terroriste.
«Calais, c'est pire que jamais!» Ce cri d'alarme émane d'un officier des CRS à peine rentré de mission. Il fait évidemment référence au camp de la Lande, baptisé la «jungle», où les migrants convergent, chaque jour plus nombreux, dans l'espoir de rejoindre clandestinement l'eldorado anglais depuis Calais.
D'emblée, ce cadre chevronné fait une mise au point: «Ce qui se passe au camp de la Lande est proprement ahurissant. Nos unités y interviennent rarement en profondeur. On encadre des opérations de fermeture de commerces clandestins qui rouvrent à peine la police a-t-elle tourné le dos. Il est impossible de savoir si un djihadiste issu de Belgique, par exemple, s'y cache. En plein état d'urgence, ce campement constitue un angle mort pour la sécurité nationale.»
Un fiché S repéré la semaine dernière La menace terroriste est pourtant loin d'être fantaisiste. À la frontière entre la France et l'Italie, un «fiché S» a, selon une source policière, été repéré la semaine dernière parmi un groupe d'une dizaine de migrants intercepté. «Détecter les profils à risques demeure une exigence absolue», déclare Pascal Brice, le directeur de l'Office français de protection des réfugiés et des apatrides (Ofpra), qui assure se rendre une fois par mois à Calais pour prendre le pouls de la situation concernant les possibles réfugiés.
PS: Et dire qu'ils avaient des logements voire une activité .
je le redis .