Mohamed moubdii, ministre "haraki" de la fonction publique retourne à la...."fac" !

ould khadija

fédalien
Contributeur
On n’est jamais vieux pour apprendre !

Le ministre Mohamed Moubdii a décidé de s’inscrire à la faculté de droit de Rabat pour arracher un master. Et même pour tenter un doctorat plus tard !

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Mohamed Moubdii, ministre haraki de la Fonction publique et ancien maire de Fqih Bensaleh, est l’un de ces responsables à qui l’opinion publique a toujours reproché d’être «sous-diplômés» contrairement à leurs autres collègues qui ont fréquenté Ponts et Chaussées et autres grandes écoles.

A sa nomination, on a même reproché à Mohamed Moubdii de ne pas avoir le baccalauréat.

Aujourd’hui, à en croire Al Akhbar daté de ce week-end des 19-20 décembre, il veut rattraper le temps perdu et revenir sur les bancs de l’école ou plutôt sur les bancs de la faculté.

Comme l’a dévoilé son collègue Khalid Berjaoui, ministre délégué à l’Education nationale et ex-doyen de la faculté de droit de Rabat, Mohamed Moubdii s’est inscrit en première année de cette faculté pour préparer un master.

Comment fera-t-il pour concilier études et responsabilités ministérielles et partisanes, vu qu’il est également membre dirigeant du Mouvement populaire?

Al Akhbar explique que le ministre s’est inscrit pour un module ouvert aux fonctionnaires et qui leur permet d’assister à des cours au-delà de 17 heures, en plus des week-ends.

Ce module est payant à raison de 2.000 dirhams l’année.


Mohamed Moubdii, qui a accepté d’en parler au journal, a précisé qu’il s’était plutôt inscrit pour une licence en sciences politiques et qu’il compte même aller loin dans ses études et obtenir un doctorat.

Quant au fait qu’il n’a toujours pas obtenu son baccalauréat, il explique qu’il est titulaire d’un diplôme de l’enseignement technique qui en est l’équivalent.

Mohamed Moubdii est l’un des «phénomènes» politiques au Maroc.

Il est passé par plusieurs partis avant d’atterrir au Mouvement populaire.

Depuis des décennies, il se présente et gagne les élections dans son fief de Fqih Bensaleh.



Abdeladim Lyoussi
http://www.le360.ma/fr/politique/mohamed-moubdii-retourne-sur-les-bancs-de-lecole-60098
 
La hawla walala 9owata illa billah.


Ministre!!! Ministre!!! sans etudes superieures.


On est un sous peuple, avec une sous culture. C'est la triste réalité.
 
Puisqu'il suffit juste à certains de naître pour diriger ce territoire, et à d'autres de signer 2/3 chèques pour avoir des "diplômes" il n'y a pas lieu de s'émouvoir de cette initiative : )
 
Au moins il est humble et clair dans sa démarche contrairement à beaucoup de tricheurs.

Bravo à lui pour sa démarche.

On n’est jamais vieux pour apprendre !

Le ministre Mohamed Moubdii a décidé de s’inscrire à la faculté de droit de Rabat pour arracher un master. Et même pour tenter un doctorat plus tard !

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Mohamed Moubdii, ministre haraki de la Fonction publique et ancien maire de Fqih Bensaleh, est l’un de ces responsables à qui l’opinion publique a toujours reproché d’être «sous-diplômés» contrairement à leurs autres collègues qui ont fréquenté Ponts et Chaussées et autres grandes écoles.

A sa nomination, on a même reproché à Mohamed Moubdii de ne pas avoir le baccalauréat.

Aujourd’hui, à en croire Al Akhbar daté de ce week-end des 19-20 décembre, il veut rattraper le temps perdu et revenir sur les bancs de l’école ou plutôt sur les bancs de la faculté.

Comme l’a dévoilé son collègue Khalid Berjaoui, ministre délégué à l’Education nationale et ex-doyen de la faculté de droit de Rabat, Mohamed Moubdii s’est inscrit en première année de cette faculté pour préparer un master.

Comment fera-t-il pour concilier études et responsabilités ministérielles et partisanes, vu qu’il est également membre dirigeant du Mouvement populaire?

Al Akhbar explique que le ministre s’est inscrit pour un module ouvert aux fonctionnaires et qui leur permet d’assister à des cours au-delà de 17 heures, en plus des week-ends.

Ce module est payant à raison de 2.000 dirhams l’année.


Mohamed Moubdii, qui a accepté d’en parler au journal, a précisé qu’il s’était plutôt inscrit pour une licence en sciences politiques et qu’il compte même aller loin dans ses études et obtenir un doctorat.

Quant au fait qu’il n’a toujours pas obtenu son baccalauréat, il explique qu’il est titulaire d’un diplôme de l’enseignement technique qui en est l’équivalent.

Mohamed Moubdii est l’un des «phénomènes» politiques au Maroc.

Il est passé par plusieurs partis avant d’atterrir au Mouvement populaire.

Depuis des décennies, il se présente et gagne les élections dans son fief de Fqih Bensaleh.



Abdeladim Lyoussi
http://www.le360.ma/fr/politique/mohamed-moubdii-retourne-sur-les-bancs-de-lecole-60098
 
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