Lors de son discours marquant l’ouverture de la session d’automne du parlement, le roi s’est penché sur les questions relatives au comportement des parlementaires. Autres axes de ce discours : la justice, l’éducation et la « marocanité ».
Le roi Mohammed VI s’est adressé aux membres des deux chambres du parlement lors d’un discours prononcé le 10 octobre à l’occasion de l’ouverture de la session d’automne de l’hémicycle. Un discours qu’il a, en partie, centré sur les missions des parlementaires.
Ainsi, le souverain a déploré que le discours politique « ne se hisse pas toujours au niveau des aspirations du citoyen […] parce qu’il est fortement arrimé à des calculs partisans ou politiciensaux lois et aux règles de déontologie charte éthique de l’action politiquesurenchères et luttes politiciennes » compétition politique entre les programmes et les élites ».
Priorité à la justice
Mohammed VI a également donné les grandes lignes sur lesquelles le parlement doit se pencher. Ainsi il a déclaré que parmi les priorités nationales figurent « l’adoption des lois organiques relatives aux institutions constitutionnelles et aux grandes réformes ».
Le souverain a déclaré que l’installation de la Cour constitutionnelle aurait lieu « prochainement intégrité institutions de la démocratie participative et de la bonne gouvernance
Une solution pour l’enseignement
Le roi revient sur la thématique de l’éducation. Il a appelé le Conseil supérieur de l’éducation à reconsidérer la vision et le contenu de la réforme de l’enseignement. Il a exhorté celui-ci à trouver une solution à la problématique des langues d’enseignement et à adopter des programmes éducatifs adaptés au marché actuel de l’emploi.
De même, Mohammed VI a appelé au développement de la formation professionnelle et à la maîtrise des langues étrangères pour permettre aux Marocains « d’être au diapason des progrès techniques
Marocanité
« Comme Marocain, le sentiment qui m’est le plus cher dans la vie, est celui d’être fier de ma marocanitéchaque instant
Le roi a invité tous ceux qui ne saisissent pas le sens de « l’amour de la patrie » suivre ce qui se passe dans nombre de pays de la région et d’en tirer les conséquences s’ils veulent bien s’y arrêter contre la liberté d’expression et la critique constructive« nihilisme et le reniement de la patrie ».</
Telquel.
Le roi Mohammed VI s’est adressé aux membres des deux chambres du parlement lors d’un discours prononcé le 10 octobre à l’occasion de l’ouverture de la session d’automne de l’hémicycle. Un discours qu’il a, en partie, centré sur les missions des parlementaires.
Ainsi, le souverain a déploré que le discours politique « ne se hisse pas toujours au niveau des aspirations du citoyen […] parce qu’il est fortement arrimé à des calculs partisans ou politiciensaux lois et aux règles de déontologie charte éthique de l’action politiquesurenchères et luttes politiciennes » compétition politique entre les programmes et les élites ».
Priorité à la justice
Mohammed VI a également donné les grandes lignes sur lesquelles le parlement doit se pencher. Ainsi il a déclaré que parmi les priorités nationales figurent « l’adoption des lois organiques relatives aux institutions constitutionnelles et aux grandes réformes ».
Le souverain a déclaré que l’installation de la Cour constitutionnelle aurait lieu « prochainement intégrité institutions de la démocratie participative et de la bonne gouvernance
Une solution pour l’enseignement
Le roi revient sur la thématique de l’éducation. Il a appelé le Conseil supérieur de l’éducation à reconsidérer la vision et le contenu de la réforme de l’enseignement. Il a exhorté celui-ci à trouver une solution à la problématique des langues d’enseignement et à adopter des programmes éducatifs adaptés au marché actuel de l’emploi.
De même, Mohammed VI a appelé au développement de la formation professionnelle et à la maîtrise des langues étrangères pour permettre aux Marocains « d’être au diapason des progrès techniques
Marocanité
« Comme Marocain, le sentiment qui m’est le plus cher dans la vie, est celui d’être fier de ma marocanitéchaque instant
Le roi a invité tous ceux qui ne saisissent pas le sens de « l’amour de la patrie » suivre ce qui se passe dans nombre de pays de la région et d’en tirer les conséquences s’ils veulent bien s’y arrêter contre la liberté d’expression et la critique constructive« nihilisme et le reniement de la patrie ».</
Telquel.