Mondialisation à sens unique

il serait désastreux que la mondialisation en cours fonctionne à sens unique.

D un côté les émetteurs universels, de l autre les récepteurs.

D un côté la norme, de l autre les exceptions.

D un côté ceux qui sont convaincus que le reste du monde ne peut rien leur apprendre, de l autre ceux qui sont persuadés que le monde ne voudra jamais les écouter.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Concrètement, qui est qui ? :intello:

Aussi, mondialisation, n’implique pas homogénéisation, plutôt gestion et coopérations/accords/échanges.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
D un point de vue mercantile, je comprends ton approche, d une manière technique.

Et d un point de vue humain, quelle est t elle ?
Si par mercantile, tu voulais dire le commerce, alors je réponds que le commerce est nécessaire au bien être des humains.

Si par mercantile, tu voulais dire l’avidité, alors je réponds que l’avidité est une idée relative.

Quand je parlais de coopérations/accords/échanges, je pensais au commerce, à la circulation et à l’établissement des gens, et à la gestion des ressources naturelles.
 
Si par mercantile, tu voulais dire le commerce, alors je réponds que le commerce est nécessaire au bien être des humains.

Si par mercantile, tu voulais dire l’avidité, alors je réponds que l’avidité est une idée relative.

Quand je parlais de coopérations/accords/échanges, je pensais au commerce, à la circulation et à l’établissement des gens, et à la gestion des ressources naturelles.


C est en échangeant les dons de la terre que nous trouverons l abondance et serons comblés.
Cependant, à moins que l échange ne se fasse dans l amour et la justice bienveillante, il conduira les uns à l avidité et les autres à la faim.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
C est en échangeant les dons de la terre que nous trouverons l abondance et serons comblés.
Cependant, à moins que l échange ne se fasse dans l amour et la justice bienveillante, il conduira les uns à l avidité et les autres à la faim.
Les dons de la terre, ne sont que la matière première. Même si elle est importante, elle n’est que le point de départ du processus. C’est la transformation par les humains qui fait qu’il en sort quelque chose qui nous est utile. Le début du paléolithique pouvait coller à cette vision des humains ne dépendant que des dons de la terre, mais la vie y était difficile, et cette période on l’a quitté il y a environ 100 000 ans.

C’est pour ça que le commerce et la circulation des gens est autant importante.
 
Transformations ou non, plus que jamais, l homme ne peut survivre sans les dons de la terre.
Un de ses défi futur sera, part ailleurs, de les préserver.


Des questions restent sans réponse.

Comment rendre le monde plus juste et équitable ?

Comment expliques tu que la faim existe encore dans le monde, avec toute la science actuelle, alors que nous ne sommes plus a l âges des cavernes ?
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
D'abord il faut comprendre ce qu'est la mondialisation.

Synopsis à dit:
Explication du processus de la globalisation (qui centralise peu à peu l'argent dans les mains d'un petit groupe.
L'élite encourage le travail à bas prix en finançant les réseaux de passeurs clandestins (ou créer des zones communes comme l'europe ou zone-améro) et en délocalisant l'industrie.
Autant demander à un communiste d’expliquer ce qu’est le capitalisme … :prudent:

Pour avoir la définition d’un mot, il ne faut pas demander à des gens qui ont une opinion orientée et hostile sur la question, sauf si on l’est soi‑même et qu’on cherche seulement à se conforter dans son propre à priori. Le mieux, c’est encore un dictionnaire :

Mondialisation (cnrtl.fr)
CNRTL à dit:
Donner un caractère, une dimension mondial(e) à quelque chose. Culture mondialisée.
.Action, fait de donner une dimension mondiale à quelque chose. Mondialisation de la nature.
Tout simplement, … le reste, c’est de l’idéologie.

On peut facilement démontrer que déjà le synopsis de sa vidéo fait une affirmation fausse, en prennant le cas de la mondialisation par excellence, le Net, et des exemples de grosses concentrations comme, Google, Wikipédia, Facebook : ce sont les internautes qui suivent qui font la concentration, parce qu’ils trouvent que ça les arrangent : gratuité, « j’y suis parce que tout le monde y est », « paresse ». Dans l’économie et la politique c’est pareil : prix plus bas et délégation des responsabilités sont deux causes de concentrations, et ces deux causes, sont des souhaits du citoyen moyen. Mais tout ce qui rappel que le citoyen moyen n’est pas victime d’un complot et plutôt victime de son irresponsabilité, ça ne passe pas, et les autres discours sur le mode de « c’est pas ma faute, c’est la faute aux autres » (comme dans la xénophobie d’ailleurs), ça a plus de succès.

Par exemple les délocalisations dont il parle, n’auraient pas autant eu lieu si les consommateurs avaient préféré acheter le local plus cher plutôt que l’importé moins cher (et pourtant le consommateur a été prévenu longtemps avant des conséquences futurs ! … mais ça le faisait marrer). C’est ainsi que par exemple l’industrie textile a disparu en france à partir des années 1980, et que plusieurs autres l’ont suivi ensuite : parce que le consommateur l’a voulu, et maintenant il accuse les autres. C’est sûr qu’il ne faut pas s’attendre à ce qu’il s’accuse lui‑même, ça ne l’intéresse pas, c’est mieux de dire que c’est la faute aux autres.
 
Dernière édition:
@Hibou57 Nous sommes en 2015 et nous devons relier la définition au contexte actuelle bien qu'elle reste la même dans sa base, il faut voir ce qui en est dans les grandes comme les petites lignes que ce soit la définition que tu as publié, la vidéo ou une autre soumise à un ouvrier ou à un industriel par exemple, chacun aura sa vision en terme d'avantage ou d’inconvénient.

Les définitions sont bien mais dans certains cas elle ne donne qu'un aperçu en surface et dans ce cas ce sont les acteurs qui la façonnent ou l'utilisent qui lui donne son caractère avec et parfois sans les composantes de ce monde.

Cela dit tu as raisons sur la responsabilité de chacun à divers niveaux sur les conséquences.
 
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