@didadoune.
Voici l'article 66 du code pénal au sujet de l'incitation au meurtre :
<< Seront punis comme auteurs d'un crime ou d'un délit : Ceux qui l'auront exécuté ou qui auront coopéré directement à son exécution; Ceux qui, par un fait quelconque, auront prêté pour l'exécution une aide telle que, sans leur assistance, le crime ou le délit n'eût pu être commis; Ceux qui, par dons, promesses, menaces, abus d'autorité ou de pouvoir, machinations ou artifice coupables, auront directement provoqué à ce crime ou à ce délit; [[Ceux qui, soit par des discours tenus dans des réunions ou dans des lieux publics, soit par des écrits, des imprimés, des images ou emblèmes quelconques, qui auront été affichés, distribués ou vendus, mis en vente ou exposés aux regards du public, auront provoqué directement à le commettre, sans préjudice des peines portées par la loi contre les auteurs de provocations à des crimes ou à des délits, même dans le cas où ce provocations n'ont pas été suivies d'effet. >>
* Je ne contreviendrais jamais au code pénal d'aucun pays. Non pas par hypocrisie, mais par savoir vivre. Il y a une différence notoire entre le fait de discuter d'un fait de droit, ou entraver les lois d'un pays qui sont en vigueur. De un, je ne suis pas ignorant au point de croire que les lois en europe seraient adaprées aux lois coraniques. Puisque les musulmans y sont une toute petite minorité, et parceque cela est complètement incompatible avec les valeurs occidentales.
* Je parlais donc bien non pas de règlements de compte, mais d'une lecture des textes fondateurs de l'islam, et de la conjoncture juridique des états à majorité musulmane. C'est bien dans ce cadre là que j'ai écrit que je mon avis personnel est que les chatiments corporels en islam ne sont pas une véritable obligation, mais un lever d'immunité (qui visait à éviter justement les règlements de compte).
* En islam, si une personne tente d'appliquer un chatiment corporel à autrui sans recours à une instance légale reconnue sur le plan international, est par ailleurs passible de condamnation.
Salam.