Much loved tunisie: premier pays arabe à diffuser "much loved"

Il s'appelle Hugues Dayez et c'est un excellent critique de cinema belge voilà ce qu'il en pense ! :D
Et je n'en pense pas moins!

Nabil Ayouch a osé filmer le quotidien de quatre prostituées à Marrakech. Le cinéaste marocain a donc le courage de briser un tabou, de montrer sans fard un aspect de la vie marocaine. OK, bravo pour son courage ! Cela étant, qu’a-t-il à raconter ? Pas grand’ chose.

"Much Loved" alterne avec monotonie les scènes de jour – les quatre filles qui se crêpent le chignon dans leur appartement – et les scènes de nuit – leurs tentatives pour extorquer le maximum de fric à des hommes d’affaires saoudiens… Comme s’il voulait lui-même affirmer son émancipation par rapport à la culture de son pays d’origine, Ayouch force le trait et sombre dans un voyeurisme digne des mauvais documentaristes occidentaux. " Much loved " est un film vulgaire, sans la moindre étincelle de poésie.
 
J'ai pas été le voir non plus justement pour l'aspect voyeuriste d'ailleurs la responsable d'un cinéma qui le projette actuellement (en France) m'a confié que lors de sa diffusion en avant-première, il y avait une Marocaine dans la salle qui régulièrement se mettait les mains devant le visage (comme face à un film d'horreur) ... lors du débat qui a suivi la projection, cette Marocaine expliquait que pour elle voir ce film était d'autant plus violent qu'elle comprenait la langue, les expressions utilisées hyper vulgaires elles-aussi.
 
J'ai pas été le voir non plus justement pour l'aspect voyeuriste d'ailleurs la responsable d'un cinéma qui le projette actuellement (en France) m'a confié que lors de sa diffusion en avant-première, il y avait une Marocaine dans la salle qui régulièrement se mettait les mains devant le visage (comme face à un film d'horreur) ... lors du débat qui a suivi la projection, cette Marocaine expliquait que pour elle voir ce film était d'autant plus violent qu'elle comprenait la langue, les expressions utilisées hyper vulgaires elles-aussi.
Je pense que c'est la "vulgarité" qui a choqué et non les scènes un peu chaudes...
 

GENERALDINGO

L AMIRAL pour les intimes ...
Il s'appelle Hugues Dayez et c'est un excellent critique de cinema belge voilà ce qu'il en pense ! :D
Et je n'en pense pas moins!

Nabil Ayouch a osé filmer le quotidien de quatre prostituées à Marrakech. Le cinéaste marocain a donc le courage de briser un tabou, de montrer sans fard un aspect de la vie marocaine. OK, bravo pour son courage ! Cela étant, qu’a-t-il à raconter ? Pas grand’ chose.

"Much Loved" alterne avec monotonie les scènes de jour – les quatre filles qui se crêpent le chignon dans leur appartement – et les scènes de nuit – leurs tentatives pour extorquer le maximum de fric à des hommes d’affaires saoudiens… Comme s’il voulait lui-même affirmer son émancipation par rapport à la culture de son pays d’origine, Ayouch force le trait et sombre dans un voyeurisme digne des mauvais documentaristes occidentaux. " Much loved " est un film vulgaire, sans la moindre étincelle de poésie.
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mdr ... oui mais c'est un peu maladroit comme commentaire : comme si cette prostitution était un trait de la culture marocaine ... toutes les nations ont leur lot de damnées !
 
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mdr ... oui mais c'est un peu maladroit comme commentaire : comme si cette prostitution était un trait de la culture marocaine ... toutes les nations ont leur lot de damnées !
C'est "naïvement" maladroit !
C'est exactement ce que reproche les détracteur de ce film,donnez l'image d'une banalisation presque culturelle de la prostitution..
 
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