La cour suprême américaine vient de rendre sa décision en faveur d’une musulmane qui s’était vue refuser un emploi dans une boutique de la marque Abercrombie & Fitch.
Dans un vote, les juges de la Cour suprême des Etats-Unis ont reconnu par huit voix contre une, qu’une musulmane qui avait postulé en 2008 pour un emploi de vendeuse dans une boutique Abercrombie & Fitch, dont la candidature avait été rejetée car elle portait le foulard islamique, aurait du pouvoir travailler en portant un hijab.
Au moment de son entretien d’embauche, la jeune fille portait un hijab. La marque de prêt-à-porter avait justifié son refus en expliquant que « le foulard, qui couvre les cheveux, allait à l'encontre de la politique vestimentaire imposée aux vendeurs de la marque pour coller au style des étudiants ».
Une plainte avait été déposée en s’appuyant sur la loi des droits civiques de 1964 qui interdit la discrimination à l’emploi en raison des convictions et pratiques religieuses.
Valeurs actuelles
Dans un vote, les juges de la Cour suprême des Etats-Unis ont reconnu par huit voix contre une, qu’une musulmane qui avait postulé en 2008 pour un emploi de vendeuse dans une boutique Abercrombie & Fitch, dont la candidature avait été rejetée car elle portait le foulard islamique, aurait du pouvoir travailler en portant un hijab.
Au moment de son entretien d’embauche, la jeune fille portait un hijab. La marque de prêt-à-porter avait justifié son refus en expliquant que « le foulard, qui couvre les cheveux, allait à l'encontre de la politique vestimentaire imposée aux vendeurs de la marque pour coller au style des étudiants ».
Une plainte avait été déposée en s’appuyant sur la loi des droits civiques de 1964 qui interdit la discrimination à l’emploi en raison des convictions et pratiques religieuses.
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