« Le PSU présentera son point de vue concernant le Sahara marocain en tant que parti de gauche dans l’opposition extra-parlementaire. Nous avons préparé un discours bien ficelé pour dissuader les Suédois de reconnaitre la « RASD » et montrer que le Sahara est partie intégrante du Maroc. Il s’agit d’un droit qui nous appartient »
« Ce n’est pas les arguments qui manquent pour plaider la cause nationale ». C’est en ces termes que la secrétaire du Parti Socialiste Unifié (PSU) Nabila Mounib, qui accompagne les 8 partis politiques en Suède pour contrecarrer le projet de loi visant à reconnaitre la fantomatique « RASD », s’est exprimée. Contactée par le Quid, la politicienne explique que le PSU participe à ce voyage pour rencontrer spécialement les partis de gauche suédois et défendre la souveraineté du Maroc.
« J’ai déjà effectué plusieurs voyages de ce genre à Istanbul ou encore à Palerme où j’y ai rencontré plusieurs partis de gauche. Ce voyage en Suède est une nouvelle occasion pour le PSU de réitérer son engagement politique, appuyer sa position sur le Sahara marocain et défendre les intérêts politiques du Maroc » souligne-t-elle.
Rappelant le combat du PSU depuis des décennies pour défendre la souveraineté du Maroc, Nabila Mounib précise que la participation de son parti à ce déplacement est une valeur ajoutée aux négociations prévues. « Le PSU présentera son point de vue concernant le Sahara marocain en tant que parti de gauche dans l’opposition extra-parlementaire. Nous avons préparé un discours bien construit pour dissuader les Suédois de reconnaitre la « RASD » et prouver que le Sahara est partie intégrante du Maroc. Il s’agit d’un droit qui nous appartient » a-t-elle ajouté.
C’est la course contre la montre pour empêcher la reconnaissance de la « RASD » par la Suède. La récente arrivée aux affaires d’un gouvernement favorable aux thèses séparatistes fait craindre qu’elle ne se propage à d’autres pays nordiques. Se confiant à Telquel, Nabil Benabdellah estime que « si le Maroc laisse la Suède prendre cette décision sans qu’il ne réagisse, cela pourrait entraîner d’autres pays comme la Norvège, la Finlande, le Danemark ou encore l’Angleterre à pencher vers cette reconnaissance. Ce qui serait inacceptable». Selon le SG du PPS, les moyens dont disposent cette délégation sont « l’unanimité nationale concernant la question du Sahara et faire-valoir les intérêts économiques » liant les deux pays.
Rappelons que le Maroc a décidé le 28 septembre de geler le grand projet d’investissement du groupe suédois Ikéa spécialisé dans la conception et la vente de produits mobiliers et de décoration. Cette décision a été prise lors d’une réunion des partis politiques présidée par le chef du gouvernement en réponse au projet de loi suédois.
http://www.quid.ma/politique/nabil-mounib-la-position-du-psu-sur-le-sahara-a-toujours-ete-claire/
@scoco
« Ce n’est pas les arguments qui manquent pour plaider la cause nationale ». C’est en ces termes que la secrétaire du Parti Socialiste Unifié (PSU) Nabila Mounib, qui accompagne les 8 partis politiques en Suède pour contrecarrer le projet de loi visant à reconnaitre la fantomatique « RASD », s’est exprimée. Contactée par le Quid, la politicienne explique que le PSU participe à ce voyage pour rencontrer spécialement les partis de gauche suédois et défendre la souveraineté du Maroc.
« J’ai déjà effectué plusieurs voyages de ce genre à Istanbul ou encore à Palerme où j’y ai rencontré plusieurs partis de gauche. Ce voyage en Suède est une nouvelle occasion pour le PSU de réitérer son engagement politique, appuyer sa position sur le Sahara marocain et défendre les intérêts politiques du Maroc » souligne-t-elle.
Rappelant le combat du PSU depuis des décennies pour défendre la souveraineté du Maroc, Nabila Mounib précise que la participation de son parti à ce déplacement est une valeur ajoutée aux négociations prévues. « Le PSU présentera son point de vue concernant le Sahara marocain en tant que parti de gauche dans l’opposition extra-parlementaire. Nous avons préparé un discours bien construit pour dissuader les Suédois de reconnaitre la « RASD » et prouver que le Sahara est partie intégrante du Maroc. Il s’agit d’un droit qui nous appartient » a-t-elle ajouté.
C’est la course contre la montre pour empêcher la reconnaissance de la « RASD » par la Suède. La récente arrivée aux affaires d’un gouvernement favorable aux thèses séparatistes fait craindre qu’elle ne se propage à d’autres pays nordiques. Se confiant à Telquel, Nabil Benabdellah estime que « si le Maroc laisse la Suède prendre cette décision sans qu’il ne réagisse, cela pourrait entraîner d’autres pays comme la Norvège, la Finlande, le Danemark ou encore l’Angleterre à pencher vers cette reconnaissance. Ce qui serait inacceptable». Selon le SG du PPS, les moyens dont disposent cette délégation sont « l’unanimité nationale concernant la question du Sahara et faire-valoir les intérêts économiques » liant les deux pays.
Rappelons que le Maroc a décidé le 28 septembre de geler le grand projet d’investissement du groupe suédois Ikéa spécialisé dans la conception et la vente de produits mobiliers et de décoration. Cette décision a été prise lors d’une réunion des partis politiques présidée par le chef du gouvernement en réponse au projet de loi suédois.
http://www.quid.ma/politique/nabil-mounib-la-position-du-psu-sur-le-sahara-a-toujours-ete-claire/
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