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Actualités internationales
Niger les conditions d'évacuation, par crainte d'attaques, vivement critiquées...
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[QUOTE="mam80, post: 14644189, member: 228134"] suite Pour qu'ils soient opérationnels, les militaires interdits de ramadan Lorsque les coups de feu ont de nouveau éclaté dans la nuit du 23 juin, à Kablewa, près du camp de déplacés, beaucoup ont fui dans un camp sauvage, plus loin. L'attaque, cette fois, visait la garde nationale, une centaine d'hommes stationnés là. « Ils sont venus à 30, à cheval. Ils changent sans cesse de stratégie. Ils ont attaché leurs chevaux à côté de nous, même, pour se faire passer pour de simples villageois. Ils avaient des RPG et des kalachnikovs », assure le 1re classe Issoufou, à l'entrée du camp, tout en plongeant sa main dans sa marmite de pâtes à la tomate. En plein ramadan, les militaires ont reçu l'ordre de ne pas jeûner, en particulier après la débandade de Bosso où la garnison, attaquée au moment de la relève, a été prise en quelques heures. Qu'ils visent les populations ou les militaires, peu importe : « On ne se sent pas en sécurité. Même endormis, on est prêts à courir », témoigne Mahamadou Gambou, 67 ans, qui a fui le camp principal. Une situation dramatique dans les camps Plus loin, en allant vers Diffa, les camps se multiplient et la situation humanitaire est effroyable. Médecins sans frontières procure de l'aide dans les camps de Kintchandi et de Guerin Wanzam. « On rencontre tous les problèmes de santé en même temps, souligne Souleymane Bâ, coordinateur terrain. Malnutrition, fatigue engendrée par le déplacement précipité, rougeole… Il y a eu des morts en cours de route, des enfants égarés sur le chemin dans la brousse, des problèmes de déshydratation, des fausses couches, des infections cutanées, respiratoires et oculaires parce que les gens dorment dehors… Sans compter les problèmes psychologiques. Yébi a été attaqué deux fois de suite et Bosso, trois fois. Entendre le bruit des armes cinq fois, ça traumatise, et puis il y a le déplacement. » Avec la saison des pluies, il redoute la recrudescence des cas de paludisme et les maladies diarrhéiques. À Kintchandi, les vaches à longues cornes, caractéristiques du lac Tchad, ont fait leur apparition. Des heurts ont même éclaté entre leurs propriétaires, qui voulaient les abreuver, et les autres déplacés. .../... [/QUOTE]
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