Si ça vous branche, de mes communs écrits publiés, je vous propose la lecture d’un particulier volume, digne d’envie. En tout cas, votre propre subtil sentiment de la culture y priserait les qualités. La composition que j’ai arrangé, et qui, me semblait-il pourrait vous épater, n’est pas un tissu de banalité. Empreint plus ou moins de ma part d’ombre, le contenu, plein d’expression, et une critique première rivalisaient de truisme et de tautologie. Selon l’inspiration du moment, j’ai argumenté, lors de l’écriture de ce livre, de ce que était sa genèse, pour l’intituler « re-nouveau ». Ce n’est pas vain d’essayer de cette litterature, de première force mythique. En somme, figures et tournures, propre à fantasmer, peignaient une imagerie populaire qui énonçait, sous une forme quasi arretée, la matière de cet ouvrage constellé d’insolite : Le printemps de Prague, les tragiques événements de la place Tiananmen et les légitimes insurections populaires en Egypte, en Libye, et en Tunisie. Il voua aussi les faveurs de la parnasse, à cet élan bien humain, l’implacabilité des impérieux dictateurs qui gouvernèrent en despote ces états. Ce cas de consience, émouvant de défi au bon sens, n’avait aucunement cessé de prendre des proportions. Et dès ce temps, le mouvement de la pensée anticipait trouble, tumulte et anarchie. Au martyrologe de la démocratie et de la liberté allaient s’ajouter les noms des milliers de souffre-douleurs syriens.
Quant aux caractères qualitatifs du texte, l’œuvre est un modeste galop d’essai d’un lyrisme original, dans le genre de l’épopée. Un cliché de Pop, un autre de Scarron, des préceptes de griots, des poncifs académiques, superbes de pitoresque. Toute cette substantif moelle déteignit sur mon émotive veine poétique. Le moment psycologique pour méditer un livre n’était pas loin. Les maux qui frappent l’humanité, l’extreme douleur des persecutés et la douleur morale sous des rudes perspectives épiques en disent long.
En voici quelques passages de ce « re-nouveau » :
Le dernier de tout
Des gueux procréaient
De plus en plus
Des va-nu-pieds
Des crèves à la faim
Faisaient la meme chose
Enfantaient d’ordinaire
Des pauvres diable faméliques
Le petit peuple
Voterait d’ordinaire
Avec les pieds
La prochaine fois
Quand on continuait
A parler encore
Un latin de cuisine
Estimer indispensable
De majorer un peu plus
Le tarif de l’espace vital
Quoi qu’on dise
Des dommages innédits
On ne casse plus les prix
Peut etre la semaine
Des quatrre jeudis
La peau de chagrin
La ravalait par-ci par-là
un désapointement
Quant aux caractères qualitatifs du texte, l’œuvre est un modeste galop d’essai d’un lyrisme original, dans le genre de l’épopée. Un cliché de Pop, un autre de Scarron, des préceptes de griots, des poncifs académiques, superbes de pitoresque. Toute cette substantif moelle déteignit sur mon émotive veine poétique. Le moment psycologique pour méditer un livre n’était pas loin. Les maux qui frappent l’humanité, l’extreme douleur des persecutés et la douleur morale sous des rudes perspectives épiques en disent long.
En voici quelques passages de ce « re-nouveau » :
Le dernier de tout
Des gueux procréaient
De plus en plus
Des va-nu-pieds
Des crèves à la faim
Faisaient la meme chose
Enfantaient d’ordinaire
Des pauvres diable faméliques
Le petit peuple
Voterait d’ordinaire
Avec les pieds
La prochaine fois
Quand on continuait
A parler encore
Un latin de cuisine
Estimer indispensable
De majorer un peu plus
Le tarif de l’espace vital
Quoi qu’on dise
Des dommages innédits
On ne casse plus les prix
Peut etre la semaine
Des quatrre jeudis
La peau de chagrin
La ravalait par-ci par-là
un désapointement