Un bon nombre des Musulmans oublient qu'à part de l'obligation de s'abstenir de manger et boire pendant le Ramadan, il faut qu'on s'abstient des insultes et des paroles inutiles. Voilà un rappel sur l'importance du jeûne de la parole:
"L'homme ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt à l'inscrire" [Sourate Qaf 50 :18]
Abou Houraira ra rapporte que le Prophète saws a dit:
«Que celui qui croit en Allah et au Jour du Jugement dise du bien [des gens] ou qu'il garde le silence!» (rqpporté par Boukhari et Muslim)
Sahl ibn Sa’d rapporte ces paroles du Prophète saws :
«Celui qui me garantit ce qu'il a entre les mâchoires [c'est-à-dire sa langue] et ce qu'il a entre les jambes, je l'assure du Paradis.» (rapporte par Boukhari)
Abû Hurayra ra a entendu ces paroles de l'Envoyé d'Allah:
«En vérité, le serviteur peut, sans y prendre garde, prononcer une parole qui le fera tomber en Enfer et l'y précipiter sur une distance supérieure à celle qui sépare l'Orient de l'Occident». (rapporté par Boukhari et Muslim)
Abou Houraira ra rapporte que le Prophète saws a dit:
«Certes il arrive au serviteur de prononcer, sans y prendre garde, un mot qui lui vaudra l'Agrément d'Allah et pour lequel Allah l'élèvera de plusieurs degrés. Mais le serviteur peut également laisser échapper par mégarde un mot qui lui vaudra le Courroux divin et lui vaudra d'être précipité en Enfer.» (rapporté par Boukhari)
Sufyân ibn 'abd-Allâh ra a dit:
«Je demandai: Donne-moi, ô Envoyé d'Allah, un conseil qui me servira de protection. Il me répondit: Dis: Allah est mon Seigneur puis fais montre de rectitude ! - Et que dois-je craindre le plus, ô Envoyé d'Allah ? demandais-je. Il saisit alors sa langue[entre ses doigts] et me dit: ceci !» (rapporté par Tirmidhî, Nassâ'î et ibn Mâja)
«Celui qu'Allah préserve des méfaits de ce qu'il a entre ses mâchoires et entre ses jambes entrera au Paradis.»
(Tirmidhî estime ce hadîth fiable).
Umm Habîba ra rapporte :
«Toutes les paroles des fils d'Adam seront retenues contre eux, à l'exception du commandement du bien, de l'interdiction de ce qui est blâmable et de la mention (dhikr) d'Allah.» (RapportéTirmidhî et ibn Mâja)
"L'homme ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt à l'inscrire" [Sourate Qaf 50 :18]
Abou Houraira ra rapporte que le Prophète saws a dit:
«Que celui qui croit en Allah et au Jour du Jugement dise du bien [des gens] ou qu'il garde le silence!» (rqpporté par Boukhari et Muslim)
Sahl ibn Sa’d rapporte ces paroles du Prophète saws :
«Celui qui me garantit ce qu'il a entre les mâchoires [c'est-à-dire sa langue] et ce qu'il a entre les jambes, je l'assure du Paradis.» (rapporte par Boukhari)
Abû Hurayra ra a entendu ces paroles de l'Envoyé d'Allah:
«En vérité, le serviteur peut, sans y prendre garde, prononcer une parole qui le fera tomber en Enfer et l'y précipiter sur une distance supérieure à celle qui sépare l'Orient de l'Occident». (rapporté par Boukhari et Muslim)
Abou Houraira ra rapporte que le Prophète saws a dit:
«Certes il arrive au serviteur de prononcer, sans y prendre garde, un mot qui lui vaudra l'Agrément d'Allah et pour lequel Allah l'élèvera de plusieurs degrés. Mais le serviteur peut également laisser échapper par mégarde un mot qui lui vaudra le Courroux divin et lui vaudra d'être précipité en Enfer.» (rapporté par Boukhari)
Sufyân ibn 'abd-Allâh ra a dit:
«Je demandai: Donne-moi, ô Envoyé d'Allah, un conseil qui me servira de protection. Il me répondit: Dis: Allah est mon Seigneur puis fais montre de rectitude ! - Et que dois-je craindre le plus, ô Envoyé d'Allah ? demandais-je. Il saisit alors sa langue[entre ses doigts] et me dit: ceci !» (rapporté par Tirmidhî, Nassâ'î et ibn Mâja)
«Celui qu'Allah préserve des méfaits de ce qu'il a entre ses mâchoires et entre ses jambes entrera au Paradis.»
(Tirmidhî estime ce hadîth fiable).
Umm Habîba ra rapporte :
«Toutes les paroles des fils d'Adam seront retenues contre eux, à l'exception du commandement du bien, de l'interdiction de ce qui est blâmable et de la mention (dhikr) d'Allah.» (RapportéTirmidhî et ibn Mâja)