Est ce une nouvelle découverte en mathématiques ?.

  • Initiateur de la discussion AncienMembre
  • Date de début
A

AncienMembre

Non connecté
Bonsoir à tous,

Je suis amateur de mathématiques depuis tout petit, et aujourd'hui je viens de trouver une manière naturelle, et très jolie de résoudre les équations algébriques de tout degré, à l'aide de résolution de quelques types particuliers d'équations différentielles linéaires à coefficients scalaires qu'on sait tous résoudre en mathématiques. Vous ne pouvez pas imaginer la beauté et l'harmonie dans ces formules que j'ai découvert.
J'aimerais savoir si vous pouvez m'aider à rendre public ce travail que j'ai mené depuis que j'avais 14 ans. Aujourd'hui, j'ai 32 ans, et je ne sais plus avec qui prendre contact pour corriger mon travail et le publier sans que quelqu'un d'autres l'attribue à lui même.

Merci infiniment pour vos conseils.
 

Panam

Bladinaute averti
Tu habites où déjà ?
Ensuite , ta thèse va apporter quoi de nouveau pour la communauté mathématique ?
Tu as quel statut actuellement ?
 
A

AncienMembre

Non connecté
Tu habites où déjà ?
Ensuite , ta thèse va apporter quoi de nouveau pour la communauté mathématique ?
Tu as quel statut actuellement ?
Bonjour,
J'habite au Maroc. Pour le moment, je n'ai aucun statut académique sur quel m'appuyer pour que mon travail soit pris au sérieux, à part de dire que j'ai un DEUG en mathématiques appliquées, et que j'ai quitté la fac sans décrocher ma licence L3. En fait, ce n'est pas une thèse à proprement parler, c'est juste une technique de résolution d'équations algébriques linéaires qui demande 10 ou 11 pages pour la présenter. Donc, ce n'est pas une théorie en réalité, mais je réfléchis encore à une manière de théoriser cette technique, car les formules que j'ai trouver répondent plus au moins aux résultats théoriques sur quels se base la fameuse théorie de Galois qui se consacrent à ce type d'équations. Mais, ce qui compte pour le moment, c'est de signaler que ma méthode est une méthode adéquate qui permet de résoudre ce type d'équations qui a intrigué les mathématiciens depuis des siècles, depuis Alkhawarismi, jusqu'à présent. La théorie de Galois prédit qu'on ne peut pas résoudre algébriquement ces équations quoiqu'on fasse sauf si on ait recours à des méthodes analytiques transcendantes, et ça ce n'est plus à la portée de personne pour le moment. Ma méthode entre dans ce cadre analytique transcendant à l'aide de simples équations différentielles linéaires qui se mettent sous une certaines forme facile à résoudre, donc, à la portée de tout le monde.
Merci pour votre aide.
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Quel brevet demander ?

- Vous avez le choix entre trois possibilités : demander un brevet français, un brevet européen ou enfin un brevet pour d'autres Etats hors d'Europe. Si l'exploitation de votre invention se limite au territoire français et que vous n'ayez pas l'intention de l'exporter, faites votre demande de brevet pour la France auprès de l'Institut national de la propriété intellectuelle. Puis si vous voulez étendre votre protection à d'autres pays, vous devrez refaire les démarches dans chacun des Etats souhaités. Si vous voulez exploiter votre invention en Europe, faites une demande de brevet européen auprès de l'Office européen des brevets, qui concerne trente Etats.
Cet organisme instruit la demande et délivre le brevet. Si celui-ci est accepté, cela vous permet de ne faire qu'un dépôt qui se transformera ensuite en autant de brevets nationaux qu'il y a d'Etats. Attention, il ne s'agit pas d'un brevet unique, celui-ci n'existe pas encore. L'OEB se trouve à Munich, mais la demande doit être faite à l'Inpi, qui transmettra le dossier. Enfin, si vous voulez exploiter votre invention dans d'autres Etats hors de l'Union européenne, vous pouvez faire un dépôt unique pour plusieurs pays grâce au "Patent Coopération Treaty" (PCT). La recherche d'antériorités est réalisée au niveau mondial et le brevet vous est délivré pour chacun des pays dans lesquels vous avez sollicité la protection. Le dépôt du dossier se fait également auprès de l'Inpi.

Le coût d'un brevet
Le dépôt de la demande de brevet français coûte 36 euros, le rapport de recherche 500 euros et la délivrance 86 euros. Une réduction de 50 % sur les principales redevances de procédure est accordée aux personnes physiques, aux PME de moins de 1 000 salariés et aux organismes à but non lucratif (OBNL) du secteur de l'enseignement ou de la recherche.
POUR UNE DEMANDE DE BREVET EUROPÉEN : le coût dépend de plusieurs éléments et notamment du nombre de pays dans lesquels le brevet est déposé. Il faut compter au minimum 105 euros, auxquels s'ajoutent 1 105 euros pour le rapport de recherche et 525 euros pour la délivrance.
Il faut ensuite payer des annuités pour maintenir le brevet en vigueur.

Déposer sa demande

Le dépôt d'un brevet est une procédure assez lourde. Vous pouvez faire le dépôt seul, mais si votre invention est complexe ou si vous voulez faire un dépôt à l'étranger, nous vous conseillons de prendre un conseil en propriété industrielle. Vous trouverez une liste de conseils à l'Inpi. Le dossier se compose de plusieurs éléments.

- La requête, c'est le document administratif par lequel vous demandez votre brevet. Notez que, si vous déposez plusieurs inventions liées entre elles pour ne former qu'un seul concept inventif (règle de l'unité de l'invention), vous déposerez une requête unique pour l'ensemble. Vous indiquerez le nom de l'inventeur, qui peut être une société.

- La description de l'invention, c'est le document le plus important et celui auquel il faut apporter le plus de soin, car c'est le coeur même du brevet. La description situe d'abord l'invention par rapport à l'état de la technique antérieure. Il y a ensuite un "exposé" de l'invention, qui explique le problème auquel l'invention apporte une solution. Suivent un exposé détaillé d'un mode de réalisation de l'invention et, le cas échéant, une description des dessins. Il faut enfin préciser en quoi l'invention est susceptible d'une application industrielle. La rédaction de ces différents documents doit être suffisamment claire, complète et précise pour que l'homme du métier puisse réaliser l'innovation.

- Les revendications. Il s'agit d'une définition de la protection demandée, qui doit être explicite, concise et se fonder sur la description. Ce sont les revendications qui posent l'étendue du monopole. Ici, la rédaction est importante car elle conditionne l'efficacité du brevet à l'égard des contrefacteurs. Vous devez y désigner l'objet de l'invention et ses caractéristiques techniques, puis établir une "partie caractérisante" qui précise les aspects de votre invention pour lesquels vous recherchez la protection.

- L'abrégé. Ce document résume les caractéristiques de l'invention. Il est destiné à être publié au Bulletin officiel de la propriété industrielle.

La délivrance du titre

- La demande fait l'objet d'un examen administratif, au cours duquel l'Inpi établit un rapport de recherche préliminaire, nécessaire pour obtenir le brevet. Le titre est délivré, si l'examen est réussi, pour une durée de vingt ans à compter du jour du dépôt de la demande. La demande de brevet européen se fait également à l'Inpi, qui transmet le dossier à l'OEB. Dernier point : l'obtention d'un brevet prend du temps : comptez de deux à trois ans pour obtenir un brevet français et de cinq à six ans pour un brevet européen.

à retenir
Monopole d'exploitation
- Le brevet vous procure un monopole d'exploitation pendant vingt ans (à compter du jour du dépôt de la demande) sur le territoire demandé.
Protection
- En vous attribuant un droit de propriété sur l'invention, le brevet vous protège des contrefacteurs.
Octroi du brevet
- Pour être brevetable, votre invention doit apporter une solution à un problème technique, être nouvelle, impliquer une activité inventive et être susceptible d'application industrielle.

le tout sur
http://lentreprise.lexpress.fr/mark...-pour-empecher-toute-contrefacon_1513187.html

INFOS complémentaires en commentaire : important

. Je complète l'information pour ceux qui souhaitent protéger leurs idées, concepts ou créations. Outre l'enveloppe Soleau de l'INPI, il existe d'autres solutions pour se prémunir contre la copie.
- on peut ainsi s'envoyer à soi même d'une lettre recommandée en un seul exemplaire.
(Attention à ne pas non plus ouvrir l'enveloppe jusqu'à éventuel litige. )
- l'huissier de justice : on peut déposer ses créations qui seront scellées et archivées à l'étude pendant 30 ans. Le coût varie selon les études d'huissier.
- enfin il existe un moyen "online" une sorte de dépôt électronique horodaté et déposé chez huissier de justice.
Ces services en ligne permettent de dater vos créations et donc de donner une antériorité irréfutable à vos oeuvres.
Ce moyen est souvent moins coûteux et le service immédiat.
Ci-dessous une liste non exhaustive de sites proposant ces formules
. https://fidealis.com/
http://copyright.be/
http://depotcopyright.fr/

mam
 
A

AncienMembre

Non connecté
On peu breveter ce genre de chose ?
Plutôt se faire reconnaitre comme "l'auteur" non ?
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
On peu breveter ce genre de chose ?
Plutôt se faire reconnaitre comme "l'auteur" non ?

comme auteur (genre Sacem en france) ne te protège pas de la "contrefaçon" ou "du vol de la propriété"
ça sert seulement à indemniser comme auteur en te versant des "royalties" lors d'utilisations futures par des tiers
comme une chanson, un poème, un bouquin, de la musique

donc, il faut d'abord breveter :cool:

:) mam
 
Salut,
Je n'accorde aucun crédit à ce qui précède car :
Les équations polynomiales du troisième ordre (fonctions assez simples) posent déjà de sérieux problèmes de résolution, devenant parfois insolubles à partir de l'ordre cinq ..
L'analyse numérique se propose de résoudre des équations d'ordre supérieur, par les méthodes d'approximations successives (descente, Newton, Gauss etc), demandant le développement d'un programme en Fortran pour calculer des solutions approchées ...
Autrement dit, avec votre "découverte", l'analyse numérique est bonne pour la poubelle ...
Des théorèmes établissent que pour certaines fonctions il est impossible d'en déterminer toutes les solutions ...
Les fonctions non analytiques démentiront cette thèse ...
Les fonctions non linéaires, non partout dérivables, etc ...

C'est de l'ordre de la mystification pure et simple ...
 
A

AncienMembre

Non connecté
Bonjour,

La création du présent fil date de plusieurs mois, je me permets de le remonter en surface afin de vous demander un service si cela ne vous gène guère :
J'ai un article mathématique que j'aimerais publier sur le siteweb : arxiv.org, or, je n'ai aucun compte sur ce siteweb qui est d'abord, parrainé par une université anglaise, c'est elle qui le gère, et j'ignore d'ailleurs, comment elle donne accès à ce privilège de publier librement des articles.
Est ce que vous pouvez me nouer des contacts avec des scientifiques qui publient régulièrement sur ce site afin qu'ils me donnent la permission de procéder à la publication de mon article sur ce site web via leur compte octroyé par cette université et en mon nom et non en nom de celui qui détient le compte ?
J'aimerais aussi recevoir des garanties de leurs part qui font que mon article ne sera jamais modifié, et restera épinglé pour toujours et sans une possible suppression ou modification expresse.

Merci d'avance.
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Bonjour,

La création du présent fil date de plusieurs mois, je me permets de le remonter en surface afin de vous demander un service si cela ne vous gène guère :
J'ai un article mathématique que j'aimerais publier sur le siteweb : arxiv.org, or, je n'ai aucun compte sur ce siteweb qui est d'abord, parrainé par une université anglaise, c'est elle qui le gère, et j'ignore d'ailleurs, comment elle donne accès à ce privilège de publier librement des articles.
Est ce que vous pouvez me nouer des contacts avec des scientifiques qui publient régulièrement sur ce site afin qu'ils me donnent la permission de procéder à la publication de mon article sur ce site web via leur compte octroyé par cette université et en mon nom et non en nom de celui qui détient le compte ?
J'aimerais aussi recevoir des garanties de leurs part qui font que mon article ne sera jamais modifié, et restera épinglé pour toujours et sans une possible suppression ou modification expresse.

Merci d'avance.
Salam Bryan,
Il en pense quoi ton prof de math ?
Tu as vu sur le site HAL?
 
A

AncienMembre

Non connecté
Salam Bryan,
Il en pense quoi ton prof de math ?
Tu as vu sur le site HAL?
Salam Universal :
Je n'ai aucun contact à présent avec mes anciens prof, parce que j'ai quitté précocement mes études, et sans même décrocher ma Licence. C'était vers l'an 2005. En outre, je vis dans une autre ville que celle où j'ai suivi mes études. Et, je ne sais pas s'ils vont se souvenir de moi si je me présenterai devant eux un jour.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Bonjour,
J'habite au Maroc. Pour le moment, je n'ai aucun statut académique sur quel m'appuyer pour que mon travail soit pris au sérieux, […]
Ce n’est pas un statut qui fait prendre au sérieux une méthode de calcul, c’est sa démonstration.

As‑tu rédigé une démonstration ? Si oui, peux‑tu demander à une personne reconnue, de la vérifier ?

Remarque : il existe des assistants informatiques de démonstrations, qui valident automatiquement les preuves, puisque qu’ils contrôlent les étapes de la démonstration (qu’il faut rédiger explicitement dans un langage spécial). Ce n’est pas évident à manier au début, mais c’est reconnu. Je mentionne les deux plus connus, qui pourraient permettre à ta preuve écrite dans l’un de ces systèmes, d’être reconnue : Isabelle et Coq.

https://www.cl.cam.ac.uk/research/hvg/Isabelle/
https://coq.inria.fr

Coq, est le système qui a servi à faire accepter une démonstration du théorème des cinq couleurs.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Je ne connais personne, malheureusement, qui peut m'aider dans cette tache.
Non, je ne peux pas. Je donnais des pistes, je n’ai pas dit que je pouvais être la personne qui convient.

Sinon, si tu peux être patient, commencer à étudier soit Coq soit Isabelle (je conseillerais plutôt Coq, même si un choix entre les deux est difficile). Coq repose sur la logique constructiviste (pas de tiers‑exclus, etc), qui permet d’éviter les fausses pistes dans une démonstration. Sont éditeur de preuve est plus commode et maniable que celui de Isabelle, et il est également plus réputé que ce dernier (quelques preuves qui ont fait du bruit, ont été validé avec Coq). Isabelle repose sur HOL (Higher Order Logic), une logique courante, mais qui existe en plusieurs variantes. Pas mieux du côté de Coq cependant, qui utilise une logique propre, même si elle dérive de logiques connues. Isabelle a l’avantage sur Coq, de permettre d’écrire des preuves structurée, avec un bon rendu PDF, ce qui peut être intéressant pour transmettre des preuves à des tiers.

Je ne peux rien faire de plus que donner des avis et des pistes, ne m’en demandes pas plus.
 
Dernière édition:

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Salam Universal :
Je n'ai aucun contact à présent avec mes anciens prof, parce que j'ai quitté précocement mes études, et sans même décrocher ma Licence. C'était vers l'an 2005. En outre, je vis dans une autre ville que celle où j'ai suivi mes études. Et, je ne sais pas s'ils vont se souvenir de moi si je me présenterai devant eux un jour.
N'ayant jamais publié, je suis comme toi.
Je t'invite à ne pas abandonner....j’essaierai de me renseigner de mon coté.
bonne chance

edit: Salam Hibou
 
A

AncienMembre

Non connecté
peut etre se rapprocher d'une université ayant un pole "maths appliqué" et faire publier tes travaux en ton nom et et au nom de l'université?:intello:
De ce que j'en sais, on ne peux publier au nom d'une université, que si on est doctorant ou laborantin associé à cette université. En dehors de ces deux cas, il n'est pas permis une telle procédure, du moins par rapport à ce qui se passe au Maroc. Parce que, il m'est arrivé plusieurs fois de discuter de ce genre de choses avec mes anciens camarades de classes à la fac, mais à cet époque, je n'étais pas encore parvenu à quoique ce soit en rapport avec la recherche mathématiques. Aujourd'hui, j'ai réussi à trouver le hic dans ce problème qui porte sur les équations algébriques, mais je reste toujours perplexe à la façon de rendre ces recherches que j'ai établi, devant les yeux d'un large public de manière à ce qu'il soit reconnu par toute la communauté scientifique et validé.
 
De ce que j'en sais, on ne peux publier au nom d'une université, que si on est doctorant ou laborantin associé à cette université. En dehors de ces deux cas, il n'est pas permis une telle procédure, du moins par rapport à ce qui se passe au Maroc. Parce que, il m'est arrivé plusieurs fois de discuter de ce genre de choses avec mes anciens camarades de classes à la fac, mais à cet époque, je n'étais pas encore parvenu à quoique ce soit en rapport avec la recherche mathématiques. Aujourd'hui, j'ai réussi à trouver le hic dans ce problème qui porte sur les équations algébriques, mais je reste toujours perplexe à la façon de rendre ces recherches que j'ai établi, devant les yeux d'un large public de manière à ce qu'il soit reconnu par toute la communauté scientifique et validé.

je pense que tu devrait prendre rdv avec un bureau d'étude d'une université, te présenter et présenter tes recherches, il y à toujours moyen de s'arranger avec eux, surtout si tu leurs apporte une "découverte" sur un plateau sans qu'ils aient eu besoin de financer tes travaux.
ils peuvent trés bien te conferer un statut x ou y, consultant etc..
 
A

AncienMembre

Non connecté
La plupart des personnes ailleurs, me conseillent de soumettre mon article sur arxiv.org afin d'être minutieusement corrigé par les responsables scientifiques de ce site, et le transférer par la suite à un journal de renom aux états unis pour le publier. Mais, contacter une université au Maroc ne me semble pas vraiment une bonne idée, surtout que vous ignorez la mentalité des gens ici. Excusez moi de vous dire que la plupart de nos profs dans nos universités au Maroc, ont un caractère dictature et hostile envers leurs étudiants. Tout le monde se plaint des profs de nos universités surtout dans la région du nord où il arrive régulièrement d'apprendre qu'il y'a eu accrochage entre un prof et son disciple. A moi, personnellement, ça m'est arrivé plusieurs fois d'être victime d'insultes et de mépris et de regard pervers de la part de profs qui se considèrent au dessus de tout le monde et non simplement de leurs étudiants. Je vais pas vous en parler plus, parce que ça c'est une autre histoire, et je ne compte nullement pas m'adresser à un prof de ces odieux facultés que vous trouvez au Maroc. Ils n'ont pas le temps pour vous écouter pour tout résumer.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Pour être clair, je ne cherche pas à vous repousser de ce pays, il y'en a certes d'autres qui sont bien et qui ont un caractère très charmant, ils sont nombreux heureusement surtout en dehors de l'entourage académiques, car les mentalités ont beaucoup changé ces 15 dernières années surtout chez les jeunes. Je voulais juste dire que ceux qui dirigent les facs au Maroc, sont ceux qui ont vécu avant l'arrivée de notre souverain que Dieu l'assiste, mais il faut vraiment balayer dans ces facultés qui regorgent de personnes vraiment épouvantables. Quoi qu'il en soit, ce n'est pas de ce sujet qu'on discute sur ce fil, il serait préférable d'oublier ce pétage de câble et retourner à notre sujet de départ.
 
Pourquoi ne pas simplement adresser un exemplaire de la "méthode" à une revue de maths (comme quadrature) et te protéger en t'adressant à toi-même un exemplaire par mail?
 
A

AncienMembre

Non connecté
Quadrature est une revue de vulgarisation destinée à encourager les jeunes à s’intéresser aux maths, comme science et vie et d'autres ..., et non une revue spécialisée où des recherches profondes et assez pointus sont publiés pour jauger l'état d'avancement actuel de la mathématique et de ses sous-disciplines.
 
Dernière modification par un modérateur:

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Pourquoi ne pas simplement adresser un exemplaire de la "méthode" à une revue de maths (comme quadrature) et te protéger en t'adressant à toi-même un exemplaire par mail?
Je répond spontanément, sans n’avoir rien vérifié : ne serait‑ce pas plutôt dans une enveloppe postale, scellée avec A.‑R. ?
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Et aussi tenter au moins une protection style droit d’auteur (les brevets sur les méthodes mathématiques ne sont pas possibles).

à faire avant toute chose
car ta publication va forcement se retrouver sur le net

regarde ici sur la colonne de gauche : http://www.irma.asso.fr/La-circulation-des-artistes
il semblerait que tu puisses enregistrer ton écrit à la SACEM, même étant au maroc
tu veux bien vérifier, car je n'ai fait que "survoler"

puis essaie de trouver des chercheurs en universités (au niveau mondial)

mam
 
A

AncienMembre

Non connecté
Salut :
J'ai envoyé hier un courriel à la revue Quadrature, et voici la réponse que j'ai reçu ce matin :
Cher Monsieur,
en ce qui nous concerne, ce type de papier
algébrique est un peu trop aride et nous évitons de
telles publications, essayant plutôt de trouver des
mathématiques plus modernes ou distrayantes (voir
nos derniers numéros par exemple).
Le mieux est à mon avis de vous tourner vers un journal
américain ou de langue anglaise et de leur proposer
vos travaux.
Par exemple
http://www.hindawi.com/journals/ijmms/
ou
http://www.ccsenet.org/journal/index.php/jmr
Très cordialement
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Peux‑tu en dire plus ?

plier les feuilles de façon de chacune dépasse l'une de l'autre
de façon à façonner un genre d'enveloppe de n'importe quel format

mais que les cachets de la poste
ou
la bande rose (du papier de la poste pour les recommandés = soit environ 8 cm )

soi(en)t incluse - ou collée- (par petits morceaux) sur chaque feuille

heeeeuuuu
ce n'est pas facile à expliquer.....

mam
 
Quadrature est une revue de vulgarisation destinée à encourager les jeunes à s’intéresser aux maths, comme science et vie et d'autres ..., et non une revue spécialisée où des recherches profondes et assez pointus sont publiés pour jauger l'état d'avancement actuel de la mathématique et de ses sous-disciplines.
A priori, les mathématiciens qui y écrivent ayant un niveau académique supérieur au tien, il sont à même de lire ta méthode de façon critique et ne manqueront d'être éblouis par l'élégance de ton travail. Par suite, ils pourront t'appuyer et te guider afin que ton travail puisse être publié dans une revue de recherche et quoi qu'il en soit la paternité de ton travail ne pourrait pas être déniée.
 
Je répond spontanément, sans n’avoir rien vérifié : ne serait‑ce pas plutôt dans une enveloppe postale, scellée avec A.‑R. ?
C'était effectivement la méthode classique avant le web et elle reste efficace mais un mail, par son espèce d'éternité, me semble au moins aussi efficace (on ne peut pas le perdre ou se le faire voler) et plus économique.
 
Salut :
J'ai envoyé hier un courriel à la revue Quadrature, et voici la réponse que j'ai reçu ce matin :
Cher Monsieur,
en ce qui nous concerne, ce type de papier
algébrique est un peu trop aride et nous évitons de
telles publications, essayant plutôt de trouver des
mathématiques plus modernes ou distrayantes (voir
nos derniers numéros par exemple).
Le mieux est à mon avis de vous tourner vers un journal
américain ou de langue anglaise et de leur proposer
vos travaux.
Par exemple
http://www.hindawi.com/journals/ijmms/
ou
http://www.ccsenet.org/journal/index.php/jmr
Très cordialement
Eh bien voilà, la revue indiquée par le premier lien a l'air tout-à-fait indiquée (79% de refus des articles et publications d'articles originaux).
 
Haut