Une nouvelle expulsion d'un marocain soupçonné de préparer un attentat

tizniti

Soyons sérieux .
Transférer le mal vers son origine, le Maroc deviendra la plus grande enclave des terroristes islamistes
L'Etat islamique est en grande difficulté dans ses fiefs en Syrie et en Irak. Le groupe est encerclé à Mossoul, sa capitale irakienne, et perd progressivement du terrain en Syrie face aux troupes gouvernementales et aux Kurdes. Conséquence, de nombreux djihadistes étrangers fuient les rangs du groupe terroriste et prennent le chemin du retour. Un scénario qui inquiète de nombreux pays, dont le Maroc qui a vu plusieurs centaines de ses ressortissants rejoindre Daech.

Selon le magazine marocain Telquel, environ 500 djihadistes marocains seraient encore en vie et actifs sur les fronts et «un bon nombre d'entre eux souhaitent rentrer au Maroc». Un combattant qui opère à Alep a même confié à Telquel, «qu'il y a des défections au sein de Daech et que certains émirs
n'obéissent plus aux ordres de l'autorité suprême. En plus, les combattants marocains les plus connus sont tous morts».

Une menace identifiée

Depuis l'attentat du 28 avril 2011 à Marrakech, le Maroc n'a plus été touché par une attaque terroriste de grande ampleur, contrairement à la Tunisie voisine. L'efficacité des services de renseignement locaux et la lutte contre la radicalisation religieuse menée par l'Etat en coopération avec les mosquées est saluée par de nombreux observateurs.

«La police marocaine est l’une de celles qui, dans le monde arabe, mène la répression la plus féroce contre les cellules et réseaux islamistes régulièrement démantelés et contre les militants djihadistes qui rentrent du "front" ou aspirent à le rejoindre. Le Maroc a subi de douloureux attentats, comme celui de 2003 à Casablanca. La menace islamiste y est donc clairement identifiée et combattue et le roi veut désamorcer toutes les velléités de violence et de départ pour le djihad, dans sa population marocaine d’origine ou de nationalité, imputables surtout au déficit de connaissances religieuses», analysait le journaliste Henri Tincq sur Slate.fr le 9 septembre 2016.

Les forces de sécurité marocaines savent cependant que le plus dur est sûrement à venir avec l'explosion prévisible de l'Etat islamique en Syrie et en Irak, mais aussi à Syrte en Libye.

Camille Belsoeur pour state Afrique.

Ici Rabat c'est à vous azadare.;)
 

insatis

insatise
Transférer le mal vers son origine, le Maroc deviendra la plus grande enclave des terroristes islamistes
je te rassure , qu'ils désenchantent vite au bout de 3 mois de prison , tous ou presque sauf les malades mentaux
ils changent radicalement dans le bon sens
ils effacent leur disque
ils regrettent leur actes
ils se mettent en avant pour conseiller les jeunes de ne pas faire comme etc.....
 
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