Je voulais en parler depuis longtemps :
Le Panthéisme est une doctrine, qui allie philosophie et spiritualité, et ne peut être véritablement assimilée à une religion. En revanche elle peut s'y associer. Le panthéisme définit que Dieu est tout, tout est Dieu, c'est à dire que tout se que nous voyons, y compris nous-mêmes, faisons partie intégrante de Dieu. Spinoza est un des précurseurs de cette philosophie, dans laquelle il utilise plus volontiers le terme de «*Substance Divine*» .
1. Obervation
En clair, le Panthéisme, en définissant que «*tout est dieu*», permet donc de voir Dieu directement en observant tout ce qui nous est donné à voir, et renoue ainsi avec le principe d'observation qui a permis aux êtres humains de façonner l'idée qu'ils avaient de Dieu à une époque, avec les connaissances et les outils de leur temps. Dieu n'est plus à la fois omniscient et reclus dans un paradis inaccessible, il est immanent et nous en faisons partie. Pour en observer la forme il suffit de regarder autour de nous, pour comprendre comment il est fabriqué, il suffit d'analyser ce que nous avons autour de nous : en découvrant les cellule, puis les atomes, les gènes, les particules et enfin les «*cordes*» de la théorie des cordes, nous comprenons comment Il, nous, tout est fait.
2. Panthéisme et religion.
Les anciens, les prophètes, les philosophes, les scientifiques ont basé leur savoir, ou ont été illuminé, par la connaissance. Leurs apports ont été d'une importance capitale pour construire la pensée et la science dont nous bénéficions aujourd'hui. Leurs révélations ont eu lieu car ils avaient pris le temps d'observer directement ce qui les entourait, souvent de façon isolée, car c'est en vidant le sens que nous donnons au réel que nous percevons clairement le réel. Le Panthéisme loue donc la recherche du réel que firent les prophètes. Cependant, nous avons la capacité d'observer plus qu'ils ne le pouvaient à leur époque. Ils n'eurent pas tort, n'ont pas menti, ils ont définit ce qu'ils observaient, avec les moyens à leur portée et leurs connaissances. On ne peut pas dire que les scientifiques du 1er siècle étaient idiots, ils avaient moins de connaissance que nous. Et que la terre soit ronde nous paraît une évidence aujourd'hui, ce qui ne fait pas que tous ceux qui le pensaient avant étaient stupides. Le panthéisme respecte donc toutes les formes de religions, mais il cherche à en vider le sens que les humains leur ont ajouté, pour diverses raisons, et en extraire l'essence : la quête de connaissance. Il rapporte enfin le sens que les humains ont Donné à dieu, qui n'est, au travers des pages des Livres, que le reflet de l'homme lui-même. Ainsi, les affaires de moeurs et des lois sont rétribuées à la gestion propres des humains, et n'appartiennent plus à la volonté de Dieu. Le panthéisme s'appuie donc sur les religions pour être ce qu'il est.
Le Panthéisme aborde de manière historique la quête de vérité des hommes, pour permettre à l'homme de regarder Dieu directement, au lieu de l'observer au travers du prisme déformé des Livres, et renouer avec l'observation pure des prophètes, bien avant que les premières lignes ne soient écrites.
Le Panthéisme est une doctrine, qui allie philosophie et spiritualité, et ne peut être véritablement assimilée à une religion. En revanche elle peut s'y associer. Le panthéisme définit que Dieu est tout, tout est Dieu, c'est à dire que tout se que nous voyons, y compris nous-mêmes, faisons partie intégrante de Dieu. Spinoza est un des précurseurs de cette philosophie, dans laquelle il utilise plus volontiers le terme de «*Substance Divine*» .
1. Obervation
En clair, le Panthéisme, en définissant que «*tout est dieu*», permet donc de voir Dieu directement en observant tout ce qui nous est donné à voir, et renoue ainsi avec le principe d'observation qui a permis aux êtres humains de façonner l'idée qu'ils avaient de Dieu à une époque, avec les connaissances et les outils de leur temps. Dieu n'est plus à la fois omniscient et reclus dans un paradis inaccessible, il est immanent et nous en faisons partie. Pour en observer la forme il suffit de regarder autour de nous, pour comprendre comment il est fabriqué, il suffit d'analyser ce que nous avons autour de nous : en découvrant les cellule, puis les atomes, les gènes, les particules et enfin les «*cordes*» de la théorie des cordes, nous comprenons comment Il, nous, tout est fait.
2. Panthéisme et religion.
Les anciens, les prophètes, les philosophes, les scientifiques ont basé leur savoir, ou ont été illuminé, par la connaissance. Leurs apports ont été d'une importance capitale pour construire la pensée et la science dont nous bénéficions aujourd'hui. Leurs révélations ont eu lieu car ils avaient pris le temps d'observer directement ce qui les entourait, souvent de façon isolée, car c'est en vidant le sens que nous donnons au réel que nous percevons clairement le réel. Le Panthéisme loue donc la recherche du réel que firent les prophètes. Cependant, nous avons la capacité d'observer plus qu'ils ne le pouvaient à leur époque. Ils n'eurent pas tort, n'ont pas menti, ils ont définit ce qu'ils observaient, avec les moyens à leur portée et leurs connaissances. On ne peut pas dire que les scientifiques du 1er siècle étaient idiots, ils avaient moins de connaissance que nous. Et que la terre soit ronde nous paraît une évidence aujourd'hui, ce qui ne fait pas que tous ceux qui le pensaient avant étaient stupides. Le panthéisme respecte donc toutes les formes de religions, mais il cherche à en vider le sens que les humains leur ont ajouté, pour diverses raisons, et en extraire l'essence : la quête de connaissance. Il rapporte enfin le sens que les humains ont Donné à dieu, qui n'est, au travers des pages des Livres, que le reflet de l'homme lui-même. Ainsi, les affaires de moeurs et des lois sont rétribuées à la gestion propres des humains, et n'appartiennent plus à la volonté de Dieu. Le panthéisme s'appuie donc sur les religions pour être ce qu'il est.
Le Panthéisme aborde de manière historique la quête de vérité des hommes, pour permettre à l'homme de regarder Dieu directement, au lieu de l'observer au travers du prisme déformé des Livres, et renouer avec l'observation pure des prophètes, bien avant que les premières lignes ne soient écrites.