Vos papiers, s'il ne vous plaît pas...

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Les aventures de TT, a.k.a Tozz tozz..

>" Bonjour Monsieur, contrôle de police, veuillez coupez votre moteur, placez les clés de manière visible sur le pare-brise et me présenter les papiers du véhicule. "
>" Ouah ! Carrément ! Et tout ça en même temps monsieur le policier.. ? "

Pas de réponse de l’homme à moustaches. Avec un " s " la moustache, puisqu’on croirait qu’il en à deux. D’ailleurs il en a deux. Je les observe : c’est assez surprenant. Je pense qu’elles se sont fâchées un jour. Depuis, elles se tournent le dos : l’une regarde à droite, l’autre à gauche…avec une jolie raie entre les deux, juste sous le nez, comme pour démarquer désormais le territoire de chacune.
>" Il comprend le français le bronzé ! Je t’ai demandé trois choses pourtant simples !! Moteur, clés, papiers ! Toi comprendre ça ?!"
>"Oups", j’oubliais. Bon Dieu, ces moustaches me fascinent... Jouons là tranquille et faisons vite. " Veuillez m’excuser monsieur, j’ai eu un moment d’égarement. Voyez vous, j’ai la tête ailleurs en ce moment, et mon fils est… "
>" Papiers Mouloud !! "
>" Tout de suite, monsieur, pardonnez moi. Et si je peux me permettre.. "
>" Nan !! Il peut pas se permettre ! "
>" C’est juste un détail… "
>" Ok, tu veux jouer au *** avec moi, on va jouer ! Raymond, Fifi, j’ai un individu NA qui fait opposition !! Et toi, tu mets bien les mains en évidence et tu sors calmement du véhicule !! "
>" Merci monsieur, en cet été caniculaire, je commençais à avoir quelques chaleurs au visage et… "
>" Put*in ! Tu vas la fermer ta grande gueule !! Sors les mains en avant, poignets joints et calmement !! "
>" Je suis calme monsieur, à ce niveau là, ne vous inquiétez … "
>" Fifi !! Ray !! Magnez vous le *** bordel, situation critique !! Bouge pas toi !! "
>" Sans bouger, je ne peux pas… "
>" La Ferme !! Dehors ! Et les mains bien en évidence !!"
>" Mais vous m’avez dit de ne pas bouger.. "
>" Sors de ta caisse ******** et surtout Ne bouges PAS !! J’hésiterais pas une seule seconde !! "
>Fifi : " Ouai René, on est là. Qu’est ce qui passe ? "
>René : " Je demande ces papiers, il les donne pas ! J’lui demande de sortir, il sort pas ! Et quand j’lui dit de pas bouger, il veut ouvrir sa boite à gants, ou même quitter son véhicule !! "

 

[missarah]

c'est nul

 

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>TT : " Bonjour Messieurs, bonne journée aujourd’hui ? Grosse chaleur n’est ce pas ?" >René : " Et en plus, il se fout de votre gueule à vous aussi maintenant ! "
>Ray : " Calmons nous messieurs. Monsieur, mon collègue a tenté de procéder à un contrôle de régularité de vos papiers. Vous auriez refusé de collaborer, si j’en crois les dires de mon équipier. "
>TT : " René je crois ? Si je ne me trompe pas… "
>René : " Nan mais j’hallucine, vlà qui s’met à parler de moi par mon nom maintenant !! " >TT : " Pardonnez moi monsieur, j’avais cru comprendre qu’il s’agissait de votre prénom. Je ne me serais pas permis autrement. Je vous prie de bien vouloir m’excu.. "
>René : " J’excuse pas Mouloud, c’est clair !! "
>TT : " Pardonnez moi, mais ce n’est pas mon nom Mouloud..
>René : " Mais j’me fous de qui tu es !! "
>TT : " Ah bon ? Vous ne voulez plus de mes papiers, car il y est écrit que mon nom n’est pas Mouloud. Tenez Monsieur, je vous donne ça tout de suite, prenez et vérifiez."
>Fifi : " Oh Pop Pop !! Doucement Monsieur, on ne bouge pas ! Restons cool. Tout va s’arranger si tout le monde reste calme. Vous allez..
>TT : " Oui, monsieur, je vous écoute, je vais.. "
>Fifi " Vous allez.. "
>René : " Il va en ***** le Mouloud, moi, j’vous le dit les gars !!
>TT : " Merci René euh..Pardon, merci Monsieur l’agent mais, j’ai déjà donné ce matin. Hier, voyez vous, j’étais invité par un ami, AbdelAziz, à dîner. Sa femme, Hélène, nous a concocté un tagine de poissons, mmmhh. C’était magnifique !! Mais bon, ce matin, j’ai du rester un peu plus que d’habitude aux Waters. "
>Ray : " C’est quoi Chef les Waters ? "
>René : " Put*in Raymond, tu vas pas t’y mettre toi aussi !! "
>Fifi : " Mais qu’est ce qu’on s’en fout Ray. On fait notre boulot comme d’hab., et basta !! " >TT : " Ce sont les toilettes Monsieur l’agent Raymond. Cela vient de l’anglais : Waters Cleaners, dont les initiales ont donné WC, toilettes en français. "
<Ray : " Ah d’accord, j’avais pas fait le lien.. Et bien merci pour cet éclaircissement Monsieur Mouloud..

 

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>TT : " Mais je vous en prie Monsieur Raymond. Par contre moi, c’est pas Mouloud mais M…"
>René : " Put*in ferme là maintenant ou j’te perfore l’épiderme !! C’est compris !!
>TT : " Oh, mais votre arme est magnifique ! Je peux la voir SVP. J’adore !! "
>Ray : " Mais c’est comment alors votre nom Mr Mouloud, si c’est pas Mouloud ? "
>TT : " Je suis Mr Moudoul, enchanté de faire votre connaissance Mr Raymond "
>Ray : " Ah oui, je comprends que René n’arrête pas de se tromper, Mouloud, Moudoul, la confusion est possible… "
>TT : " Et l’erreur : humaine. "

Pendant ce temps, L’agent René, s’est retiré quelques 20 mètres plus loin, sûrement pour se calmer. Je pense qu’en cette journée, son carma a viré au rouge. Le chef d’équipe Fifi –c’est l’agent Raymond qui m’a dit qu’il était chef, il est vraiment cool ce Raymond- part le rejoindre et me laisse en compagnie de l’agent Raymond, fort bien aimable. Je tenais à le préciser.
>Ray : " Ne faites pas attention à mon camarade, il est un peu surmené en ce moment et sa femme… "
>TT : " N’en dites pas plus Mr Raymond. Je comprends. "
>Ray : " Je vais lui laisser quelque minutes, le temps d’évacuer son trop plein de larmes et de stress. Le chef est parti à ses côtés. Il a l’habitude. Il sait comment lui parler et lui redonner courage. "
>TT : " Vous savez que je peux me rendre utile.. "
>Ray : " Non, ne vous embêtez Mr Moudoul, ça ira. On en a pour 5 minutes, puis j’irais récupérer vos papiers chez René. "
>TT : " Mais je les ai toujours dans ma boîte à gants. "
>Ray : " Comment cela ! Il n’a pas procédé au contrôle ? "
>TT : " Eh bien non Mr Raymond. Il ne m’a pas laissé l’occasion de lui donner mes papiers. J’ai insisté mais quand il m’a braqué avec son pistolet, en criant comme vous l’avez entendu, j’ai jugé préférable de ne plus insister. "
>Ray : " Il vous a menacé de son arme pour que vous ne lui présentiez pas les papiers de votre véhicule ?! Et pourquoi n’êtes vous pas sorti du véhicule comme la procédure telle que issue de la loi Perben II, le stipule dans ces cas ? "

 

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>TT : " Eh bien, pardonnez moi Mr Raymond, je ne connais la procédure policière que vous suivez. Tout ce que je peux vous dire, c’est que lorsque j’ai voulu tendre la main vers ma boite à gants pour donner à Mr René les papiers de mon véhicule, il a pointé son pistolet glock 9mm vers moi, en me sommant de ne PAS bouger. Puis, au moment de vouloir sortir, et ce, devant vous et Chef Fifi, il a bien hurlé de rester cool, calme et une fois de plus, de ne pas bouger ! Vous savez, ami Raymond, j’aime les armes, notamment les glock 9mm, mais lorsqu’ils sont braqués sur moi, je ne peux que me soumettre. "
>Ray : " Les glock vous dites, comme celui-ci ? "
>TT : " Oui !! Exactement ! Oh, je les trouve trop beaux ces pistolets. Bref, j’ai pourtant fait de mon possible pour que l’agent René exerce au mieux son travail. J’ai insisté quand il perdait espoir mais vous avez vu par vous même… "
>Ray : " Ce *** de René en est à sa 2éme faute grave en 1 semaine ! On risque de le perdre s’il continue à.. "
>TT : " C’est un calibre 6.35 votre glock ? "
>Ray : " Oui Moudoul. Mais tutoie moi, tu veux. Sinon, j’ai l’impression de vieillir."
>TT : " Si je peux te rendre service Raymond… "
>Ray : " Bon, je vais voir ou ils en sont, et en référer au chef.. "
>TT : " Au Chef Fifi ? "
>Ray : " Nan nan, au grand chef, au bureau. "
>TT : " Ah pardon. "
>Ray : " Nan t’excuses pas Moudoul, attends moi là,, j’en ai pour 2 mn. "
>TT : " Mais j’aimerais repartir, j’ai quelques courses à terminer… "
>Ray : " Je te déconseille de partir, ce serait une fuite à leurs yeux. Tu restes là, hein, je peux te faire confiance ? "

 

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>TT : " Je pourrais partir, vu que j’ai mes papiers et mes clés sur moi, ton collègue ne m’a rien pris. Mais oui, tu peux me faire confiance Ray. Avec un autre, ce serait différent. " >Ray : " Et puis c’est l’affaire de quelques secondes va, Moudoul, encore un petit chwiya comme vous dites chez vous.. "
>TT : " A Montparnasse ? "
>Ray : " Nan nan, chez toi. "
>TT : " J’habite Montparnasse, Raymond. "
>Ray : " Euh.. Ouai ouai Montparnasse, j’avais compris Montélimasse..Euh…Allez à tout de suite Moudoul. "
>TT : " Euh, Ray ! Dis, tu peux me montrer ton glock, René voulait pas tout à l’heure et comme il allait pas bien, j’ai pas insisté.. "
>Ray : " Sans problème l’ami. En plus là, tu ne peux pas partir vu que tu devras me le rendre mon glock. Hé ouai, t’es pris au piége Moudoul. Allez, à toute, et fais gaf, même si j’ai mis la sécurité sur le mode automatique. "
>TT : " T’inquiètes pas Ray, je connais… "
>Ray : " Au fait, si Moudoul, c’est ton nom, et que Mouloud n’est pas ton prénom, c’est quoi ton prénom alors ? "
>TT : " C’est pas Mouloud, moi c’est Miloud, c’est vrai que je t’avais pas dis, désolé Ray. " >Ray : " Pas de souci Miloud ! C’est marrant ça, tu t’appelles Miloud Moudoul. J’adore.. Allez, à tout de suite "
>TT : " Je bouge pas Ray, prends ton temps… "
Et je fuyais, enfin partais puisqu’ils ne se rendirent compte de rien ; et que je n’eus pas à partir en trombe, mais lentement, sûrement, libre de toute arrestation, de toute contravention. J’ai même réalisé mon fantasme, comme on dit par chez moi : " Le Mythe, c’est de désarmer un Schmidt ! "..

 

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Merci à Chef Fifi, Agent René, et Agent Raymond.

Glossaire:

>NA : Prévenu de faciès Nord Africain. Schmidt : Agent de Police des services de la Bac, de la Rat, qui fait aussi référence aux Hilôtiers et autres bleus&#8230;
>Oh Pop Pop : Onomatopée régulièrement utilisée par les schmidts, sucent nommés, pour évoquer la crainte et certaines remontées acides de stress.
>Tagine : Plat marocain préparé à feux doux ou en vapeur. Epicé, assez chargé en quantité, ce plat peut être fait à base de divers viande, principalement rouges ou à base de poisson. Riche en agrumes, fruits confis et légumes locaux, il est le plat préféré du TT.

>Glock 9mm: Arme principalement utilisé par les agents de police..Mais aussi arme préférée des ghettos armés.
>6.35 : Calibre retouché des glock, initialement prévu pour une balistique de calibre 45.

Historique :

René : Petit nom de service de l&#8217;agent de police de la bac, Mr René Zellweg, qui office dans les quartiers Nord..

Ray : Petit nom de service de l&#8217;agent de police de la bac, Mr Raymond Creps, alias Ray Creps, aka Ray la dégaine, Ray la rengaine, qui office également dans les quartiers Nord de...

Fifi : Petit nom de service de l&#8217;agent de police de la bac, responsable d&#8217;équipe, Mr Félicien Dalloz, petit fils de Dortmund Dalloz, auteur des Codes Civil et Pénal Dalloz. Alias Fifi, aka Fifi la buvette, Fifi le *** sec, qui office également dans les PMU et brasseries des quartiers Nord de....

Perben II : Loi française, qui stipule???? Pas mal de chose. C&#8217;est bien, même génial comme dirait mon camarade et ami de CM2, Thomas, Frolisher de sa tare de nom.

 

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Les aventures du Gunter, a.k.a le canibale lover...

" Cet homme nous a quitté " (Gunter S.).

Il y a 5 ans aujourd’hui, j’ai fait la connaissance d’un homme, par la presse. En réalité, il ne me connaît pas. Je ne connais de lui que ce qui se dit dans la presse. Mais il a fait quelque chose d’invraisemblable, d’incroyable, d’invalide mentalement, d’irresponsable, un truc de barjot en somme. Cet homme est mon contraire. Il ne s’aime pas. De tout ce qu’il a fait dans sa vie, j’ai fait le contraire. Il tourne à gauche. Moi, je ne tourne pas. Il ne tourne pas, je prends la droite. Il ne s’aime donc pas, ou plutôt, il ne s’aimait pas, car fort heureusement pour lui, ça a changé. Aujourd’hui, il est mort. Donc il ne peut plus ne pas s’aimer. Peut être même, s’aime-t-il aujourd’hui, mort. Mais laissons la philosophie de côté, je sens que je te perds, amie lectrice. Il ne s’aime pas. Peut être est ce parce qu’il est allemand. Non, mais il est allemand tout de même. Il n’aime pas son corps. Non, messieurs dames, pas comme nous. Nous, nous n’aimons pas notre bide, nos fesses, notre bouche, notre nouvelle coupe.. Bref, ça va. Lui n’aime pas son corps. Il s’y sent étranger. Il est homme mais ne se sent pas homme dans son corps d’homme. Ce n’est pas comme Mac Doom’z, Vincent de son sexe. Mac Doom’z, lui, s’est trouvé. Il se sent bien. Peut être même mieux que nous, et nos bides, et vos gueules de ****, et notre poids, et vos fesses aformes.. Il est gêné par l’attribut mâle, qui lui bloque l’entre jambes. Pourquoi ne pas devenir femme, me dirait vous. Ne pas se faire opérer comme beaucoup aujourd’hui. Il n’y a plus de risques. C’est presque de la routine maintenant pour les chirurgiens. Mais vous n’avez rien compris. Je vous ai dit plus haut qu’il a fait un truc de barjot, pas ça! Comme qui dirait, "c’est trop simple aujourd'hui de se faire guillotiner le zembou" (Mouss09). Au fait, si ce sexe le turlutte, le tracasse, le faiblit s’il y passe (??) l’agace, mais qu’il ne veut pas se faire opérer, c’est qu’il ne veut pas être femme. Et qui l’attire alors ? Les hommes, les femmes, les trans’, les bi, les hétéros, les gay’z, " les animaux qui aiment les animaux " (Trechman’z), qui bordel ?!! Eh bien, ils aiment les hommes. Eh oui... Il est gay alors ? Eh non...Non, puisqu’il aime les hommes, mais ne se sent pas homme. Il est hétéro alors ? Non. Non, puisque c’est tout de même un homme. Au fait, il s’appelle Hans. Ah!..Il est bi alors ? Bein...pas vraiment puisqu’il ne couche qu’avec des hommes. C’est quoi ce mec alors? Comme je t’ai dit, c’est un barjot ! Mais il a le droit. D'ailleurs, je retire immédiatement ce que j’ai dit. On pourrait me taxer de barjophobie dans ce monde de victimes. Je vais t’expliquer. C’est un homme. Jusque là, ok. Il a un sexe d’homme toujours ok. Il ne couche qu’avec des hommes. Ca se gatte, mais on suit toujours. Il n’est donc pas hétéro. Mais il ne couche pas avec des gay’z. Il ne l’est donc pas vraiment lui-même. Accroche toi amis lecteurs. Au passage, il n’a pas d’attrait particulier pour les animaux. Zoophile, il ne l’est pas. Quoique barjot, Hans se comporte parfois comme un animal.

 

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Et pourtant, il n’est pas spécialement fétichiste : pas de kiffe sur les gros, sur les pieds, sur la schiezze, rien. Il est presque pas marrant en fait ce mec. Les hommes avec lesquels il couche ne sont pas gay’z. Il ne sélectionne – car il est mal dans sa peau pour pouvoir draguer ouvertement dans les espaces publiques, il use des avantages du Net, pas très net d’ailleurs – que des hétéros, ayant envie de s’essayer à un rapport gay’z. Des novices en somme, qui " ne veulent pas mourir avant d'avoir tout essayé ", me disent-ils lorsqu'ils s'allongent sur mon divan pour me narrer leurs frasques "abracadabrantesques" (Jacot, du 75). Bref, c’est votre choix. Mais Hans, lui, est bizarre. Les novices, eux, ne le savent pas. D’ailleurs, il a un peu de chance tout de même, ce Hans. A chaque nouvelle relation : un novice, un puceau. Imaginez amis mâles une pucelle à chacun de vos rapport... C'est le paradis pour un muslim. Je retire, pas muslimophobie non plus. Donc, je disais, que des novices. Pas de traces particulières sur ses draps, absence d’hymen oblige. Il est malin ce Hans ! Mais il est insatisfait. En effet, il aime se faire titiller la nue– c’est le moins que je puisse dire – il est entièrement passif. Non, pas "la nue", mais 'l'anus". Il est vrai que je ne prononce pas le "s" que j'en viens à l'écrire autrement parfois. Bein normal pour Hans d'être passif, il aime pas son sexe, vous suivez un peu !
Soit dit en passant, c’est gentil pour les novices d’ailleurs. Mieux vaut commencer en actif. Parce que du jour au lendemain, passer du stade de donneur à celui de receveur, ça peut faire des dégâts. Je pense, je suppose. J’imagine..Je.. Je vais aller vomir maintenant. Passif donc, Hans se régale des quelques rares relations sexuelles – il est bizarre, il a donc du mal à draguer, même sur le Net’s - qui le maintiennent en vie. Mais cela ne suffit plus. D’autant que Hans ne supporte plus ce sexe qui se met à grandir lors de ses rapports; et parfois même, malgré les contenances forcés de Hans, à semancer. Il aime à se faire prendre, cela l’excite, et comme il est physiquement homme, il bande, et parfois il jouie. Mais il haie cela par-dessus tout ! Cela l’écoeure, le dégoûte, et le conforte de plus en plus dans l’idée, qu’il faut passer à l’acte. Oui, Hans a pensé plus d’une fois à en finir. Mais à chacun de ces moments de dépression, de solitude, de haine envers son propre corps ; Hans a su repousser l’échéance, seul, sans l’aide ni l’appui de personne. Pour le moment, sans l’appui de personne. Oui, sans l’appui de personne. Personne. Mais bientôt, quelqu’un. C’est ce qu’il espère tout du moins… Alors, il décide de traquer les sites interdits - au moins ! - au moins de 57ans. Aparté: Vous pensiez peut être qu'au delà de 18ans, tout était permi? Eh bien non! Il y a d'autres tranches d'âge; et le "Interdit au moins de 57ans", personne ici ne pourra jamais en entendre parler si ce n'est en me lisant. Ceux qui connaissent ce genre de sites n'en parlent pas, car ils en meurt sur le coup pour la plupart. Les autres sont certes vivants, mais c'est tout comme s'ils étaient déjà morts. C'est Hans qui m'en a parlé: il ne devait pas, au risque de se faire radier tous les pass droits. Il a fait. Je l'en remercie, mais m'en excuse aussi pour les conséquences que cela a eu sur lui. (Je vous en parlerai ultérieurement lors d'une prochaine rencontre...) Fin de l'aparté.

 

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Donc des sites qu’on ne pourrait trouver nous-mêmes, sans l’aide d’un barjot. Des sites ou sexe et mort vont de paire, sexe et souffrance également, sexe et cannibalisme. Cannibalisme. Mmmm... C’est en tchattant avec un autre allemand, de Munster cette fois. Car Hans est de Beckenbauer, lui. Mais qu’importe. Günter – the Munster man – aime la viande. Plus que tout. Plus que le sexe même. Il n’est pas gros. Pourtant il aime la viande. Mais ce n’est pas la quantité qui le rassasie, c’est la qualité. Pourtant, il ne fait pas ses courses dans les magasins bio, à haute qualité ajoutée. Il aime la viande humaine. Oui, Günter est cannibale. Homme, femme, mais pas les enfants. Ca, c'est bien au moins. De toute façon, il est plutôt réglo en général. Il ne mange que des fraîchement morts, abandonnés. A son actif, il a ainsi plusieurs SDF dans son estomac; SDF qu’il a pris soin de nettoyer. Gunter est raffiné, coquet. Un peu trop àmon goût. Il aime que ses amants le soient aussi. Ils les appellent ses amants, son repas est son rapport sexuel , en quelque sorte. Ils se croisent donc sur un de ces sites bizarres. Ils discutent de longs mois ensemble, sans se donner de RDV. Prise de contact d’abord. Timides et un peu craintifs de se faire mutuellement peur, et donc fuir l’autre, ils se cachent un peu. Ils ne disent pas tout de leurs fantasmes, envies, problèmes. Alors que Hans se fait passer pour un gay, qui, peut être un jour, aimerait devenir femme ; Gunter, lui, prétend être gay et plutôt pas mal sadomaso. Les jours passent. Puis les mois. Puis.. Non, non, pas les années. Des mois suffiront pour se dévoiler. Ils n’en peuvent plus, tous deux, de se cacher. Ils en souffrent. D’autant qu’ils ont appris, sans même s’être jamais rencontrer, a être fidèles l’un envers l’autre. Pourtant, ils sont libres. Mais, au fond, chacun pense avoir trouver sa moitié. Cela fait maintenant 7 mois. C’en est trop ! Hans a envie de baiser et se sent mal dans sa peau, comme jamais il ne l’avait été auparavant. Et Gunter, lui, eh bien, je crois qu'il a faim. Ils se disent tout. " J’en ai marre de ma bite " pour l’un. Pour l’autre, c’est " j’ai déjà mangé de la chaire humaine ". Qu’ils sont mignons tous les deux, à tout se dire et ne plus vouloir se cacher. (Quand je vois ce genre de romance, je trouve celles des hétéros complétement obsolètes; cela n'engage que moi évidemment, amis lecteurs hétéros: pauvres de vous.) Mais la vérité est parfois dure à entendre, et à accepter surtout. Ils se quittent, tchattingment parlant. Ils ne tchat plus ensemble. Pourquoi? Pourquoi!!! 2 mois et demi se sont écoulés. Hans s’est encore raté. Oui, il avait déjà tenté 3 suicides. Le pauvre! C’est décidé pour lui, il veut mourir cette fois. C’est alors qu’il repense à Gunter. "Je l’ai aimé derrière mon écran, il m’a écouté, il m’a menti, mais... moi aussi. Cest tout vu, je suis conforté dans mon idée premiére: c’est lui". Il le recontacte. Gunter est enchanté. Il a failli tenter le grand saut, mais a fait sa poule mouillée au moment de passer à l’acte. Le contrat est simple. Ils sont d’accord, tous les deux. (Bien entendu, je ne peux vous dévoiler le contenu des clauses du contrat, vous comprenez...) Hans ne veut plus vivre ainsi. S’il en était à sa 4ème tentative de départ avancé, il y avait une raison. C’est qu’il fallut qu’il nous quitte.

 

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Mais mourir suicidé, c’est ce qui n’allait pas jusqu’alors. Il voulait partir de manière atypique. Les raisons de son envie de mort ne sont pas les mêmes que les suicidés habituels. Lui, veut se débarrasser de ce maudit sexe. Il en ferait cadeau au seul qui le comprenait, Gunter. Le rdv est pris. Le scénario est préparé. Tous deux en sont conscients et l’acceptent sans retour. Il se passera ce scénario et pas un autre. C’est décidé et bien pesé. 18h04. Plus qu'une minute. Hans arrive seulement chez Gunter, à Munster. Il est en retard le ******! Peu importe, ils ne chipoteront pas sur cette erreur de timing. La caméra est prête. Tout est filmé, non à leur insu. Bizarrement, ils se disent bonjour en se saluant de la main, tels de pauvres hétéros des plus banales aujourd’hui. Gunter est un ancien médecin. Il s'y connait en ambiance quelque peu froide. Il lui est aussi arrivé de tester toute sorte de drogues. Souvent des anesthésiants, pour humain, et même pour animaux, souvent pour chevaux. Je ne sais pas pourquoi. Peut être se prenait-il déjà pour un étalon, qui sait ? Pas moi en tout cas. Ils discutent sans gène aucune et rient de longs moments à gorge profonde (??). On eût cru des amis de longues dates, ou un couple qui ne se cachent plus pour flatuler. Il est 19h. C’est l’heure indiqué dans le scénario. Ils le savent. Ca ne les gêne pas. Hans se fait diriger par Gunter – on est chez lui, je vous rappelle – vers le fauteuil de l’ex-médecin. Il s’allonge. Gunter, dorénavant, je l’appellerai le médecin. Donc, le médecin lui injecte un de ses anesthésiants dont lui seul a le secret. Une dose de cheval, le ****** ! 10 mn plus tard, Hans se fait relever par le médecin. On croirait un somnambule. Il ne parle pas. Il marche ou lui demande son médecin de marcher. Il est comme télécommandé. Il ne sent rien. Le médecin lui inflige une correction afin de s’assurer que Hans est là, mais pas là. Quand je vous dit une correction, je parle d'une ****** de correction!! une correction à faire fuir tous les sadomasos dés le premier coup. Réussi, Hans est maintenant insensible, et selon son médecin pour une durée de 8 à 12h. Génial, on peut commencer. Hans est ramené sur son fauteuil. Le médecin sort alors une poche, pleine d’outils coupants. Pas de la *****. Ca couperait des ******** de taureau ! Hans est défroqué, puis déslipé. Oui, Hans aimait porté des slips. Je n'ai pas eu le temps de lui demander pourquoi, mais je sais qu'il aimairt particulierement les slips français de chez "petit bateau". Puis, d’une main agile et expérimentée, le médecin procède. Ni une ni deux, Hans est débité. Pas de son compte bancaire! Il a perdu son sexe. on lui a enlevé la bite!! Mais il n’a pas mal. Il a un bon médecin. Il se relève. Il est heureux comme jamais. Comme un enfant ce 24 au soir de décembre qui vient d’ouvrir ses cadeaux, alors que maman avait dit " pas avant demain matin mon chéri! ".

 

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Tous deux se dirigent vers le salon, et se placent à table. Le médecin ouvre un bon rouge pour l’occasion. Ils trinquent et dégustent, enfin le médecin déguste. Hans boit, mais ne sent rien. Après avoir trinqués, Le médecin glisse un bon vieux funk dans sa stéréo : Ludwig Van Beethoven. C'est du bon funk, çà: Pour celles et ceux qui ne conaissent pas, je vous le conseille ! Il laisse Hans apprécier ce funk et se met à préparer le dîner. Ce soir, c’est bistouquette en entrée ! Enfin " Itch bin ein Bistouketr in entrir ! " Nous sommes à Munster. Eh oui, il cuisine le sexe de Hans. Mais rassurez vous, le scénario n’est pas trahi. Il est 20h, à table. " Arh, ein tablauer ! " s’écrit Gunter, il n’est alors plus besoin de le nommer médecin. Je ne décris pas la scène. Si, allez. Ils mangent ensemble, l’un en face de l’autre, le sexe de l’un d’entre eux. Et la caméra de poursuivre de tourner, toujours. Gunter avait prévu des cassettes de 3h. Il sait. Ils ont fini le sexe, assez rapidement pour Gunter. Tu m’étonnes ! Moins pour Hans, du fait de l’anesthésie. Gunter laisse la funk de Ludwig tourner... le temps d’arriver à 21h, l’heure du glas ! 21h. Mmm.. c'est chaud. Hans est encore à l’ouest pour bien 5 à 9h, d’après l'autre rassasié. Il est bandé par Gunter. Les yeux ! Il n’a plus de quoi bander ailleurs ! Suivez. Il est ramené sur le fauteuil, converti 5 mn auparavant en lit d’intervention terminale. Gunter se saisit de sa plus grosse lame, regarde la caméra, et sans sourire, ni déception, ni sueur froide, ni rien, il lui tranche la gorge en toute indifférence. Et la caméra de poursuivre son enregistrement. Gunter ne se débine pas. Il poursuit sa découpe. Pas moins de 16 morceaux au total. 16 morceaux qui rempliront ces 2 grands congélateurs, et lui permettront de vivre en extase de longs mois, jouissant pleinement de son bonheur. Hans nous a quitté. ******, mon frére, j'ai envie de te demander pourquoi? Allez: Pourquoi!!!Mais il est parti en jouissant de son bonheur également. Il a pu se séparer de cette gène insoutenable que lui procurait son pénis. Il a vécu quelques instants sans ce pénis. Il a rendu heureux l’homme qui l’a compris, écouté, aimé, puis décapité certes, mais sans jamais trahir leur commun scénario. Il n’a jamais trahi la mémoire de Hans, en quelque sorte. Aparté: "C’est difficile, c’est toujours lorsque l’on trouve sa moitié qu’on l’on est obligé de s’en séparer. Obliger pour pouvoir éprouver ensemble, au même moment, la même chose. Plus que l’amour, plus que la satisfaction, plus que le Bonheur, plus que tout : le Manque. " Méditez sur cette phrase de gunter, c est un ouf; mais un sacré ouf...

 

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Adieu Hans. Tu t’en sors pas mal Gunter, au niveau des Schmidt Bosch.

Ne désespères pas Hans. Vous vous retrouverez un jour.

Pas tout de suite, c'est certain: avec l'un entre 4 planches, et l'autre bientôt entre 4 murs...

Toujours est-il que Gunter ne t’a pas oublié. Chaque journée qui passe, chaque dîner ou tu n’es pas là, assis en face de lui, il a une pensée à toi.
Parfois, quand il a bien mangé, il a même un petit rot pour toi.

Adieu les amis. Ceci est tiré d’une histoire vraie. Rien n'est fiction. Seul les villes et les noms des personnages ont été modifiés par respect pour les vrais protagonistes. Tout le reste est tirée de la pure réalité.

Vraiment.

 

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Les aventures de Madame Leclerc, a.k.a LA Madame

Elle était sous la douche et ses seins mouillés me regardaient. Elle était heureuse, souriante et ample, rebondie de la hanche. Son corps m'impressionnait énormément. Je me demandais bien comment elle faisait pour se montrer nue comme ça. Moi, j'aimais pas qu'on me voit tout nu. J'avais treize ans. Pas encore lu de psycho... Le dilemme nature/culture m'était étranger, et ça tombait bien, je ne risquais pas de tomber dans la névrose.
Elle était donc là inanimée et nue. Fascinante. Entre deux histoires des chevaliers du zodiaque -j adooooooooooore Phoenix - je restais des heures à la regarder. Mon trésor à moi. Elle passerait l'été, et même l'hiver d'après, nue sous sa douche. Une grande dame. J'avais un peu honte d'éprouver ce mystère pour une dame. Je grimpais encore aux arbres, j'allais à l'école avec causette, la malheureuse; et le dimanche à la pêche. Mais elle était toujours là, heureuse avec son nouveau pommeau de douche. J'essayais de comprendre pourquoi elle restait au beau milieu de ma collection de Gastons et de Pifs. Cachée comme une transition qui se ferait mal, ou du mal, elle restait, toujours ses seins trop heureux de m'apprendre le vide et l'espace sous mes mains. Nathalie ne m'avait pas encore autorisé à la peloter dans le chemin derrière le lycée, et Sophie, et bien, Sophie, ah, Sophie non plus. La zaloppe... C'était de pire en pire. Mes copains lisaient les revues de leurs pères aux femmes frigides, mais moi, je l avais elle. Elle, avec ces seins et ces gouttelettes qui ne séchaient jamais.
J'avais envie de la manger, mais de la manger crue. On peut toujours manger de la viande crue si l'on veut, mais c'est dangereux et mauvais pour l'estomac. En plus, il faut tuer la bête. Là, j'avais envie de la manger crue mais vivante. Mais quand on mange, il faut que ça soit mort. Or, je la voulais vivante mais crue pour la manger. Je voulais pas la tuer. Pas non plus la faire cuire puisque je la voulais crue, enfin vivante. Ça tournait dans ma tête toute cette histoire. Je voulais manger une femme crue. Et une femme, c'est pas de la viande. Pourtant, il s'agissait bien de la manger. Ah oui, et goulûment en plus, pas comme de la viande, ah non, pas comme de la viande.
Du haut de mes 13ans, je partais donc en vadrouille avec ma paire de douilles. On étaient fideles tous les 3. On ne se trahissait jamais, et surement pas devant le spectacle humide offert par celle ci. Tous les jours, entre 17h et 17h20, elle se douchait là, devant moi. Elle était d une plastique presque parfaite, et c est justement ce "presque" qui faisait que c était elle que je voulais voir et surement pas une de ces "memes pas belles" de magazines pour ados ou vieux frustrés.

 

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D abord, je l apercevais le long de son couloir se dénuder. S avancer sur ce couloir en destination de la douche. A chaque pas, elle laissait tomber un vetement, une chaussure, comme on en fait de plus en plus aujourd hui, mais qu'elle seule, savait porter. Des lanieres interminables montaient le long de ses chevilles, grimpant telles des lianes jusqu' au mollet. Puis, elle se préoccupaint du déroulement (qui animait en moi fougue et paralysie à la fois) de ses bas. Bas qui étaient si hauts pourtant, et moi, si bas.. Masi je cru mourir quand elle laissa glisser sur ces parfaites hanches, plus qu échancrées, ce bout de tissu turquoise. ce genre de tissu qu il me suffirait pour dormir seul et paisiblement; je croyais partir pour ne plus revenir. ce tissu laissait alors decouvrir ce que j amais, oh non jamais.., je ne reverrais. ce qu'encore aujourd hui, beaucoup recherchent desesperement. Sans meme le ramasser, elle se dirige en sautillant vers la douche. Le carrelage est surement froid a cette periode d el année..Mince lors, elle est nue, completement nue... Wawwww
D ailleurs , a quoi bon s embeter d une ficelle ou d un elastique qui viendraient detruire le paysage offert par ce fessier d une tendresse ...
L eau coule. Moi, je fonds.
Elle tremblotte quelque peu... ca y est, l eau se fait enfin chaude. Moi, je fonds.
Elle n a plus froid. Je fonds toujours...
L eau coule sur sa peau. Et les larmes coulent sur mes joues..
Le mystere de ce corps, consequant a la création de cette buée sous sa douche est aussi excitant que l attrait pour ces magazines un peu trop porno, que l on n ose approcher franchement dans les librairies.
Cette buée cache certaines parties mais en laisse d autres assez decouvert pour un spectacle qui me fait a ce moment, oublier tous mes reves d enfant. Oublier mon trop jeune age. Oublier mon education, ses tabous et interdits..Elle vient de couper l eau. La buée l a refait apparaitre, pleinement. Moi, je vais mourir. Elle est là, nue, face à moi. C est le moment du gel douche...mais elle n en utilise pas, jamais. Elle, c est savon de marseille. Elle prefere sentir ce doux savon, au parfumm de lavande, passer et repasser sur son corps. Elle s execute mais ce dernier semble trop huileux. Comment le rincerait elle..
Ah ce moment, je suis presque mort.. C est bon la mort si c est cela... Je pense plus bouger et elle, continue de s amuser de son pommeau de douche luisant, moussant. Je m imagine à la place de ce pommeau, caressé par ses douces mains, innocentes et sensuelles. Amené d un endroit à l autre de ce paysage aux belles vallées, comme quelqu'un revant d un paradis, errant dans ces jardins qu on ne saurait decrire mais que l on imagine parfaitement. je suis son savon. je mousse ce corps de reve, de mes reves. Trop mousseux, elle me garde plus longtemps avant de pouvoir me rincer totalement.. Masi on ne me rince que difficilement, moi.
Alors qu'elle relance une eau des plus tièdes et agréables pour me demousser.. Mais ce n est pas avec regret que je coule le long de ses interminables cheveux, passant par sa poitrine. caressant ce corps aux mille merveilles de mes bulles moussantes, l embrassant avec délectation avant de me retirer vers vers ses hanches.
Hanches. ds hanches de la plus belles découpes, une representation, un paysage, un poeme, ne seraient assez genereux pour les apprecier. Apres avoir coulé le long de celles ci avec extase, je coule, en larmes cette fois. ces larmes me menent alors vers ces fesses.. D un rebondi alertant! Si delicatement nettes et rondes, que j, ai du mal a en tenir l equilibre. Et cette eau, douce, tiede, et agreable, qui me pousse a m en aller.. Ni une, ni deux, je longe ses jambes, longues, vraiment interminables, glisse, coule.. je bulle à nouveau.
Mais je souffre a ce moment. D etre si heureux. Car ce moment crée le manque de demain, celui qui me fait mal, mais que j aime a retrouver. celui qui me trahit aussi, mais à qui je pardonne chaque jour, entre 17h et 17h20. C est un destin que j aime parcourir, avec lequel j aime flirter. Cette extase traversée se ralentit a hauteur de ses mollets, et jusqu aux chevilles je prendrai le trajet qu ont la chance de suivre chaque jour ses lanieres de chaussures..

 

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Cette femme me fait bcp de mal et pourtant, je reviens chaque jour la regarder depuis cet arbre, à plus de 20 metres de ses fenetres.
J y grimpe et du haut de celui ci, je l attends. meme endroit, meme heure. Elle n est jamais en retard. je la regarde, elle est si belle. Elle me rend heureux. Puis, je m en vais, triste. Comme si je la perdais a chaque fion d ejournée, pour une éternité qui dure... 23h40 et 0 secondes. C est dur...
J ai 13 ans. Sa fille en a 11. Elle, 32ans, enfin d apres sa fille. Sa fille m aime. Et moi, je l apprecie. Je suis qd meme amoureux, eperdument meme, mais.. de sa mere. Et puis, de toute facon, il y a un pere dans cette famille. Lui, je ne l apprecie meme pas! Et pourtant, il est trop gentil avec moi, le protecteur ininteressé, de sa fille.. C est ppour tout cela que je pourrais jamais partager cette douche avec l une d elles..
Alors Adieu, nom de Dieu...
C'est que les femmes, à partir d'un certain âge, deviennent les femmes des autres. Et franchement, à proprement parler et en toute politesse, je ne les envie pas. Imaginez un peu si toutes ces femmes devenaient les miennes, ah, la fête, aaaaah. Pâmons-nous.
Car enfin quoi ? Que vous proposent-ils tous ces mâles avachis qui devant la télé qui devant son bide qui devant son âge ? Mais oui quoi, que proposent-ils à des femmes dont la sève va, à n'en point douter, tourner l'Eve en madone asséchée par l'hiver? Et tous ces mômes qui braillent ? Ces ados qui vous pourrissent la vie, vous rendent vieux avant l age...
Alors que moi, ah, ce serait autre chose la vie Madame Leclerc, avec moi. Ce serait plein tous les jours, de Moscou en New York, la balade durerait des années, de mystères en bouges, à se fouetter l entre jamne aux orties pour mieux imaginer qu'on est vivant, moi tout seul et vous si nombreuses et nues alanguies à vous disputailler, pour une misère, un carré de chocolat, les quelques privilèges qu'un esprit rare et retors pourrait bien vous offrir.
Le voilà le secret : la générosité. Oui, femmes, n'écoutez plus Julien Clerc, ça ne vaut plus rien!
Alors que moi, bien qu'adipeux et parfois instable, si vous pouviez voir mon monde, forcément, l'extase deviendrait votre amie la plus fidèle, n'en doutez pas M'dame Leclerc.
Tenez, aujourd'hui, il fait beau, et le monde crame à petits feux, de Tchétchénie en Palestine, et l'Ouganda, parlons en! Et l'Australie cancéreuse de rousseurs.... Mais là, devant mon clavier, je sais bien que vous, Madame Leclerc, toute folle déjà de me lire, vous vous direz, "ah, celui-là, c'en est un drôle, pour sûr, pas comme le mien, qui m'ennuie avec le temps, pour sûr. "
Alors donc, à quoi servent les femmes des autres ?
Eh bien, à faire des envieux, des envieux d'un type colossal, à prononcer le cheveux teuton sur la langue et les tétons pointus, on meurt jeune, souvenez-vous, il est temps de succomber, M'dame, je suis là.
Encore une fois, vive les femmes.
Mais vous alors... Je vous aime, pour sûr... pour sûr... je vous aime.