Depuis la rentrée scolaire, 23 classes de la 6ème à la 3ème de l’établissement n’ont pas de professeurs d’arabe. Les parents tentent depuis de rétablir la situation, mais en vain.
Les parents d’élèves du Lycée Lyautey sont en colère. Et il y a de quoi: depuis la rentrée scolaire, pas moins de 23 classes de la 6ème à la 3ème de l’établissement n’ont pas de professeurs d’arabe. Depuis, ils luttent en vain pour rétablir cette situation pour le moins ahurissante.
La plupart des élèves de Lyautey passent leur baccalauréat avec l’arabe comme Langue Vivante 1 (LV1).
Les priver de cette langue les met donc en difficulté. Les parents d’élèves ont pourtant approché l’administration du lycée français pour essayer de trouver une solution. Mais cette démarche s’est soldée par un échec; leurs doléances sont jusquelà restées lettre morte. Entretemps, les frais de scolarité, eux, ne font que grimper.
L’heure n’est néanmoins pas au découragement, et les parents attendent toujours un signe de l'administration qui, à son tour, persiste à dire que la responsabilité incombe au ministère de l'Education nationale. En attendant, ils essaient de combler le déficit en payant des cours particuliers à leurs enfants.
http://www.h24info.ma/maroc/casabla...ewsletter+h24&utm_medium=Email&utm_term=maroc
Les parents d’élèves du Lycée Lyautey sont en colère. Et il y a de quoi: depuis la rentrée scolaire, pas moins de 23 classes de la 6ème à la 3ème de l’établissement n’ont pas de professeurs d’arabe. Depuis, ils luttent en vain pour rétablir cette situation pour le moins ahurissante.
La plupart des élèves de Lyautey passent leur baccalauréat avec l’arabe comme Langue Vivante 1 (LV1).
Les priver de cette langue les met donc en difficulté. Les parents d’élèves ont pourtant approché l’administration du lycée français pour essayer de trouver une solution. Mais cette démarche s’est soldée par un échec; leurs doléances sont jusquelà restées lettre morte. Entretemps, les frais de scolarité, eux, ne font que grimper.
L’heure n’est néanmoins pas au découragement, et les parents attendent toujours un signe de l'administration qui, à son tour, persiste à dire que la responsabilité incombe au ministère de l'Education nationale. En attendant, ils essaient de combler le déficit en payant des cours particuliers à leurs enfants.
http://www.h24info.ma/maroc/casabla...ewsletter+h24&utm_medium=Email&utm_term=maroc