Paris : pendant 15 ans, il a vécu dans 1,56 m2 pour 330 euros par mois

Une surface de 1,56 m2 habitable pour 330 euros par mois ! Pendant 15 ans, Dominique, 50 ans, a vécu à Paris dans un appartement à peine plus grand qu'une place de parking, comme le révèle RTL ce jeudi.

Le local, illégal à la location, a fait l'objet d'une fermeture administrative de la Préfecture.

«Le locataire vivait là depuis 1995, nous explique Samuel Mouchard, chargé de mission à la Fondation Abbé Pierre. Quand il est arrivé, il payait 1650 francs (250 euros environ). Quand il est parti, le loyer avait augmenté à 330 euros... Cela fait 211 euros du m2 habitable, c'est scandaleux !»

Un robinet, un matelas et une plaque de cuisson... Dominique, le locataire, n'a pas souhaité communiquer davantage dans les médias. «Je rentre, je me couche, a-t-il brièvement confié au micro de RTL. C'est en pente, on tient debout sur 20 centimètres. On ne vit pas on survit». Pourquoi est-il resté si longtemps ? «On finit par se dire que c'est ça ou la rue. Ca me paraissait normal...», continue-t-il.

«Les gens qui louent ce genre d'endroit n'ont pas le choix, insiste Samuel Mouchard, de la Fondation Abbé Pierre. A cause de la crise du logement, certains propriétaires en profitent pour louer deslocaux qui ne sont pas prévus à l'habitation et les locataires ont peur de finir à la rue». Il assure que ce cas extrême n'est pas unique : «Chaque année, nous traitons une cinquantaine de cas de logement de moins de 9 m2, la limite légale. J'ai déjà eu un couple et un enfant qui vivait dans 7 m2...».

Désormais, la propriétaire doit reloger Dominique. «Un studio, ce serait le paradis», rêve cet employé intérimaire.

LeParisien.fr
 
Une surface de 1,56 m2 habitable pour 330 euros par mois ! Pendant 15 ans, Dominique, 50 ans, a vécu à Paris dans un appartement à peine plus grand qu'une place de parking, comme le révèle RTL ce jeudi.

Le local, illégal à la location, a fait l'objet d'une fermeture administrative de la Préfecture.

«Le locataire vivait là depuis 1995, nous explique Samuel Mouchard, chargé de mission à la Fondation Abbé Pierre. Quand il est arrivé, il payait 1650 francs (250 euros environ). Quand il est parti, le loyer avait augmenté à 330 euros... Cela fait 211 euros du m2 habitable, c'est scandaleux !»

Un robinet, un matelas et une plaque de cuisson... Dominique, le locataire, n'a pas souhaité communiquer davantage dans les médias. «Je rentre, je me couche, a-t-il brièvement confié au micro de RTL. C'est en pente, on tient debout sur 20 centimètres. On ne vit pas on survit». Pourquoi est-il resté si longtemps ? «On finit par se dire que c'est ça ou la rue. Ca me paraissait normal...», continue-t-il.

«Les gens qui louent ce genre d'endroit n'ont pas le choix, insiste Samuel Mouchard, de la Fondation Abbé Pierre. A cause de la crise du logement, certains propriétaires en profitent pour louer deslocaux qui ne sont pas prévus à l'habitation et les locataires ont peur de finir à la rue». Il assure que ce cas extrême n'est pas unique : «Chaque année, nous traitons une cinquantaine de cas de logement de moins de 9 m2, la limite légale. J'ai déjà eu un couple et un enfant qui vivait dans 7 m2...».

Désormais, la propriétaire doit reloger Dominique. «Un studio, ce serait le paradis», rêve cet employé intérimaire.

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bon au moins le ménage était vite fait quoi, faut voir le verre à moitié plein
 
Une surface de 1,56 m2 habitable pour 330 euros par mois ! Pendant 15 ans, Dominique, 50 ans, a vécu à Paris dans un appartement à peine plus grand qu'une place de parking, comme le révèle RTL ce jeudi.

Le local, illégal à la location, a fait l'objet d'une fermeture administrative de la Préfecture.

«Le locataire vivait là depuis 1995, nous explique Samuel Mouchard, chargé de mission à la Fondation Abbé Pierre. Quand il est arrivé, il payait 1650 francs (250 euros environ). Quand il est parti, le loyer avait augmenté à 330 euros... Cela fait 211 euros du m2 habitable, c'est scandaleux !»

Un robinet, un matelas et une plaque de cuisson... Dominique, le locataire, n'a pas souhaité communiquer davantage dans les médias. «Je rentre, je me couche, a-t-il brièvement confié au micro de RTL. C'est en pente, on tient debout sur 20 centimètres. On ne vit pas on survit». Pourquoi est-il resté si longtemps ? «On finit par se dire que c'est ça ou la rue. Ca me paraissait normal...», continue-t-il.

«Les gens qui louent ce genre d'endroit n'ont pas le choix, insiste Samuel Mouchard, de la Fondation Abbé Pierre. A cause de la crise du logement, certains propriétaires en profitent pour louer deslocaux qui ne sont pas prévus à l'habitation et les locataires ont peur de finir à la rue». Il assure que ce cas extrême n'est pas unique : «Chaque année, nous traitons une cinquantaine de cas de logement de moins de 9 m2, la limite légale. J'ai déjà eu un couple et un enfant qui vivait dans 7 m2...».

Désormais, la propriétaire doit reloger Dominique. «Un studio, ce serait le paradis», rêve cet employé intérimaire.

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330 euros pour ça, ils se font pas ***** les mecs...
 
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