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Paris : attentats terroristes - novembre 2015
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[QUOTE="mam80, post: 14282382, member: 228134"] Des symptômes de stress aigu avant un retour à la normale Installé à cinquante mètres de l’immeuble de l’assaut à Saint-Denis, le Dr Alain Herskovici a reçu des patients « très perturbés » les jours qui ont suivi l’intervention du RAID : « Ils avaient peur de sortir de chez eux, ne pouvaient pas prendre les transports en commun pour se rendre sur leur lieu de travail. Mais les choses sont rentrées dans l’ordre après une dizaine de jours. Personne n’est revenu me voir, il s’agissait donc de chocs ponctuels. » Son de cloche similaire du côté du Dr Frédéric Courage qui a croisé dans son cabinet de Saint-Denis des personnes « extrêmement choquées » suite aux événements des 13 et 18 novembre. La plupart des patients affichaient des symptômes de stress aigu : « cauchemars, insomnies, crises d’angoisse en cas de sirène de police. » Mais la situation est revenue à la normale après une dizaine de jours. Les habitants se sont sentis plus concernés après les évènements du Stade de France et l’attaque du RAID, ils ont senti leur territoire vaciller -- Dr Joselyne Rousseau Le Dr Courage a également observé que « les traumatismes étaient plus sévères après les attaques du Stade de France et l’intervention du RAID que lors des attentats de janvier ». Un phénomène attribué principalement à « la proximité géographique des événements qui a renforcé le processus d’identification des habitants ». Un sentiment partagé par le Dr Joselyne Rousseau installée à Pierrefitte, une ville limitrophe de Saint-Denis: « Les habitants se sont sentis plus concernés après les évènements du Stade de France et l’attaque du RAID, ils ont senti leur territoire vaciller. » Le Dr Courage pense également que « le mode d’intervention brutal des forces de police a aggravé le choc psychologique. Les images et les bruits entendus ont donné aux gens le sentiment d’assister à des scènes de guerre. » Une analyse qui contraste avec celle du Dr Herskovici qui pense que « ce n’est pas l’intervention du RAID en elle-même qui a traumatisé ces personnes, mais plutôt la prise de conscience que des terroristes vivaient dans un appartement à proximité. Certains ont eu l’impression qu’on s’attaquait à eux personnellement. » Des symptômes de stress aigu avant un retour à la normale Installé à cinquante mètres de l’immeuble de l’assaut à Saint-Denis, le Dr Alain Herskovici a reçu des patients « très perturbés » les jours qui ont suivi l’intervention du RAID : « Ils avaient peur de sortir de chez eux, ne pouvaient pas prendre les transports en commun pour se rendre sur leur lieu de travail. Mais les choses sont rentrées dans l’ordre après une dizaine de jours. Personne n’est revenu me voir, il s’agissait donc de chocs ponctuels. » .../... [/QUOTE]
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