À paris, l’école de commerce était une usine à clandestins

A qui appartient cette école ?
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L’établissement situé dans le XVe arrondissement de la capitale a permis l’entrée illégale en France d’un millier de Chinois.

Lundi 7 décembre, 6 heures du matin. Une soixantaine de policiers en civil de l’Office central pour la répression de l’immigration irrégulière et de l’emploi des étrangers sans titre (Ocriest) déclenchent de manière simultanée quatorze perquisitions à Paris, en banlieue et en Ardèche.

Dans un immeuble planté sur le front de Seine, ils forcent les portes de trois appartements tandis que leurs collègues investissent un établissement scolaire voisin. Au terme d’une fouille méticuleuse, ils saisissent des cartons de documents, du matériel informatique, un lot de chèques sans ordre pour une valeur de 180.000 euros ainsi que 80.000 euros en espèces. Il s’agit là de l’infime partie de colossaux bénéfices provenant d’une des plus grosses filières d’immigration clandestine chinoise jamais mise au jour en France par les services spécialisés de la Direction de la police aux frontières (DCPAF).

Selon nos informations, le juteux réseau avait pour pivot central une école de commerce privée* ayant pignon dans le XVe arrondissement. Derrière sa façade proprette abritant des cours de langue française, une branche «business school», des classes censées mener à des BTS, des masters et des doctorats, l’établissement était en fait dirigé et animé par une équipe d’escrocs chevronnés qui multipliaient des dossiers de fausses inscriptions pour «recruter» en toute illégalité des cohortes de jeunes Chinois candidats à l’exil.

Le Figaro
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
A qui appartient cette école ?
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L’établissement situé dans le XVe arrondissement de la capitale a permis l’entrée illégale en France d’un millier de Chinois.

Lundi 7 décembre, 6 heures du matin. Une soixantaine de policiers en civil de l’Office central pour la répression de l’immigration irrégulière et de l’emploi des étrangers sans titre (Ocriest) déclenchent de manière simultanée quatorze perquisitions à Paris, en banlieue et en Ardèche.

Dans un immeuble planté sur le front de Seine, ils forcent les portes de trois appartements tandis que leurs collègues investissent un établissement scolaire voisin. Au terme d’une fouille méticuleuse, ils saisissent des cartons de documents, du matériel informatique, un lot de chèques sans ordre pour une valeur de 180.000 euros ainsi que 80.000 euros en espèces. Il s’agit là de l’infime partie de colossaux bénéfices provenant d’une des plus grosses filières d’immigration clandestine chinoise jamais mise au jour en France par les services spécialisés de la Direction de la police aux frontières (DCPAF).

Selon nos informations, le juteux réseau avait pour pivot central une école de commerce privée* ayant pignon dans le XVe arrondissement. Derrière sa façade proprette abritant des cours de langue française, une branche «business school», des classes censées mener à des BTS, des masters et des doctorats, l’établissement était en fait dirigé et animé par une équipe d’escrocs chevronnés qui multipliaient des dossiers de fausses inscriptions pour «recruter» en toute illégalité des cohortes de jeunes Chinois candidats à l’exil.

Le Figaro

les réseaux mafieux sont partout
la vie des immigrés illégaux chinois ne sont guère enviable
même en Picardie, dans la restauration, c'est ouf !!!
pas un mot en français, menu sur des ardoises avec n°, etc
exploités jusqu'au trognon


mam
 
les réseaux mafieux sont partout
la vie des immigrés illégaux chinois ne sont guère enviable
même en Picardie, dans la restauration, c'est ouf !!!
pas un mot en français, menu sur des ardoises avec n°, etc
exploités jusqu'au trognon


mam
Le gouv le sait très bien comme il le savait très bien pour cette soi disant école .
 
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