salam
Elle nous guette, nous inquiète, telle une lèpre ; nous tentons de locculter plutôt que de la combattre, elle peut être appelée mouise, guigne, dèche ; de quelque nom quon laffuble, cest toujours la pauvreté et cest delle quil sagit.
Elle ne frappe pas quun voisin imaginaire, elle est au cur des familles, dans nos cités et nos villages et nous ne faisons rien, ou si peu pour léradiquer! Or, la pauvreté peut engendrer de la pauvreté du fait que, régie par la loi du plus fort, elle attise des comportements individualistes et laisse la part belle aux citoyens sans scrupules, ceux qui saccommodent de la corruption et du cynisme!
Il faut la combattre avant quelle ne prenne définitivement racine. Ce combat est essentiel pour prospérer. Dans luvre de développement que nous menons, il est nécessaire de donner à chaque individu son espace de contribution, cest-à-dire la possibilité dhonorer ses obligations de citoyen et de créer de la valeur grâce à ses talents et son savoir-faire.
Il est évident quun homme affaibli réduit sa contribution quand elle ne devient pas carrément négative, ce qui est pénible, surtout pour lui. Certes, mourir de faim au Maroc reste exceptionnel sinon inexistant. Mais pour autant, nombreux sont ceux qui doivent recourir aux associations humanitaires pour leur survie au quotidien, sans compter les innombrables assistés de toutes natures grâce à lhospitalité légendaire de nos concitoyens.
http://www.libe.ma/La-pauvrete-ennemi-public-a-combattre_a34240.html
Elle nous guette, nous inquiète, telle une lèpre ; nous tentons de locculter plutôt que de la combattre, elle peut être appelée mouise, guigne, dèche ; de quelque nom quon laffuble, cest toujours la pauvreté et cest delle quil sagit.
Elle ne frappe pas quun voisin imaginaire, elle est au cur des familles, dans nos cités et nos villages et nous ne faisons rien, ou si peu pour léradiquer! Or, la pauvreté peut engendrer de la pauvreté du fait que, régie par la loi du plus fort, elle attise des comportements individualistes et laisse la part belle aux citoyens sans scrupules, ceux qui saccommodent de la corruption et du cynisme!
Il faut la combattre avant quelle ne prenne définitivement racine. Ce combat est essentiel pour prospérer. Dans luvre de développement que nous menons, il est nécessaire de donner à chaque individu son espace de contribution, cest-à-dire la possibilité dhonorer ses obligations de citoyen et de créer de la valeur grâce à ses talents et son savoir-faire.
Il est évident quun homme affaibli réduit sa contribution quand elle ne devient pas carrément négative, ce qui est pénible, surtout pour lui. Certes, mourir de faim au Maroc reste exceptionnel sinon inexistant. Mais pour autant, nombreux sont ceux qui doivent recourir aux associations humanitaires pour leur survie au quotidien, sans compter les innombrables assistés de toutes natures grâce à lhospitalité légendaire de nos concitoyens.
http://www.libe.ma/La-pauvrete-ennemi-public-a-combattre_a34240.html