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Peine maximale pour le meurtre d'une jeune fille dans le RER D
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[QUOTE="wisighot, post: 7895127, member: 241664"] Le 25 janvier 1995, Thierry Devé-Oglou est à bord de la ligne D du RER. Il est monté à l’arrêt Louvres. Ce jour-là, Valérie, jeune étudiante aux cheveux blonds, 26 ans, est assise dans le dernier wagon à l’étage. Il s’assoit derrière elle. Puis à la gare suivante, il vient lui faire face, armé d’un couteau. « Son regard était violent, il était déterminé. Il m’a dit “suce-moi” », raconte-t-elle, quinze ans plus tard, devant la cour, allure gracile dans un pull en laine noir. Valérie tente de partir, il lui coupe l’auriculaire gauche. Elle se rassoit, terrorisée. « Il menait le jeu, je devais obéir ». Elle lui fait une *********. Il reste menaçant. « Pour sauver ma vie, je l’ai rassuré. Je lui ai dit que ce qu’il avait fait n’était pas grave. Il a rangé son couteau et s’est mis à pleurer. Il m’a dit pardon et m’a laissée. » L’agresseur sera arrêté une semaine plus tard. Le 14 février 1996, il écope de cinq ans de prison dont deux ans avec sursis. Il est libéré un an plus tard. Thierry Devé-Oglou retourne vivre chez ses parents. Il a beaucoup maigri, ne se coiffe pas, ses dents sont en mauvais état. Après la prison, la famille ne parvient pas à parler de « l’histoire ». « On a essayé mais Thierry avait beaucoup de mal à communiquer », raconte Catherine, sa sœur. Personne ne note de changement dans son comportement. Mais Thierry change d’apparence. Il teint ses cheveux mi-longs en blond. Et continue à regarder des DVD pornographiques à l’aube, dans le salon, lorsqu’il ne parvient plus à dormir. « Curabilité très relative » Le 25 novembre 2007, le quadragénaire quitte ensuite son domicile pour acheter un disque, à Goussainville. Il boit deux verres de rhum dans un bar. Et monte ensuite dans le RER, à l’étage. La suite est floue, basée uniquement sur ses propos évolutifs. « J’avais vu qu’une jeune femme était en bas. Elle était toute seule. Je suis montée, j’ai lu mes revues puis on est arrivé à Louvres et je suis descendu », explique-t-il tant bien que mal. Il marque une pause, plonge la tête vers son torse, la relève timidement et poursuit, à voix basse, « j’ai eu un flash dans ma tête… En fouillant dans ma sacoche, j’ai vu que j’avais un couteau, je suis allée voir la jeune fille, je lui ai demandé de faire l’amour. Elle a crié, je lui ai donné des coups de couteau », relate-t-il en mimant le geste. Anne-Lorraine se débat. Il la rattrape, la repousse, la frappe à nouveau. La blessure qu’il lui inflige à l’aorte est mortelle. Anne Lorraine décède aussitôt. Thierry Devé-Oglou, blessé, sera confondu dans la nuit. Pourquoi cet acharnement ? « Elle criait et j’avais mal à la tête, ça résonnait. C’était plus fort que moi, j’ai paniqué, j’ai perdu la tête. » Un moment de folie ? Non répondent les experts. Seul l’un d’entre eux parle d’un possible « trouble psychotique chronique ». [/QUOTE]
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