Sridina
Bis repetita
Assalam alaykom
Le pèlerinage, un rite de passage dun état à un autre, dun avant à un après ?
Au moment où des millions de musulmans sont à la Mekke pour observer les rites du pélerinage, le musulman ne peut sempêcher de penser à ces pélerins qui ont quitté leurs domiciles et qui sont partis si loin pour observer lun des rites les plus porteurs de sens pour le musulman. Participer au pélerinage, cest faire lexpérience forte de la communauté. Les différences personnelles sont affaiblies ou supprimées : les mêmes habits sont portés par tous, les signes de richessse disparaissent et les ethnies se confondent. Plus que jamais les musulmans se sentent appartenir, pendant ces jours bénis, dans ces lieux bénis à une même commaunauté, telle est lexpérience de la fraternité.
Les pélerins se mettent, avant de franchir la terre sainte, en Ihram, ils sont en état de sacralisation : privation pendant un certain temps des plaisirs de ce bas monde, le ciel et la terre se mettent en connexion. Les bras se lèvent vers le ciel et on fait lexpérience de la soumission révérentielle, on demande pardon pour ses péchés, on pense à la la mort, à la résurrection et à ses péchés. A son retour, le pèlerin est quelquun de transaformé.
Cette expérience de la fraternité va-t-elle continuer après ? Pas nécessairement, mais on ose espèrer quà leur retour, les pélerins gardent quelque chose de cet esprit de communauté, qui va peut-être faiblir avec le temps, mais quelque chose en restera sûrement.
Le pélerinage est un rite de passage, qui rappelle aux musulmans, quils soient à la Mekke ou partout ailleurs, quils ne sont que de passage dans ce bas monde. Il les pousse à se rappeler la finalité de leur existence et à se poser les bonnes questions. Revenir, oui, revenir vers son Seigneur, vivre pleinement sa foi, se réformer. La bougie de la notre vie se consume au fil des jours, et un jour ou lautre elle devra séteindre.
Sridina.
Le pèlerinage, un rite de passage dun état à un autre, dun avant à un après ?
Au moment où des millions de musulmans sont à la Mekke pour observer les rites du pélerinage, le musulman ne peut sempêcher de penser à ces pélerins qui ont quitté leurs domiciles et qui sont partis si loin pour observer lun des rites les plus porteurs de sens pour le musulman. Participer au pélerinage, cest faire lexpérience forte de la communauté. Les différences personnelles sont affaiblies ou supprimées : les mêmes habits sont portés par tous, les signes de richessse disparaissent et les ethnies se confondent. Plus que jamais les musulmans se sentent appartenir, pendant ces jours bénis, dans ces lieux bénis à une même commaunauté, telle est lexpérience de la fraternité.
Les pélerins se mettent, avant de franchir la terre sainte, en Ihram, ils sont en état de sacralisation : privation pendant un certain temps des plaisirs de ce bas monde, le ciel et la terre se mettent en connexion. Les bras se lèvent vers le ciel et on fait lexpérience de la soumission révérentielle, on demande pardon pour ses péchés, on pense à la la mort, à la résurrection et à ses péchés. A son retour, le pèlerin est quelquun de transaformé.
Cette expérience de la fraternité va-t-elle continuer après ? Pas nécessairement, mais on ose espèrer quà leur retour, les pélerins gardent quelque chose de cet esprit de communauté, qui va peut-être faiblir avec le temps, mais quelque chose en restera sûrement.
Le pélerinage est un rite de passage, qui rappelle aux musulmans, quils soient à la Mekke ou partout ailleurs, quils ne sont que de passage dans ce bas monde. Il les pousse à se rappeler la finalité de leur existence et à se poser les bonnes questions. Revenir, oui, revenir vers son Seigneur, vivre pleinement sa foi, se réformer. La bougie de la notre vie se consume au fil des jours, et un jour ou lautre elle devra séteindre.
Sridina.