La pellicule ayouchienne ne fait pas le maroc...
- Initiateur de la discussion Drianke
- Date de début
Makelloos
VIB
La pellicule ayouchienne ne fait pas le maroc.
il ne prétend pas faire le Maroc , sa pellicule montre réalité marocaine: la prostitution, mais décidément certains ont du mal a la reconnaitre, ça aussi c'est une réalité marocaine, rarement on se remet en cause. une société qui ne reconnait pas ses tors pour tirer des leçons et avancer ne brillera que par son hypocrisie.
il ne prétend pas faire le Maroc , sa pellicule montre réalité marocaine: la prostitution, mais décidément certains ont du mal a la reconnaitre, ça aussi c'est une réalité marocaine, rarement on se remet en cause. une société qui ne reconnait pas ses tors pour tirer des leçons et avancer ne brillera que par son hypocrisie.
A
AncienBladinaute
Non connecté
ça donne aussi quelque pistes sur les motivations de certains bladinautes
Makelloos
VIB
François Truffaut disait : « Tout le monde a deux métiers : le sien et critique de cinéma ». Cette formule du réalisateur français est également valable sous nos cieux. Dans chaque Marocain sommeille un spécialiste du Septième art, un sélectionneur national, un expert en géopolitique, un professionnel des médias et un imam. Ainsi donc, il aura suffi de quatre courts extraits de Much Loved, le nouveau film de Nabil Ayouch, pour que les réseaux sociaux pullulent d’analyses et de jugements sur la qualité du film, alors que personne ne l’a encore vu. C’est aussi absurde et étonnant que de critiquer un livre sur la base de son titre ou de sa couverture, évaluer une chanson en écoutant sa première note ou incendier une pièce de théâtre car son affiche ne nous convient pas.
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L’artiste n’est pas un maître d’école ou un moraliste qui montre aux autres le droit chemin ou leur fournit des solutions à leurs problèmes. Il est peintre de l’âme et de la société et non pas leur médecin ou guérisseur. La seule exigence d’un réalisateur ou un romancier est esthétique et créatrice et non pas morale ou politique.
Edito – Much Loved. L’art et la manière | Telquel.ma
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L’artiste n’est pas un maître d’école ou un moraliste qui montre aux autres le droit chemin ou leur fournit des solutions à leurs problèmes. Il est peintre de l’âme et de la société et non pas leur médecin ou guérisseur. La seule exigence d’un réalisateur ou un romancier est esthétique et créatrice et non pas morale ou politique.
Edito – Much Loved. L’art et la manière | Telquel.ma
A
AncienBladinaute
Non connecté
il parlait justement de ce journal dans la vidéo
Makelloos
VIB
il ne critique pas que le film, et il ne s'attaque pas juste au réalisateur..
quand quelqu'un commence a faire des critiques, mais dés le début on s'attaque à ses parents, pour moi ce n'est plus crédible... les marocains ont trop de respects pour les parents, celui qui invite les parents dans les critiques, il est juste un weld zan9a ... et la suite de ses critiques ne démentent pas, les mots qu'il a choisit est à la hauteur du langage des prostituées du film, sauf que elles, ce sont des actrices...
Dernière édition:
Zayynaab
VIB
Dernière édition:
A
AncienBladinaute
Non connecté
il a dit qu'il est resté sur la même ligne que son père, c'est pas une attaque.... soit c'est vrai soit c'est faux, les apparences laissent à penser que c'est vrai, maintenant si c'est faux, contredit le...
si je te dis que marine le pen suit les traces de son père c'est pas une attaque... ni un langage de prostituées ou de oueld ze9a, tu perds l'esprit là