Contrairement à ce qui a été parfois avancé, la Chine n’en est pas la principale responsable, peut‑être même un bouc‑émissaire.
Le bois vendu a la Chine, était du bois brute infesté par des larves de scolytes (de moins bel aspect que le bois sain, mais pouvant garder d’assez bonnes propriétés techniques). Les États‑Unis ont acheté beaucoup de bois délignés en Europe, faisant monter les prix. Ce n’est pas tout, il y a encore une suspicion d’entente sur les prix, entre les grands groupes du débitage du bois.
Par rapport aux années précédentes, le prix des lattes, planches, madriers et poutres a été multiplié par entre 2 et 5, selon les cas. Des choses auparavant autant ordinaires que des planches ou de simples lattes, sont devenues difficiles à trouver, dans certaines régions d’Europe au moins.
Même si les forêts sont de plus en plus attaquées par des insectes faisant baisser la quantité de bois remplissant les critères habituels, sur lesquels il faut maintenant être moins regardants, la quantité de bois disponible, devrait être suffisante et ne peut pas expliquer ce problème du marché. Globalement, ce sont les grands groupes de scieries, qui sont suspectés d’en être la cause, devant la Chine et les États‑Unis, 90 % du bois produit en Europe, ne sortant pas de l’Europe.
Le bois vendu a la Chine, était du bois brute infesté par des larves de scolytes (de moins bel aspect que le bois sain, mais pouvant garder d’assez bonnes propriétés techniques). Les États‑Unis ont acheté beaucoup de bois délignés en Europe, faisant monter les prix. Ce n’est pas tout, il y a encore une suspicion d’entente sur les prix, entre les grands groupes du débitage du bois.
Par rapport aux années précédentes, le prix des lattes, planches, madriers et poutres a été multiplié par entre 2 et 5, selon les cas. Des choses auparavant autant ordinaires que des planches ou de simples lattes, sont devenues difficiles à trouver, dans certaines régions d’Europe au moins.
Même si les forêts sont de plus en plus attaquées par des insectes faisant baisser la quantité de bois remplissant les critères habituels, sur lesquels il faut maintenant être moins regardants, la quantité de bois disponible, devrait être suffisante et ne peut pas expliquer ce problème du marché. Globalement, ce sont les grands groupes de scieries, qui sont suspectés d’en être la cause, devant la Chine et les États‑Unis, 90 % du bois produit en Europe, ne sortant pas de l’Europe.
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