Une petite histoire d'amour

salman75

Oriental for ever
C'est avant tout une histoire vraie.. allons quelques siècles plutôt en Mésopotamie, la perle de l'Orient..

Thâbit marche sous un soleil brûlant en plein midi. Il arrive dans un jardin et voit une pomme tombée à terre. Il la ramasse et en mange la moitié. Puis il se rappelle qu'il n'a pas le droit de manger quelque chose qui ne lui appartient pas, il se blâme d'avoir manger la moitié de cette pomme, et à ce moment, survient le jardinier.

Thâbit lui dit : "Je vous demande pardon pour la moitié de pomme que je viens de manger ; voilà, je vous rends ce qui reste de la pomme."

Le jardinier dit : "Je ne suis pas le propriétaire du jardin, et je n'ai pas le pouvoir de vous accorder le pardon."

"Qui est le propriétaire alors ?" demande Thâbit.

Le jardinier lui indique une maison. Thâbit s'y rend, demande à voir le propriétaire et lui raconte ce qui s'est passé.

Le propriétaire dit : "Je vous pardonne à une seule condition ! Si vous l'acceptez ; vous êtes pardonné, sinon vous me rendrez des comptes au jour du jugement dernier devant Celui Qui veille tout le temps et Qui n'oublie rien."

Thâbit se met à trembler de tout son corps, de peur que la condition ne soit trop dure.

"Quelle est cette condition ?" demanda-t-il.

"Je veux vous donner ma fille en mariage." répondit le propriétaire.

"Est-ce là une condition ? C'est plutôt un prix de mérite et une récompense d'encouragement."

Mais le propriétaire du jardin poursuit aussitôt : "Je vais vous décrire ma fille : Elle est aveugle, sourde, muette, handicapée. Elle ne peut ni entendre, ni parler, ni voir, ni marcher ! Si vous la prenez pour épouse, je vous pardonne, sans cela vous ne pourrez pas bénéficier de mon pardon."

Thâbit réfléchit longuement, la tête baissée. Puis il dit : "Je l'épouserai. Maintenant, pardonnez-moi. Je la servirai devant Dieu Tout Puissant."

Le propriétaire fait venir deux compagnons du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) pour être les témoins du mariage. Puis arrive le jour du mariage.

Le père de la fille dit : "Je vous ai préparé une chambre dans ma maison."

Il introduit ensuite sa fille dans la chambre et Thâbit entre à son tour. Il la voit assise et lui adresse le salut conformément aux préceptes de l'Islam. Son père lui avait dit qu'elle était aveugle, muette, sourde, et handicapée. Or celle-ci répond à son salut puis se lève, et lui serre la main. Il constate alors qu'elle n'est ni aveugle, ni sourde, ni muette, ni handicapée !

Etonné, il s'exclame : "Expliquez-moi ? Votre père vous avez décrit autrement ! ! Vous n'êtes donc pas aveugle, sourde, muette et handicapée ?"

Elle lui répond : "Mon père ne vous a pas mentit : Il a dit que je ne voyais pas, et effectivement, je suis aveugle à tout ce qui puisse provoquer la colère de Dieu Tout Puissant. Il vous a dit également que j'étais sourde : Effectivement, mes oreilles n'ont jamais entendu ni médisance, ni diffamation, ni frivolité, ni futilité. Il vous a dit que j'étais muette :

Effectivement, je n'ai jamais prononcé de paroles susceptibles de susciter la colère de Dieu. Je suis muette à tout ce qui peut me divertir de mon adoration de Dieu. Il vous a dit que j'étais handicapée : Effectivement, je ne fréquente aucun lieu qui ne donne pas satisfaction à Dieu. Je vais seulement à la mosquée et accomplir de bonnes ouvres. Mon père n'a pas menti mais a bien dit la vérité."

Thâbit la regarde alors, et la trouve d'une beauté éblouissante. De leur union naquit le grand imam Abou Hanifa.
 
C'est avant tout une histoire vraie.. allons quelques siècles plutôt en Mésopotamie, la perle de l'Orient..

Thâbit marche sous un soleil brûlant en plein midi. Il arrive dans un jardin et voit une pomme tombée à terre. Il la ramasse et en mange la moitié. Puis il se rappelle qu'il n'a pas le droit de manger quelque chose qui ne lui appartient pas, il se blâme d'avoir manger la moitié de cette pomme, et à ce moment, survient le jardinier.

Thâbit lui dit : "Je vous demande pardon pour la moitié de pomme que je viens de manger ; voilà, je vous rends ce qui reste de la pomme."

Le jardinier dit : "Je ne suis pas le propriétaire du jardin, et je n'ai pas le pouvoir de vous accorder le pardon."

"Qui est le propriétaire alors ?" demande Thâbit.

Le jardinier lui indique une maison. Thâbit s'y rend, demande à voir le propriétaire et lui raconte ce qui s'est passé.

Le propriétaire dit : "Je vous pardonne à une seule condition ! Si vous l'acceptez ; vous êtes pardonné, sinon vous me rendrez des comptes au jour du jugement dernier devant Celui Qui veille tout le temps et Qui n'oublie rien."

Thâbit se met à trembler de tout son corps, de peur que la condition ne soit trop dure.

"Quelle est cette condition ?" demanda-t-il.

"Je veux vous donner ma fille en mariage." répondit le propriétaire.

"Est-ce là une condition ? C'est plutôt un prix de mérite et une récompense d'encouragement."

Mais le propriétaire du jardin poursuit aussitôt : "Je vais vous décrire ma fille : Elle est aveugle, sourde, muette, handicapée. Elle ne peut ni entendre, ni parler, ni voir, ni marcher ! Si vous la prenez pour épouse, je vous pardonne, sans cela vous ne pourrez pas bénéficier de mon pardon."

Thâbit réfléchit longuement, la tête baissée. Puis il dit : "Je l'épouserai. Maintenant, pardonnez-moi. Je la servirai devant Dieu Tout Puissant."

Le propriétaire fait venir deux compagnons du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) pour être les témoins du mariage. Puis arrive le jour du mariage.

Le père de la fille dit : "Je vous ai préparé une chambre dans ma maison."

Il introduit ensuite sa fille dans la chambre et Thâbit entre à son tour. Il la voit assise et lui adresse le salut conformément aux préceptes de l'Islam. Son père lui avait dit qu'elle était aveugle, muette, sourde, et handicapée. Or celle-ci répond à son salut puis se lève, et lui serre la main. Il constate alors qu'elle n'est ni aveugle, ni sourde, ni muette, ni handicapée !

Etonné, il s'exclame : "Expliquez-moi ? Votre père vous avez décrit autrement ! ! Vous n'êtes donc pas aveugle, sourde, muette et handicapée ?"

Elle lui répond : "Mon père ne vous a pas mentit : Il a dit que je ne voyais pas, et effectivement, je suis aveugle à tout ce qui puisse provoquer la colère de Dieu Tout Puissant. Il vous a dit également que j'étais sourde : Effectivement, mes oreilles n'ont jamais entendu ni médisance, ni diffamation, ni frivolité, ni futilité. Il vous a dit que j'étais muette :

Effectivement, je n'ai jamais prononcé de paroles susceptibles de susciter la colère de Dieu. Je suis muette à tout ce qui peut me divertir de mon adoration de Dieu. Il vous a dit que j'étais handicapée : Effectivement, je ne fréquente aucun lieu qui ne donne pas satisfaction à Dieu. Je vais seulement à la mosquée et accomplir de bonnes ouvres. Mon père n'a pas menti mais a bien dit la vérité."

Thâbit la regarde alors, et la trouve d'une beauté éblouissante. De leur union naquit le grand imam Abou Hanifa.

Salam,

BarakAllah houfik pour cette histoire.Mais tu aurais dû la mettre dans la rubrique islam mon frère!
 
Une belle histoire
Mais je deconseille tous les garçons qui vont s'aventurier
ds les cités dont le but de croiser une rebeue qui a ces qualités
 
C'est avant tout une histoire vraie.. allons quelques siècles plutôt en Mésopotamie, la perle de l'Orient..

Thâbit marche sous un soleil brûlant en plein midi. Il arrive dans un jardin et voit une pomme tombée à terre. Il la ramasse et en mange la moitié. Puis il se rappelle qu'il n'a pas le droit de manger quelque chose qui ne lui appartient pas, il se blâme d'avoir manger la moitié de cette pomme, et à ce moment, survient le jardinier.

Thâbit lui dit : "Je vous demande pardon pour la moitié de pomme que je viens de manger ; voilà, je vous rends ce qui reste de la pomme."

Le jardinier dit : "Je ne suis pas le propriétaire du jardin, et je n'ai pas le pouvoir de vous accorder le pardon."

"Qui est le propriétaire alors ?" demande Thâbit.

Le jardinier lui indique une maison. Thâbit s'y rend, demande à voir le propriétaire et lui raconte ce qui s'est passé.

Le propriétaire dit : "Je vous pardonne à une seule condition ! Si vous l'acceptez ; vous êtes pardonné, sinon vous me rendrez des comptes au jour du jugement dernier devant Celui Qui veille tout le temps et Qui n'oublie rien."

Thâbit se met à trembler de tout son corps, de peur que la condition ne soit trop dure.

"Quelle est cette condition ?" demanda-t-il.

"Je veux vous donner ma fille en mariage." répondit le propriétaire.

"Est-ce là une condition ? C'est plutôt un prix de mérite et une récompense d'encouragement."

Mais le propriétaire du jardin poursuit aussitôt : "Je vais vous décrire ma fille : Elle est aveugle, sourde, muette, handicapée. Elle ne peut ni entendre, ni parler, ni voir, ni marcher ! Si vous la prenez pour épouse, je vous pardonne, sans cela vous ne pourrez pas bénéficier de mon pardon."

Thâbit réfléchit longuement, la tête baissée. Puis il dit : "Je l'épouserai. Maintenant, pardonnez-moi. Je la servirai devant Dieu Tout Puissant."

Le propriétaire fait venir deux compagnons du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) pour être les témoins du mariage. Puis arrive le jour du mariage.

Le père de la fille dit : "Je vous ai préparé une chambre dans ma maison."

Il introduit ensuite sa fille dans la chambre et Thâbit entre à son tour. Il la voit assise et lui adresse le salut conformément aux préceptes de l'Islam. Son père lui avait dit qu'elle était aveugle, muette, sourde, et handicapée. Or celle-ci répond à son salut puis se lève, et lui serre la main. Il constate alors qu'elle n'est ni aveugle, ni sourde, ni muette, ni handicapée !

Etonné, il s'exclame : "Expliquez-moi ? Votre père vous avez décrit autrement ! ! Vous n'êtes donc pas aveugle, sourde, muette et handicapée ?"

Elle lui répond : "Mon père ne vous a pas mentit : Il a dit que je ne voyais pas, et effectivement, je suis aveugle à tout ce qui puisse provoquer la colère de Dieu Tout Puissant. Il vous a dit également que j'étais sourde : Effectivement, mes oreilles n'ont jamais entendu ni médisance, ni diffamation, ni frivolité, ni futilité. Il vous a dit que j'étais muette :

Effectivement, je n'ai jamais prononcé de paroles susceptibles de susciter la colère de Dieu. Je suis muette à tout ce qui peut me divertir de mon adoration de Dieu. Il vous a dit que j'étais handicapée : Effectivement, je ne fréquente aucun lieu qui ne donne pas satisfaction à Dieu. Je vais seulement à la mosquée et accomplir de bonnes ouvres. Mon père n'a pas menti mais a bien dit la vérité."

Thâbit la regarde alors, et la trouve d'une beauté éblouissante. De leur union naquit le grand imam Abou Hanifa.

Je l'ai déjà lue cette histoire

Elle est magnifique :)
 
C'est avant tout une histoire vraie.. allons quelques siècles plutôt en Mésopotamie, la perle de l'Orient..

Thâbit marche sous un soleil brûlant en plein midi. Il arrive dans un jardin et voit une pomme tombée à terre. Il la ramasse et en mange la moitié. Puis il se rappelle qu'il n'a pas le droit de manger quelque chose qui ne lui appartient pas, il se blâme d'avoir manger la moitié de cette pomme, et à ce moment, survient le jardinier.

Thâbit lui dit : "Je vous demande pardon pour la moitié de pomme que je viens de manger ; voilà, je vous rends ce qui reste de la pomme."

Le jardinier dit : "Je ne suis pas le propriétaire du jardin, et je n'ai pas le pouvoir de vous accorder le pardon."

"Qui est le propriétaire alors ?" demande Thâbit.

Le jardinier lui indique une maison. Thâbit s'y rend, demande à voir le propriétaire et lui raconte ce qui s'est passé.

Le propriétaire dit : "Je vous pardonne à une seule condition ! Si vous l'acceptez ; vous êtes pardonné, sinon vous me rendrez des comptes au jour du jugement dernier devant Celui Qui veille tout le temps et Qui n'oublie rien."

Thâbit se met à trembler de tout son corps, de peur que la condition ne soit trop dure.

"Quelle est cette condition ?" demanda-t-il.

"Je veux vous donner ma fille en mariage." répondit le propriétaire.

"Est-ce là une condition ? C'est plutôt un prix de mérite et une récompense d'encouragement."

Mais le propriétaire du jardin poursuit aussitôt : "Je vais vous décrire ma fille : Elle est aveugle, sourde, muette, handicapée. Elle ne peut ni entendre, ni parler, ni voir, ni marcher ! Si vous la prenez pour épouse, je vous pardonne, sans cela vous ne pourrez pas bénéficier de mon pardon."

Thâbit réfléchit longuement, la tête baissée. Puis il dit : "Je l'épouserai. Maintenant, pardonnez-moi. Je la servirai devant Dieu Tout Puissant."

Le propriétaire fait venir deux compagnons du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) pour être les témoins du mariage. Puis arrive le jour du mariage.

Le père de la fille dit : "Je vous ai préparé une chambre dans ma maison."

Il introduit ensuite sa fille dans la chambre et Thâbit entre à son tour. Il la voit assise et lui adresse le salut conformément aux préceptes de l'Islam. Son père lui avait dit qu'elle était aveugle, muette, sourde, et handicapée. Or celle-ci répond à son salut puis se lève, et lui serre la main. Il constate alors qu'elle n'est ni aveugle, ni sourde, ni muette, ni handicapée !

Etonné, il s'exclame : "Expliquez-moi ? Votre père vous avez décrit autrement ! ! Vous n'êtes donc pas aveugle, sourde, muette et handicapée ?"

Elle lui répond : "Mon père ne vous a pas mentit : Il a dit que je ne voyais pas, et effectivement, je suis aveugle à tout ce qui puisse provoquer la colère de Dieu Tout Puissant. Il vous a dit également que j'étais sourde : Effectivement, mes oreilles n'ont jamais entendu ni médisance, ni diffamation, ni frivolité, ni futilité. Il vous a dit que j'étais muette :

Effectivement, je n'ai jamais prononcé de paroles susceptibles de susciter la colère de Dieu. Je suis muette à tout ce qui peut me divertir de mon adoration de Dieu. Il vous a dit que j'étais handicapée : Effectivement, je ne fréquente aucun lieu qui ne donne pas satisfaction à Dieu. Je vais seulement à la mosquée et accomplir de bonnes ouvres. Mon père n'a pas menti mais a bien dit la vérité."

Thâbit la regarde alors, et la trouve d'une beauté éblouissante. De leur union naquit le grand imam Abou Hanifa.

je vois ou tu veux en venir.....
enfin je crois!
 
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