salamou'alaikoum,
Jusqu'à il y a quelques mois, je n 'avais jms vraiment eu peur de la mort, ou plutôt j'arrivais à transférer mes angoisses à l'essentielles: taqwa (la pièté) et al 'ibada (l'adoration, la servitude).
Il y a plus ou moins 22 mois, al hamdoulillah, ns avons eu un garçon, c un ni'ma (un bienfait) immense qu'Allah ns a accordé.
Aujourd'hui, j'ai peur, j'ai tt le temps peur pour lui, qu'il lui arrive un malheur (Allahi hafdouh), que quelqu'un lui fasse du mal,... tt de même je suis rassuré pcq je suis là pour veiller sur lui (sachant que c'est Allah qui veille réellement sur lui et que je ne suis qu'une cause parmis d'autres) et assumer cette merveilleuse responsabilité qu'Allah ns a confié.
-Qu'adviendrait-il de lui si je mourrai demain?
-Mon mari saura-t-il s'en occuper correctement (il est très, mais alors, TRES maladroit, distrait et naïf (qu'Allah le protège et fasse de lui un privilégié du firdaws)?
-Un certain nombre de personnes de notre entourage (Allahi hdihoum), en qui mon mari a confiance, feront-ils du mal à mon fils parce qu'ils ne m'aimaient pas de mon vivant? Essayeront-ils de dénigrer l'image qu'il aura de moi? Inciteront-ils mon mari à battre notre fils (comme il le font déjà maintenant)?
-Mon mari, saura-t-il donner à notre fils une éducation islamique en tous points, en ayant peur de déplaire à Allah et non à son entourage?
-Si mon mari venait à se remarier (je lui souhaite de trouver une épouse pieuse, qui saura l'aimer comme il le mérite... SEULEMENT, si je ne suis plus de ce monde!!!), saura-t-il continuer a prendre soin de notre fils. Et sa belle-mère arrivera-t-elle à en prendre soin comme je le ferais?
-Est-ce juste de ma part de demander à mon mari de ne confier notre fils, à personne d'autre que ma mère? Et s'il n'en faisait qu'à sa tête en pensant bien faire ou parce qu'il a été manipulé?
Toutes ces questions, et bien plus encore, se bousculent dans ma tête.
Mon mari refuse catégoriquement d'en parler avec moi, ne serait-ce que pour me rassurer?
Conclusion, ce n'est pas la mort elle même qui me terrorise mais plutôt l'avenir et l'éducation de mon fils en cas de mort.
Jusqu'à il y a quelques mois, je n 'avais jms vraiment eu peur de la mort, ou plutôt j'arrivais à transférer mes angoisses à l'essentielles: taqwa (la pièté) et al 'ibada (l'adoration, la servitude).
Il y a plus ou moins 22 mois, al hamdoulillah, ns avons eu un garçon, c un ni'ma (un bienfait) immense qu'Allah ns a accordé.
Aujourd'hui, j'ai peur, j'ai tt le temps peur pour lui, qu'il lui arrive un malheur (Allahi hafdouh), que quelqu'un lui fasse du mal,... tt de même je suis rassuré pcq je suis là pour veiller sur lui (sachant que c'est Allah qui veille réellement sur lui et que je ne suis qu'une cause parmis d'autres) et assumer cette merveilleuse responsabilité qu'Allah ns a confié.
-Qu'adviendrait-il de lui si je mourrai demain?
-Mon mari saura-t-il s'en occuper correctement (il est très, mais alors, TRES maladroit, distrait et naïf (qu'Allah le protège et fasse de lui un privilégié du firdaws)?
-Un certain nombre de personnes de notre entourage (Allahi hdihoum), en qui mon mari a confiance, feront-ils du mal à mon fils parce qu'ils ne m'aimaient pas de mon vivant? Essayeront-ils de dénigrer l'image qu'il aura de moi? Inciteront-ils mon mari à battre notre fils (comme il le font déjà maintenant)?
-Mon mari, saura-t-il donner à notre fils une éducation islamique en tous points, en ayant peur de déplaire à Allah et non à son entourage?
-Si mon mari venait à se remarier (je lui souhaite de trouver une épouse pieuse, qui saura l'aimer comme il le mérite... SEULEMENT, si je ne suis plus de ce monde!!!), saura-t-il continuer a prendre soin de notre fils. Et sa belle-mère arrivera-t-elle à en prendre soin comme je le ferais?
-Est-ce juste de ma part de demander à mon mari de ne confier notre fils, à personne d'autre que ma mère? Et s'il n'en faisait qu'à sa tête en pensant bien faire ou parce qu'il a été manipulé?
Toutes ces questions, et bien plus encore, se bousculent dans ma tête.
Mon mari refuse catégoriquement d'en parler avec moi, ne serait-ce que pour me rassurer?
Conclusion, ce n'est pas la mort elle même qui me terrorise mais plutôt l'avenir et l'éducation de mon fils en cas de mort.