Le Prophète de l’Islam (sws) a bien défini la finalité première de sa mission et la ligne de conduite de sa prédication en disant :
“Je n’étais envoyé que pour parachever les nobles vertus” (Mâlik).
C’est comme si le Message, qui s’est frayé dans sa voie dans l’histoire de la vie et pour lequel le Messager a déployé un immense effort pour diffuser sa lumière et rassembler les hommes autour de lui, ne cherchait que l’affermissement de leurs vertus et l’illumination des perspectives de la perfection devant leurs yeux, afin qu’ils y accèdent avec discernement.
C’est dire que les actes d’adoration, prescrits par l’Islam et considérés comme des piliers de la Foi, ne sont nullement des rites obscurs, du genre de ceux qui lient l’homme à des mystères et lui imposent la charge d’accomplir des actes incompréhensibles et des mouvements dépourvus de toute signification.
Au contraire, les obligations que l’Islam prescrit à ses adeptes sont des exercices répétés qui sont destinés à accoutumer l’individu à vivre selon une morale authentique et à s’y attarder quelles que soient les circonstances qu’il traverse. Elles s’apparentent à des exercices sportifs que l’homme pratique avec passion et constance, dans l’espoir d’en tirer un corps préservé et une vie saine.
Le Coran munificent et la Sounna pure révèlent clairement, du reste, ces réalités. Ainsi, en ordonnant la prière prescrite, Dieu a révélé la sagesse inhérente à son observance :
وأقم الصلاة إن الصلاة تنهى عن الفحشاء والمنكر
“Acquitte-toi de la prière : la prière éloigne l’homme des turpitudes et des actions blâmables.”
(Sourate Al-’Ankaboût - L’Araignée, verset : 45).
En effet, l’éloignement des turpitudes, et la purification des mauvaises actions et des paroles malheureuses constituent l’essence même de la prière.
Dans un hadîth, où Dieu parle par la bouche du Prophète (sws), Dieu dit :
“Je n’accepte la prière que de celui qui fait preuve d’humilité devant Ma Toute-Puissance, qui n’est pas arrogant envers Mes Créatures, qui ne s’endort pas avec la détermination de Me désobéir, qui passe sa journée à Me mentionner et qui est compatissant envers le pauvre, le nécessiteux, la veuve et l’homme éprouvé”
(Al-Bazzâr).
De même, l’Aumône légale (zakât) n’est pas un impôt que l’on prend dans les poches. Elle est d’abord un enracinement des sentiments de bonté et de bienveillance, et un renforcement des liens de connaissance et de familiarité entre les différentes classes sociales. Le Coran indique, d’ailleurs, la finalité de l’acquittement de l’aumône :
خذ من أموالهم صدقة تطهرهم وتزكيهم بها
“Prélève une aumône sur leurs biens pour les purifier et les rendre sans tâche.” (Sourate At-Tawba - Le Repentir - verset : 103).
“Je n’étais envoyé que pour parachever les nobles vertus” (Mâlik).
C’est comme si le Message, qui s’est frayé dans sa voie dans l’histoire de la vie et pour lequel le Messager a déployé un immense effort pour diffuser sa lumière et rassembler les hommes autour de lui, ne cherchait que l’affermissement de leurs vertus et l’illumination des perspectives de la perfection devant leurs yeux, afin qu’ils y accèdent avec discernement.
C’est dire que les actes d’adoration, prescrits par l’Islam et considérés comme des piliers de la Foi, ne sont nullement des rites obscurs, du genre de ceux qui lient l’homme à des mystères et lui imposent la charge d’accomplir des actes incompréhensibles et des mouvements dépourvus de toute signification.
Au contraire, les obligations que l’Islam prescrit à ses adeptes sont des exercices répétés qui sont destinés à accoutumer l’individu à vivre selon une morale authentique et à s’y attarder quelles que soient les circonstances qu’il traverse. Elles s’apparentent à des exercices sportifs que l’homme pratique avec passion et constance, dans l’espoir d’en tirer un corps préservé et une vie saine.
Le Coran munificent et la Sounna pure révèlent clairement, du reste, ces réalités. Ainsi, en ordonnant la prière prescrite, Dieu a révélé la sagesse inhérente à son observance :
وأقم الصلاة إن الصلاة تنهى عن الفحشاء والمنكر
“Acquitte-toi de la prière : la prière éloigne l’homme des turpitudes et des actions blâmables.”
(Sourate Al-’Ankaboût - L’Araignée, verset : 45).
En effet, l’éloignement des turpitudes, et la purification des mauvaises actions et des paroles malheureuses constituent l’essence même de la prière.
Dans un hadîth, où Dieu parle par la bouche du Prophète (sws), Dieu dit :
“Je n’accepte la prière que de celui qui fait preuve d’humilité devant Ma Toute-Puissance, qui n’est pas arrogant envers Mes Créatures, qui ne s’endort pas avec la détermination de Me désobéir, qui passe sa journée à Me mentionner et qui est compatissant envers le pauvre, le nécessiteux, la veuve et l’homme éprouvé”
(Al-Bazzâr).
De même, l’Aumône légale (zakât) n’est pas un impôt que l’on prend dans les poches. Elle est d’abord un enracinement des sentiments de bonté et de bienveillance, et un renforcement des liens de connaissance et de familiarité entre les différentes classes sociales. Le Coran indique, d’ailleurs, la finalité de l’acquittement de l’aumône :
خذ من أموالهم صدقة تطهرهم وتزكيهم بها
“Prélève une aumône sur leurs biens pour les purifier et les rendre sans tâche.” (Sourate At-Tawba - Le Repentir - verset : 103).